 | French revolution, 1789 - 1857 - 536 pages
...s'établit dans la salle, et Tallien poursuit : « J'ai vu hier se former « l'armée du nouveau Cromwell, et je me suis armé d'un « poignard pour lui percer le sein , si la Convention n'ao vait pas le courage de le décréter d'accusation. » — Il tire en effet le poignard... | |
 | Théodore-Henri Barrau - France - 1857 - 550 pages
...l'être. Hier j'assistais à la séance des Jacobins ; là j'ai vu se former l'armée du nouveau Cromwell; je me suis armé d'un poignard pour lui percer le sein , si l'Assemblée n'a pas le courage de le décréter d'accusation à l'instant même. » Il tire en effet son poignard,... | |
 | Amédée Gabourd - France - 1859 - 560 pages
...séance des jacobins ; j'ai frémi « pour la patrie ; j'ai vu se former l'armée du nou« veau Cromwell, et je me suis armé d'un poignard « pour lui percer le sein, si la convention n'avait pas « le courage de le décréter d'accusation ; » et il montra son poignard.... | |
 | Théophile Sébastien Lavallée - 1861 - 636 pages
...: « J'ai vu hier, dit-il, la séance des Jacobins; j'ai vu se former l'armée du nouveau Cromwell, et je me suis armé d'un poignard pour lui percer le sein, si la Convention n'avait pas le courage de le décréter d'accusation. » Alors on décrète la permanence... | |
 | H. Sanson - 1863 - 550 pages
...Je n'ai pas voulu récriminer ; mais je vis hier la séance des Jacobins; je vis se former l'armée du nouveau Cromwel, et je me suis armé d'un poignard pour lui percer le sein, si la Convention n'avait pas le courage de le décréter d'arrestation. (Bruyants applaudissements.} Accusons-le... | |
 | Hippolyte Castille - 1865 - 442 pages
...séance des Jacobins; j'ai frémi pour la patrie ; j'ai vu se former l'armée du nouveau Cronrwell, et je me suis armé d'un poignard pour lui percer le sein, si la Convention nationale n'avait pas le courage de le décréter d'accusation. » Il tira un poignard,... | |
 | Maximilien Robespierre - France - 1867 - 364 pages
...séance des Jacobins : j'ai frémi pour la patrie; j'ai vu se former l'armée du nouveau Cronvwell, et je me suis armé d'un poignard pour lui percer le sein si la Convention nationale n'avait pas le courage de le décréter d'accusation. » Les deux propositions... | |
 | Charles-Aimé Dauban - France - 1869 - 648 pages
...elle trahissait mon attente et celle de tous les Français, le tyran jouirait peu de son triomphe. Je me suis armé d'un poignard pour lui percer le sein si la Convention n'a pas le courage de le décréter à l'instant d'accusation. » Il tire ce poignard,... | |
 | Charles-Aimé Dauban - France - 1869 - 672 pages
...si elle trahissait mon attente et celle de tous les Francais, le tyran jouirait peu de son triomphe. Je me suis armé d'un poignard pour lui percer le sein si la Convention n'a pas le courage de le décréter à l'instant d'accusation n Il tire ce poignard,... | |
 | Jules Nicolas Davy - Eure (France) - 1876 - 1162 pages
...séance des Jacobins, « j'ai frémi pour la patrie; j'ai vu se former l'armée du « nouveau Cromwell, et je me suis armé d'un poignard « pour lui percer le sein, si la Convention nationale « n'avait pas le courage de le décréter d'accusation. » Mais, en formulant... | |
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France qu'il avait formé une liste de proscription ; je n'ai' pas voulu récriminer ; mais j'ai vu hier la séance des jacobins ; j'ai frémi pour la patrie ! J'ai vu se former l'armée du nouveau Cromwel , et je me suis armé d'un poignard pour lui... 
