| Henriette de Witt - 1873 - 414 pages
...instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine. Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson Et comme le soleil, de saison...ma tige, et l'honneur du jardin, Je n'ai vu luire encore que les feux du matin : Je veux achever ma journée. O mort! tu peux attendre : éloigne, éloigne-toi;... | |
| Johannes Scherr - Literature - 1873 - 462 pages
...seulement mes lèvres ont pressé La coupe, en mes mains encor pleine. Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson, Et comme le soleil, de saison en saison, Je veux achever mon année. Sie Sîeuolution enbigte, пофЬет fie in franjofifc^er 3ïîaf;lofigfeit ifyrc 8ered)tigung Ьшгф... | |
| Thiérache (France) - 1900 - 480 pages
...strophes. Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson Et comme le soleil, de maison en maison Je veux achever mon année Brillante sur ma tige et l'honneur du jardin Je n'ai vu luire encore que les feux du matin Je veux achever ma journée. O mort ! tu peux attendre ; éloigne, éloigne... | |
| Albert Harrison Mixer - French poetry - 1874 - 550 pages
...seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine. " Je ne suis qu'au printemps : je veux voir la moisson ; Et, comme le soleil, de...jardin, Je n'ai vu luire encor que les feux du matin : " 0 mort ! tu peux attendre ; éloigne, éloigne-toi ! Va consoler les cœurs que la honte, l'effroi,... | |
| Malcolm MacEuen - Biography - 1874 - 268 pages
...instant seulement mes levres ont presse' La coupe en mes mains encore pleine. Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson, Et, comme le soleil, de saison en saison, Je veux achever mon ann6e. Brillante sur ma tige, et 1'honneur du jardin, Je n'ai vu luire encore que les feux du matin... | |
| Emil Pfundheller - 1875 - 382 pages
...instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine. Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson; Et comme le soleil, de saison...attendre; éloigne, éloigne-toi; Va consoler les coeurs que la honte, l'effroi, Le pâle désespoir dévore. Pour moi Pales encore a des asiles verts,... | |
| Théodore-Henri Barrau - French language - 1875 - 366 pages
...seulement mes lèvres ont pressé La coupe, en mes mains encore pleine. < Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson; Et comme le soleil, de saison...année. Brillante sur ma tige et l'honneur du jardin, le Chine et le Roseau. prison, j'en sors en espérance. > 1- Métaphore : allusion & la fable et, quoique... | |
| François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - 1875 - 974 pages
...D'une prison sûr moi les murs pèsent en vain, J'ai les ailes de l'espérance ! O ninri ! tu poux attendre, éloigne, éloigne-toi; Va consoler les cœurs que la honte, l'effroi, Le pale désespoir dévore. Pour moi, Pales encore a des asiles yerta, Les Amours des baisers, les Muses... | |
| Johannes Scherr - Literature - 1875 - 900 pages
...i^m ©elegenfieit gab, ba« ber псЦ)оГеот{феп 2,e\t, La Gloire, p reiten. Stucö 2trnauItS Brillante sur ma tige, et l'honneur du jardin, Je n'ai vu luire encore que les feux du matin, Je veux achever ma journée. 0 mort, ta peux attendre; éloigne, éloigne-toi:... | |
| James Parton - French poetry - 1877 - 548 pages
...seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine. "Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson ; Et comme le soleil, de saison...du jardin, Je n'ai vu luire encor que les feux du 56 67 "O mort ! tu peux attendre ; éloigne, éloigne-toi ; Vaconsolerlescoeursque la honte, l'effroi,... | |
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