...n'étaient point noirs, les cieux n'étaient pas Non, le jourrayonnaitdansunazur sans bornes [mornes; Sur la terre étendu, L'air était plein d'encens...répandu! L'automne souriait; les coteaux vers la plaine Penchaientleursboischarmants qui jaunissaient àpeine; Le ciel était doré; Et les oiseaux, tournés...

...était plein d'encens et les prés dé verdure» Quand il revit ces lieux où par tant de hlessures Son cœur s'est répandu ! L'automne souriait ; les...doré ; Et les oiseaux, tournés vers celui que tout i Disant peut-être à Dieu quelque chose de l'homme, Chantaient leur chant sacré ! Il voulut tout...

...n'étaient point noirs, les cieux n'étaient pas Non. le jnurrayonnaitdansunazur sans bornes [mornes; les vitres dorées Les feuillages tremblants Penchaientleursboischarmantsqui jaunissaient à peine; Le ciel était doré; Ft les oiseaux, tournés...

...n'étaient pas morNon, le jour rayonnait dans un azur sans bornes [nés; Sur la terre étendu, L'air étail plein d'encens et les prés de verdures Quand il revit...s'est répandu ! L'automne souriait; les coteaux vers U plaine Penchaient leurs bois charmants qui jaunissaient à peine, Le ciel était doré; Et les oiseaux,...

...champs n'étaient point noirs, les cieux u'étai«'u| pus Non, le jour rayonnait dans un azur saut; bornes Sur la terre étendu, L'air était plein d'encens et les prés de verdure» Quand il revit ces lieux où par tant de Uebburi'« Son cœur s'est répandu. L'automne souriait...

...leurs plus touchants accents, leurs plus belles poésies? (1) A. de Lamartine, Harmonies poétiques. L'automne souriait; les coteaux vers la plaine Penchaient...Et les oiseaux, tournés vers celui que tout nomme, Disaient peut-être à Dieu quelque chose de l'homme, Chantaient leur chant sacré (1) I C'est alors...

...séparées l'une de l'autre par le continent africain. C'est une amphibologie bien caractérisée. L'air était plein d'encens, et les prés de verdures...où, par tant de blessures, Son cœur s'est répandu : il faudrait, si je ne me trompe : Où son cœur s'était répandu; comme l'on dit : « II faisait...

...séparées l'une de l'autre par le continent africain. C'est une amphibologie bien caractérisée. L'air était plein d'encens, et les prés de verdures...il revit ces lieux où, par tant de blessures, Son coeur s'est répandu : il faudrait, si je ne me trompe : Où son cœnr s'était répandu; comme l'on...

...Les champs n'étaient point noirs, les cieux n'étaient [pas mornes; Non, le jour rayonnait dans un azur sans bornes Sur la terre étendu; L'air était...les prés de verdures, Quand il revit ces lieux où partant de blessures Son cœur s'est répandu ; et plus loin : Pâle, il marchait. — Au bruit de...

...Les champs n'étaient point noirs, les cieux n'étaient [pas mornes; Non, le jour rayonnait dans un azur sans bornes Sur la terre étendu; L'air était...Quand il revit ces lieux où par tant de blessures et plus loin : Son cœur s'est répandu ; Pâle, il marchait. — Au bruit de son pas grave et [sombre,...