| Alphonse de Lamartine - 1860 - 444 pages
...de la Montagne, mais il n'allait plus à la Convention. On est si bon citoyen à Paris, que l'on n'y conçoit pas comment une femme inutile, dont la plus longue vie ne serait bonne à rien, peut se sacrifier de sang-froid pour son pays!... Comme j'étais vraiment de... | |
| Louis-Gustave Doulcet comte de Pontécoulant - France - 1861 - 450 pages
...en un pareil moment , mais qui montrent bien toute la liberté de sa pensée : « A Paris, dit-elle, l'on ne conçoit pas comment une femme inutile, dont la plus longue existence ne serait bonne à rien, peut sacrifier sa vie de sang-froid pour sauver son pays Il est... | |
| comte Louis Gustave Le Doulcet de Pontécoulant - 1861 - 1018 pages
...en un pareil moment , mais qui montrent bien toute la liberté de sa pensée : « A Paris, dit-elle, l'on ne conçoit pas comment une femme inutile, dont la plus longue existence ne serait bonne à rien, peut sacrifier sa vie de sang-froid pour sauver son pays Il est... | |
| Émile Campardon - France - 1862 - 466 pages
...je navais pas de complices ; enfin cela seclaircira. Nous sommes si bons républicains à Paris, que l'on ne conçoit pas comment une femme inutile, dont la plus longue vie serait bonne à rien, peut se sacrifier de sang froy pour sauver tout son pays. Je mattendais bien... | |
| Émile Campardon - 1862 - 544 pages
...je navais pas de complices; enfin cela seclaircira. Nous sommes si bons républicains à Paris, que l'on ne conçoit pas comment une femme inutile, dont la plus longue vie serait bonne à rien, peut se sacrifier de sang froy pour sauver tout son pays. Je mattendais bien... | |
| Henri de Monteyremar - France - 1862 - 170 pages
...faire connaître ses ennemis. » cela s'éclaircira. Nous sommes si bons républicains à Paris, que l'on ne conçoit pas comment une femme inutile, dont la plus longue vie serait bonne à rien, peut se sacrifier de sang froid pour sauver tout son pays. Je m'attendais bien... | |
| Henri Sanson - France - 1863 - 472 pages
...Caen, le sacrifier sur la cime de la Montagne de la Convention nationale; mais il n'y allait plus. » A Paris, l'on ne conçoit pas comment une femme inutile, dont la plus longue vie ne serait bonne à rien, peut sacrifier ea vie de sang-froid pour sauver son pays. Je m'altendais bien... | |
| Jean Baptiste Salle - 1864 - 238 pages
...Caen, le sacrifier sur la cime de la montagne de la Convention nationale; mais il n'y allait plus. A Paris, l'on ne conçoit pas comment une femme inutile, dont la plus longue vie ne serait bonne à rien, peut sacrifier sa vie de sang-froid pour sauver son pays. Je m'attendais bien... | |
| François Ponsard - 1865 - 448 pages
...Caen, le sacrifier sur la cime de la montagne de la Convention nationale; mais il n'y allait plus. A Paris, l'on ne conçoit pas comment une femme inutile, dont la plus longue vie ne serait bonne à rien, peut sacrifier sa vie de sang-froid pour sauver son pays. Je m'attendais bien... | |
| Arts - 1865 - 1006 pages
...écrit à Barbaroux, après le meurtre de.Marat : « Nous sommes si bons républicains à Paris, que l'on ne conçoit pas comment une femme inutile, dont la plus longue vie ne serait bonne à rien, peut se sacrifier de sang-froid pour tout son pays. » Ce retour mélancolique... | |
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