| France. Assemblée nationale (1871-1942) - France - 1880 - 862 pages
...divisait encore les esprits, je n'ai pas cessé de croire qu'une grande révolution était prête-, que le Roi, par ses intentions, ses vertus et son rang suprême, devait en être le chef, puisqu'elle ne pouvait pas être avantageuse à la nation, sans l'être également au monarque; enfin,... | |
| Hérisson (comte d', Maurice d'Irisson) - France - 1888 - 358 pages
...divisait encore les esprits, je n'ai point cessé de croire qu'une grande révolution était prête ; que le Roi, par ses intentions, ses vertus et son rang suprême, devait en être le chef, puisqu'elle ne pouvait pas être avantageuse à la nation, sans l'être en même temps au monarque;... | |
| Louis de Loménie - France - 1892 - 516 pages
...ajoutant que depuis lors « il n'avait pas cessé de croire qu'une grande révolution était prête; que le roi, par ses intentions, ses vertus et son rang suprême, devait en être le chef, puisqu'elle ne pouvait pas être avantageuse à la nation sans l'être également au monarque ; enfin... | |
| Marius Sepet - France - 1896 - 470 pages
...divisait alors les esprits (l), je n'ai pas cessé de croire qu'une grande révolution était prête ; que le Roi, par ses intentions, ses vertus et son rang suprême, devait en être le chef, puisqu'elle ne pouvait pas être avantageuse à la nation sans l'être également au monarque ; enfin,... | |
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