| 1906 - 132 pages
...quelque léger passage de l'air. Si nous étudions Booz endormi, nous trouvons bien les vers délicieux. Un Frais parFum sortait des touFFes d'asPHodèle ; Les souFFles de la nuit Flottaient sur Galgala. Mais nous avions lu dans les stances précédentes : Il n'avait pas de Fange en l'eau de son moulin... | |
| Léon Brémont - Elocution - 1903 - 362 pages
...Pourquoi ne mettrait-on pas un peu de logique, même en ces matières ? Dans ces deux vers de V. Hugo : Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle. Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala ! tous ces mots : frais, parfum, touffes, asphodèle, souffle, flottaient, sont bien faits pour s'unir... | |
| Jean Blaize - Elocution - 1903 - 350 pages
...l'impression d'une douleur aiguë? On nomme allitération la répétition d'une consonne en des mots voisins. Un Frais parFum sortait des touFFes d'asPHodèle; Les souFFles de la nuit Flottaient sur (îalgalla. V. HUGO, Dooz endormi. Voilà bien, n'est-ce pas? le doux bruit du zéphir? Donnez donc... | |
| Victor Hugo - French language materials - 1906 - 426 pages
...subite. Booz ne savait point qu'une femme était là, Et Ruth ne savait point ce que Dieu voulait d'elle, Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle; Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala. L'ombre était nuptiale, auguste et solennelle; Les anges y volaient sans doute obscurément, Car on... | |
| Auguste Dorchain - French poetry - 1907 - 190 pages
...subite. Booz ne savait point qu'une femme était là, Et Ruth ne savait point ce que Dieu voulait d'elle Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle ; Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala. L'ombre était nuptiale, auguste et solennelle ; Les anges y volaient sans doute obscurément, Car... | |
| French poetry - 1907 - 536 pages
...subite. Booz ne savait point qu'une femme était là. Et Ruth ne savait point ce que Dieu voulait d'elle. Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle ; Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala. L'ombre était nuptiale, auguste et solennelle ; Les anges y volaient sans doute obscurément, Car... | |
| St. John Lucas - French periodicals - 1908 - 542 pages
...subite. Booz ne savait point qu'une femme était là, Et Ruth ne savait point ce que Dieu voulait d'elle. Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle ; Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala. L'ombre était nuptiale, auguste et solennelle; Les anges y volaient sans doute obscurément, Car on... | |
| Jean Blaize - France Literature - 1908 - 452 pages
...Booz ne savait point qu'une femme était là, Et Ruth ne savait point ce que Dieu voulait d'elle. | 28 Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle; | Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala. | L'ombre était nuptiale, auguste et solennelle; \ Les anges y volaient sans doute obscurément, Car... | |
| A. Antheaume, Gabriel Dromard - Art and mental illness - 1908 - 672 pages
...trouve indiqué dans tous les traités la valeur de l'allitération en F dans ces vers de Victor Hugo : Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle; Les souffles de la nuit flollaienl sur Galgala. En définissant la poésie « ce que la nature a de plus mélodieux dans les... | |
| Francis Yvon Eccles - French poetry - 1909 - 399 pages
...Booz ne savait point qu'une femme était là, 65 Et Ruth ne savait point ce que Dieu voulait d'elle. Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle ; Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala. L'ombre était nuptiale, auguste et solennelle ; Les anges y volaient sans doute obscurément, 70 Car... | |
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