| N. Lafont d'Aussonne - 1836 - 512 pages
...divisait encore les esprits , je n'ai pas cessé de croire qu'une grande révolution était prête; que le Roi , par ses intentions, ses vertus et son rang suprême , devait en être le chef , puisqu'elle ne pouvait pas être avantageuse à la nation , sans l'être également au monarque ;... | |
| Jacques Peuchet - Crime - 1838 - 1624 pages
...encore les esprits , je n'ai point cessé de croire qu'une grande révolution était prête ; .que le roi, par ses intentions, ses vertus et son rang suprême , devait en être le chef, puisqu'elle ne pouvait pas être avantageuse à la nation , sans l'être en même temps au monarque... | |
| Louis XVIII (king of France.) - 1839 - 518 pages
...divisait encore les esprits, je n'ai pas cessé de croire qu'une grande révolution était prête, que le roi ,par ses intentions, ses vertus et son rang suprême, devait en être le chef, puisqu'elle ne pouvait pas être avantageuse à la nation, sans Fétre également au monarque; enfin,... | |
| Madame de Staël (Anne-Louise-Germaine) - France - 1843 - 688 pages
...de tous les partis opposés. « Une grande révolution » était prête, dit Monsieur (Louis XVI II) à la municipalité de » Paris , en 1789 ; le roi,...dans le rapport joint au résultat du conseil du 27 Ie droit des états généraux d'accuser et traduire devant les cours , dans tous les cas intéressant... | |
| Capefigue (M., Jean Baptiste Honoré Raymond) - France - 1844 - 376 pages
...divisait encore les esprits, je n'ai pas cessé de croire qu'une grande révolution était prête, que le roi par ses intentions, ses vertus et son rang suprême, devait en être le chef, puisqu'elle ne pouvait pas être avantageuse à la nation, sans l'être également au monarque ; enfin... | |
| Lord Francis Jeffrey Jeffrey - English essays - 1844 - 540 pages
...— " Une grande revolution etoit pret, dit Monsieur (aujourd'hui Louis X\7III.) a la municipality de Paris, en 1789 ; le roi, par ses intentions, ses vertus, et son rang supreme, devoit en tire le chef!" We perfectly agree with Madame de Stael — "que toute la sagesse... | |
| Philippe Joseph Benjamin Buchez - 1846 - 532 pages
...divisait tous les esprits, je n'ai pas cessé de croire qu'une grande révolution était prête ; que le roi, par ses intentions, ses vertus et son rang suprême, devait en être le chef, puisqu'elle ne pouvait pas être avantageuse à la nation, sans l'être également au monarque; enfin... | |
| Lord Francis Jeffrey Jeffrey - Edinburgh review - 1846 - 788 pages
...Princes of the blood. — "Une grande revolution étoit pret, dit Monsieur (aujourd'hui Louis XVIII.) a la municipalité de Paris, en 1789 ; le roi, par ses intentions, ses vertus, et son rang supreme, devoit en ctre le chef ! " We perfectly agree with Madame de Stael — "que toute la sagesse... | |
| Philippe Joseph Benjamin Buchez - France - 1846 - 536 pages
...divisait tous les esprits, je n'ai pas cessé de croire qu'une grande révolution était prête ; que le roi, par ses intentions, ses vertus et son rang suprême, devait en être le chef, puisqu'elle ne pouvait pas être avantageuse à la nation, sans l'être également au monarque; enfin... | |
| Lord Francis Jeffrey Jeffrey - Edinburgh review - 1846 - 790 pages
...blood.—"Une grande revolution e"toit pret, dit Monsieur (aujourd'hui Louis XVIII.) a la municipalite de Paris, en 1789 ; le roi, par ses intentions, ses vertus, et son rang supreme, devoit en etre le chef! " We perfectly agree with Madame de Stael—" que toute la sagesse... | |
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