... c'est vous qui me rendez le séjour de mon pays insupportable ; c'est vous qui me ferez mourir en terre étrangère, privé de toutes les consolations des mourants, et jeté, pour tout honneur, dans une voirie ; tandis que tous les honneurs qu'un... Jean-Jacques Rousseau et le siècle philosophe - Page 138by Louis Ignace Moreau - 1870 - 425 pagesFull view - About this book
| Gilbert Guislain, Charles Tafanelli - 2005 - 322 pages
...fait les maux qui pouvaient m'être les plus sensibles, à moi votre disciple et votre enthousiaste [...]Je vous hais enfin, puisque vous l'avez voulu, mais je vous hais en homme plus digne de vous aimer, si vous l'aviez voulu. Adieu, monsieur. » (Livre X des Confessions). Voltaire... | |
| Pierre Laffitte - Positivism - 1878 - 760 pages
...insupportable; c'est « vous qui me ferez mourir en terre étrangère, privé de « toutes les consolations des mourants, et jeté pour tout « honneur dans une...pays. Je vous hais enfin, puisque vous l'avez voulu » (2). Après la lecture de cette belle épître, Voltaire déclara qu'il fallait baigner Rousseau... | |
| Pierre Lanfrey - 1999 - 398 pages
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| Education - 1934 - 812 pages
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| Jean-Jacques Rousseau - 1798 - 486 pages
...LES CONFESSIONS, « vous accompagneront dans mon pays. « Je vous hais enfin, puisque vous l'a« vez voulu ; mais je vous hais en * homme encore plus digne de vous « aimer, si vous l'aviez voulu. De tous « les sentimens dont mon cœur était * pénétré pour vous, il n'y reste que * l'admiration... | |
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