| Alphonse de Lamartine - France - 1847 - 444 pages
...mon amour de la liberté, Dieu le ré» compensera. Je te reverrai un jour, ô Lucile! Sen» sible comme je l'étais , la mort qui me délivre de » la vue de tant de crimes est-elle un si grand mal» heur? Adieu, ma vie, mon âme, ma divinité sur la » terre ! Adieu, Lucile! ma Lucile! ma chère... | |
| Alphonse de Gisors - Palaces - 1847 - 284 pages
...Horace, parle» lui de moi. Tu lui diras ce qu'il ne peut point entendre, » que je l'aurais bien aimé! Malgré mon supplice, je crois - qu'il ya un Dieu. Mon sang effacera mes fautes, les fai» blesses de l'humanité; et ce que j'ai eu de bon, mes ver» tus, mon amour de la liberté, Dieu... | |
| Alphonse de Lamartine - France - 1847 - 402 pages
...Parle-lui de moi ; tu lui » diras, ce qu'il ne peut pas entendre, que je l'au» rais bien aimé ! Malgré mon supplice, je crois qu'il » ya un Dieu. Mon sang effacera mes fautes, les fai» blesses de l'humanité ; et, ce que j'ai eu de bon, » mes vertus, mon amour de la liberté,... | |
| Alphonse de Gisors - Palaces - 1847 - 302 pages
...parlc•> lui de moi. Tu lui diras ce qu'il ne peut point entendre , » que je l'aurais bien aimé! Malgré mon supplice, je crois •' qu'il ya un Dieu. Mon sang effacera mes fautes , les fai» blesses de l'humanité ; et ce que j'ai eu de bon , mes ver» tus, mon amour de la liberté,... | |
| Albert Maurin - France - 1849 - 524 pages
...déchireraient au fond du tombeau. Va gratter pour ton petit ; vis pour Horace; parle-lui de moi. — Malgré mon supplice, je crois qu'il ya un Dieu. Mon...amour de la liberté, Dieu le récompensera. Je te verrai un jour, ô ma Lucile ! Sensible comme je l'étais, la,mort qui me délivre de la vue de tant... | |
| Albert Maurin - France - 1849 - 542 pages
...déchireraient au fond du tombeau. Va gratter pour ton petit; vis pour Horace; parle-lui de moi. — Malgré mon supplice, je crois qu'il ya un Dieu. Mon...amour de la liberté, Dieu le récompensera. Je te verrai un jour, ô ma Lucile ! Sensible comme je l'étais, la mort qui me délivre de la vue de tant... | |
| Alphonse Marie L. de Prat de Lamartine - France - 1850 - 504 pages
...moi; tu lui diras, ce qu'il ne pe,ut pas entendre, que je l'aurais bien aimé! Malgré mon suppliee, je crois qu'il ya un Dieu. Mon sang effacera mes fautes,...le récompensera. Je te reverrai un jour, ô Lucile 1 Sensible comme je l'étais, la mort qui me délivre de la vue de tant de crimes est-elle un si grand... | |
| Nicolas Villiaumé - 1850 - 406 pages
...Horace. Parle-lui de moi ; tu lui diras, ce qu'il ne peut pas entendre, que je l'aurais bien aimé 1 Malgré mon supplice, je crois qu'il ya un Dieu. Mon...faiblesses de l'humanité; et ce que j'ai eu de bon, 1 Cachant est un hameau, près de Bourg-la-Reine, où madame Duplossis avait une maison de campagne.... | |
| Nicolas Villiaumé - 1851 - 382 pages
...Horace. Parle-lui de moi ; tu lui diras, ce qu'il ne peut pas entendre, que je l'aurais bien aimé 1 Malgré mon supplice, je crois qu'il ya un Dieu. Mon...le récompensera. Je te reverrai un jour, ô Lucile I ô Annette! Sensible comme je l'étais, la mort, qui me délivre de la vue de tant de crimes, est-elle... | |
| Édouard Fleury - France - 1851 - 392 pages
..., parle-lui de moi. Tu lui diras , ce » qu'il ne peut pas entendre, que j(; l'aurais bien aimé! > Malgré mon supplice, je crois qu'il ya un Dieu. Mon...récompensera. Je te reverrai un » jour , ô Lucile , ô Ànnctte ! Sensible comme je l'étais , > la mort, qui me délivre de la vue de tant de crimes,... | |
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