Les champs n'étaient point noirs, les cieux n'étaient pas mornes. Non, le jour rayonnait dans un azur sans bornes Sur la terre étendu, L'air était plein d'encens et les prés de verdures Quand il revit ces lieux où par tant de blessures Son cœur... Les voix intérieures: Les rayons et les ombres - Page 247by Victor Hugo - 1844 - 294 pagesFull view - About this book
| Ferdinand Brunetière - French literature - 1895 - 402 pages
...séparées l'une de l'autre par le continent africain. C'est une amphibologie bien caractérisée. L'air était plein d'encens, et les prés de verdures...où par tant de blessures, Son cœur s'est répandu : il faudrait, si je ne me trompe : Où son cœur a'étail répandu; comme l'on dit : « II faisait... | |
| Arthur Graves Canfield - French poetry - 1899 - 416 pages
...du ciel. TRISTESSE D'OLYMPIO T ES champs n'étaient point noirs, les cieux n'étaient pas mornes ; L'air était plein d'encens et les prés de verdures,...s'est répandu. L'automne souriait ; les coteaux vers la-plaine Penchaient leurs bois charmants qui jaunissaient à peine, Le ciel était doré ; Et les... | |
| Philibert Ragey - Canada - 1902 - 294 pages
...mélancoliques beautés si bien peintes par l'auteur des Rayons et des ombres dans La Tristesse d'Olympia : L'automne souriait; les coteaux vers la plaine Penchaient leurs bois charmants qui jaunissaient à Le ciel était doré : [peine, Et les oiseaux tournés vers Celui que tout nomme Disant peut-être... | |
| Victor Hugo - French poetry - 1908 - 290 pages
...Les champs n'étaient point noirs, les cieux n'étaient pas mornes; Non, le jour rayonnait dans un azur sans bornes Sur la terre étendu, L'air était...Quand il revit ces lieux où par tant de blessures S L'automne souriait; les coteaux vers la plaine Penchaient leurs bois charmants qui jaunissaient à... | |
| Victor Hugo - French poetry - 1908 - 298 pages
...Les champs n'étaient point noirs, les cieux n'étaient pas mornes; Non, le jour rayonnait dans un azur sans bornes Sur la terre étendu, L'air était...Quand il revit ces lieux où par tant de blessures s L'automne souriait; les coteaux vers la plaine Penchaient leurs bois charmants qui jaunissaient à... | |
| Victor Hugo - 1909 - 748 pages
...Les champs n'étaient point noirs, les cieux n'étaient pas mornes. Non, le jour rayonnait dans un azur sans bornes Sur la terre étendu, L'air était...où par tant de blessures Son cœur s'est répandu! Automne souriait; les coteaux vers la plaine Penchaient leurs bois charmants qui jaunissaient à peine;... | |
| French poetry - 1910 - 188 pages
...LES champs n'étaient point noirs, les cieux n'étaient pas mornes; Non, le jour rayonnait dans un azur sans bornes Sur la terre étendu, L'air était...Quand il revit ces lieux où par tant de blessures Son coeur s'est répandu. L'automne souriait ; les coteaux vers la plaine Penchaient leurs bois charmants... | |
| Régis Michuad - French language - 1910 - 456 pages
...n'étaient pas mornes ; Nonj le jour rayonnait dans un azur sans bornes ^—«^ Sur la terre étendu, i ; ' L'air était plein d'encens et les prés de verdures Quand il revit ces lïëux où par tant de blessures Son cœur s'est répandu. Jl L'automne souriait ; les coteaux vers... | |
| Albert Dauzat - Travel - 1911 - 426 pages
...France, le promeneur, par les beaux jours d'automne, a passé, indifférent, sans remarquer comment Les coteaux vers la plaine Penchaient leurs bois charmants qui jaunissaient à peine. II n'a point prêté attention au « vieux frêne plié », au « lac, divin miroir », aux « grands... | |
| George Neely Henning - French poetry - 1913 - 456 pages
...était plein d'encens et les prés de verdures Quand il revit ces lieux où par tant de blessures 5 Son cœur s'est répandu ! L'automne souriait ; les...Et les oiseaux, tournés vers celui que tout nomme, 10 Disant peut-être à Dieu quelque chose de l'homme, Chantaient leur chant sacré ! Il voulut tout... | |
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