 | Jean de La Bruyère - Characters and characteristics - 1868 - 452 pages
...moins de peine à se soumettre aux esprits de travers que de les conduire. » (La Rochefoucauld.) ^f J'approche d'une petite ville, et je suis déjà sur...que je compte ses tours et ses clochers ; elle me paraît peinte sur le penchant de la colline. Je me récrie et je dis : Quel plaisir de vivre sous... | |
 | Napoléon Fourgeaud-Lagrèze - 1869 - 268 pages
...suis déjà sur une hauteur d'où je la découvre ; elle est située à mi-côte, une rivière i>aignc ses murs, et coule ensuite dans une belle prairie...que je compte ses tours et ses clochers ; elle me paraît peinte sur le penchant de la colline. Je me récrie, et je dis : quel plaisir de vivre sous... | |
 | Champfleury - 1872 - 364 pages
...jolie situation ! On croirait que La Bruyère l'a voulu peindre : « J'approche d'une petite ville et je la vois dans un jour si favorable que je compte...Elle me parait peinte sur le penchant de la colline. Je me récrie et je dis : Quel plaisir de vivre sous un beau ciel et dans un séjour si délicieux... | |
 | Champfleury - French essays - 1872 - 360 pages
...jolie situation ! On croirait que La Bruyère l'a voulu peindre : o J'approche d'une petite ville et je la vois dans un jour si favorable que je compte ses tours et ses clochers. Elle me paraît peinte sur le penchant de la colline. Je me récrie et je dis : Quel plaisir de vivre sous... | |
 | Jean de La Bruyère - 1873 - 370 pages
...à my-côte, une riviere baigne ses murs et coule ensuite dans une belle prairie ; elle a une forest épaisse qui la couvre des vents froids et de l'aquilon...favorable, que je compte ses tours et ses clochers; elle me paroît peinte sur le penchant de la colline. Je me récrie, et je dis : quel plaisir de vivre sous... | |
 | Jean de La Bruyère - Characters and characteristics - 1878 - 452 pages
...moins de peine a se soumettre aux esprits de travers que de les conduire. « (La Rochefoucauld.) ^f J'approche d'une petite ville, et je suis déjà sur...que je compte ses tours et ses clochers ; elle me paraît peinte sur le penchant de la colline. Je me récrie et je dis : Quel plaisir de vivre sous... | |
 | Jean de La Bruyère - 1878 - 776 pages
...Terence, qu'on a dont nos jours si heureusement imité. (I, i5.) J'approche d'une petite ville.... Je la vois dans un jour si favorable. que je compte ses tours et ses clochers. (I, a33 ; voyez II, ¡¡4°, '• Ils estimoient impraticable à un homme même qui est dans l'habitude... | |
 | Jean de La Bruyère - 1881 - 552 pages
...dans une belle prairie ; elle a une forêt s épaisse qui la couvre des vents froids et de l' aquilon. Je la vois dans un jour si favorable, que je compte ses tours et ses clochers ; elle me paraît peinte* sur le penchant de la colline. Je me récrie, et je dis . Quel plaisir de vivre sous... | |
 | Société historique et archéologique de l'Orne - France - 1886 - 964 pages
...une belle prairie ; elle a une forêt épaisse qui la couvre des vents froids cl de l'aquilon (-2. Je la vois dans un jour si favorable que je compte ses tours et ses clochers 3' : elle me paraît peinte sur le penchant de la colline (4). Je me recrie, et je dis: quel plaisir... | |
 | Comminges (France : County) - 1892 - 722 pages
...J'approche d'une petite ville : déjà elle se découvre à mes yeux. Elle est située sur la hauteur et à mi-côte : une rivière baigne ses murs, et coule...que je compte ses tours et ses clochers ; elle me paraît peinte sur le penchant de la colline. Je me récrie et je dis : quel plaisir de vivre sous... | |
| |
J'approche d'une petite ville, et je suis déjà sur une hauteur d'où je la découvre. Elle est située à mi-côte, une rivière baigne ses murs, et coule ensuite dans une belle prairie; elle a une forêt épaisse qui la couvre des vents froids et de... 
