... cachait son vin à cause des aides , qu'il cachait son pain à cause de la taille, et qu'il serait un homme perdu si l'on pouvait se douter qu'il ne mourût pas de faim. Tout ce qu'il me dit à ce sujet, et dont je n'avais pas la moindre idée, me... Oeuvres complètes de J. J. Rousseau - Page 116by Jean-Jacques Rousseau - 1912Full view - About this book
| Pierre André Sayous - 1861 - 498 pages
...pas de faim. Tout ce qu'il me dit à ce sujet, et dont je n'avais pas la moindre idée, me fit une impression qui ne s'effacera jamais. Ce fut là le...développa depuis dans mon cœur contre les vexations qu'éprouve le malheureux peuple et contre ses oppresseurs. Cet homme, quoique aisé, n'osait manger... | |
| Pierre-André Sayous - French literature - 1861 - 490 pages
...pas de faim. Tout ce qu'il me dit à ce sujet, et dont je n'avais pas la moindre idée, me fit une impression qui ne s'effacera jamais. Ce fut là le...développa depuis dans mon cœur contre les vexations qu'éprouve le malheureux peuple et contre ses oppresseurs. Cet homme, quoique aisé, n'osait manger... | |
| George Bancroft - 1864 - 360 pages
...si l'onpouvoit se douter qu'il ne mourût pas de faim. Tout ce qu'il me dit à ce sujet me fit une impression qui ne s'effacera jamais. Ce fut là le...qu'éprouvé le malheureux peuple et contre ses oppresseurs. » l'opinion publique sur l'esprit de chacun des membres de l'État, ce qui aurait fait de la démocratie... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1865 - 410 pages
...pas de faim. Tout ce qu'il me dit à ce sujet , et dont je n'avois pas la moindre idée , me fit une impression. qui ne s'effacera jamais. Ce fut là le...développa depuis dans mon cœur contre les vexations qu'éprouve le malheureux peuple et «ontre ses oppresseurs. Cet homme, quoique aisé, n'osoit manger... | |
| Jules-Romain Barni - 1867 - 512 pages
...ROUSSEAU. 19 moindre idée, me fit une impression qui ne s'effacera jamais. Cie fut là le germe de celle haine inextinguible qui se développa depuis dans...contre ses oppresseurs. Cet homme, quoique aisé, n'osait manger le pain qu'il avait gagné a la sueur de son front, et ne pouvait éviter sa ruine qu'en... | |
| Jules Romain Barni - Encyclopedists - 1867 - 528 pages
...pas la moindre idée, me fit une impression qui ne s'effacera jamais. Ce fut là le germe de cetle haine inextinguible qui se développa depuis dans mon cœur contre les vexations qu'éprouve le malheureux peuple, et contre ses oppresseurs. Cet homme, quoique aisé, n'osait manger... | |
| Ernest Hamel - 1868 - 412 pages
...ce qu'il me dit à ce sujet, et dont je n'avais pas la moindre idée, a écrit Rousseau, me fit une impression qui ne s'effacera jamais. Ce fut là le...développa depuis dans mon cœur contre les vexations qu'éprouve le malheureux peuple et contre ses oppresseui's. Cet homme, quoique aisé, n'osait manger... | |
| Eugène Bonnemère - Agriculture - 1874 - 532 pages
...sujet, et dont je n'avais pas la moindre idée, me fit une impression qui ne s'effacera jamais. Ce fut le germe de cette haine inextinguible qui se développa...contre ses oppresseurs. Cet homme, quoique aisé, n'osait manger le pain qu'il avait gagné à la sueur de son front, et ne pouvait éviter la ruine... | |
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