| Petitot (M., Claude-Bernard) - France - 1826 - 552 pages
...célé, conformément à la délibération qui en avoit été prise (0. Quand je lui demandai comme quoi il l'avoit appris, il me déclara en confiance , fort franchement , qu'il le savoit de la Reine, et qu'elle le tenoit de Monsieur. A la vérité je ne la croyois pas si bien instruite... | |
| France - 1826 - 536 pages
...conformément à la délibération qui en avoit été prise (»). Quand je lui demandai comme quoi il l'avoit appris, il me déclara en confiance, fort franchement, qu'il le savoit de la Reine, et qu'elle le tenoit de Monsieur. A la vérité je ne la croyois pas si bien instruite,... | |
| Alfred de Vigny - French fiction - 1855 - 532 pages
...célé, conformément à la délibération qui en avoit esté prise. — Quand je luy demanday comme quov il l'avoit appris, il me déclara en confiance fort franchement qu'il le sf;voit de la Royne et qu'elle le tenoit de Monsieur. i Voir l'interrogatoire et proces-vcrbaux instruit*... | |
| Victor Cousin - 1862 - 570 pages
...ce qui me surprit fort, car jo croyois qu'il lui eut été cèle1. Quand je lui demandai comme quoi il l'avoit appris, il me déclara en confiance fort franchement qu'il le savoit de la reine, et qu'elle le teuoit de Monsieur. A la vérité, je nu la croyois pas si bien instruite,... | |
| Alfred de Vigny - 1863 - 636 pages
...M. le Chancelier, etc 1642. mément à la délibération qui en avoit esté prise. — Quand je luy demanday comme quoy il l'avoit appris, il me déclara en confiance fort franchement qu'il le sçavoit de la Royne et qu'elle le tenoit de Monsieur. « Je n'iguorois pas que Sa Majesté eust fort... | |
| Victor Cousin - 1877 - 562 pages
...ce qui me surprit fort, car je croyois qu'il lui eût été celé. Quand je lui demandai comme quoi il l'avoit appris, il me déclara en confiance fort franchement qu'il le savoit de la reine, et qu'elle le tenoit de Monsieur. A la vérité, je ne la croyois pas si bien instruite,... | |
| Alfred de Vigny - 1882 - 522 pages
...étécélé, conforménient à la déliberation qui en avo't oslé prise. — Quand je luy Jemanday comme quoy il l'avoit appris, il me déclara en confiance fort franchement qu'il lo sçavoit de ici Koyne et qu'elle letenoitde Monsieur. « Je n'ignorois pas que Sa Majesté eurt... | |
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