Madame de Chevreause: Nouvelles études sur les femmes illustres et la société du XVII siécleDidier et cie, Libraires-Editeurs, 1877 - 544 pages |
Common terms and phrases
Alexandre de Campion Anne d'Autriche Archives des affaires assuré auroit avoit avons Beaupuis Bofort Boispille Buckingham Campion cardinal de Richelieu carnet Chalais Châteauneuf Chatonof Chavigni choses Colbert comte de Soissons Condé conseil conspiration Craft d'Angleterre d'Espagne déclaration Dépêche dessein detto dire donner Dorat duc d'Orléans duc de Lorraine duchesse de Chevreuse dudit écrit Éminence envoyé esprit estant esté estoit estre étoit faisoit femme Flandre frère Fronde garde des sceaux gentilhomme Henri de Campion ibid j'ai jours ladite dame lettres Luynes Madame main maison Majesté Malbasty mandé maréchal Marie de Rohan Mazarin Mémoires ment mesme ministre Mma di Cheverosa Mme de Chevreuse Mme de Longueville Mme de Montbazon Mme de Motteville Monseigneur Monsieur Montaigu n'avoit parler passé personne pouvoit prince princesse Regina reine Anne reine mère résolution Retz Reyne Rochefoucauld Rohan royaume seroit service servir sorte Soubise trouver Valette Vandomo Vendôme Vendosme vouloit vreuse
Popular passages
Page 457 - Si donnons en mandement à nos amés et féaux conseillers les gens tenant notre cour de parlement à Paris , que ces présentes ils aient à faire lire , publier et...
Page 452 - Louis, par la grâce de Dieu, roi de France et de Navarre, à tous présents et à venir, salut.
Page 453 - Nous avons dérogé et dérogeons par ces mêmes présentes ; car tel est notre plaisir ; et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours. Nous avons fait mettre notre scel à cesdites présentes.
Page 122 - Bruxelles. Quelque difficulté et quelque péril qui me parussent dans un tel projet, je puis dire qu'il me donna plus de joie que je n'en...
Page 457 - PLAISIR. Et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, nous avons fait mettre notre scel à ces dites présentes, sauf en autre chose notre droit et l'autrui en toutes.
Page 54 - Carlisle avoit pris les ferrets , il appréhenda les effets de sa jalousie , et qu'elle ne fût capable de les remettre entre les mains du cardinal pour perdre la Reine. Dans cette extrémité, il dépêcha à l'instant même un ordre de fermer les ports d'Angleterre, et défendit que personne n'en sortît, sous quelque prétexte que ce pût être , devant un temps qu'il marqua.
Page 273 - ... conviction qui l'obligeât à traiter le duc avec cette rigueur. Le cardinal , désespéré de ne pouvoir persuader les autres de ce dont il étoit entièrement assuré, avoit un grand désir de m'avoir entre ses mains. Il jugea néanmoins qu'il falloit me donner le temps de me rassurer afin de me prendre avec plus de facilité.
Page 329 - L'humilité ayant fait mourir dans son cœur toute la grandeur du siècle, elle défendit que l'on fît revivre à sa mort la moindre marque de cette grandeur, qu'elle voulut achever d'ensevelir sous la simplicité de cette tombe , ayant ordonné qu'on l'enterrât dans la paroisse de Gagny, où elle est morte à l'âge de soixante-dix-neuf ans, le 12 aoust 1679.
Page 279 - Je vis en ce moment par le feu qui brilloit dans les yeux de la Reine, et par les choses qui en effet arrivèrent le lendemain et le soir même, ce que c'est qu'une personne souveraine quand elle est en colère , et qu'elle peut tout ce qu'elle veut. Ce même soir, le duc de Beaufort revenant de la chasse qui fut peu de jours après l'exil de madame de...
Page 270 - Royale, le dessein ne s'exécuteroit pas; mais il dit que s'il étoit seul, il falloit qu'il mourût. Le matin, il fit préparer des chevaux, et se tint dans les Capucins avec Beaupuis, près de l'hôtel de Vendôme, postant un valet de pied dans la rue pour l'avertir quand le cardinal...