En cela, l'on avait raison, et il est certain que j'écrivis ce roman dans les plus brûlantes extases; mais on se trompait, en pensant qu'il avait fallu des objets réels pour les produire : on était loin de concevoir à quel point je puis m'enflammer... Oeuvres de J.J. Rousseau - Page 419by Jean Jacques Rousseau - 1827Full view - About this book
| Jean-Jacques Rousseau - 1845 - 382 pages
...extases; mais on se trompait en pensant qu'il avait fallu des objets réels pour les produire : on était loin de concevoir à quel point je puis m'enflammer...d'Houdetot, les amours que j'ai sentis et décrits n'auraient été qu'avec des sylphides. Je ne voulus ni confirmer ni détruire une erreur qui m'était... | |
| Jean-Jacques Rousseau - French literature - 1846 - 586 pages
...extases; mais on se trompait en pensant qu'il avait fallu des objets réels pour les produire : on était loin de concevoir à quel point je puis m'enflammer...d'Houdetot, les amours que j'ai sentis et décrits n'auraient été qu'avec des sylphides. Je ne voulus ni confirmer ni détruire une erreur qui m'était... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1857 - 616 pages
...coeur. En cela l'on avoit raison , et il est certain que j'écrivis ce roman dans les plus brûlantes extases ; mais on se trompoit en pensant qu'il avoit...imaginaires. Sans quelques réminiscences de jeunesse et Mme d'Houdetot, les amours que j'ai sentis et décrits n'auroient été qu'avec des sylphides. Je ne... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1876 - 708 pages
...extases; mais on se trompait en pensant qu'il avait fallu des objets réels pour les produire : on était loin de concevoir à quel point je puis m'enflammer...d'Houdetot, les amours que j'ai sentis et décrits n'auraient été qu'avec des sylphides. Je ne voulus ni confirmer ni détruire une erreur qui m'était... | |
| André Le Breton - French fiction - 1898 - 416 pages
...; mais on se trompait en pensant qu'il m'avait fallu des objets réels pour le produire ; on était loin de concevoir à quel point je puis m'enflammer pour des êtres imaginaires. » Voilà le mot à retenir, et c'est Jean-Jacques qui a raison. L'important n'est pas de chercher... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1911 - 826 pages
...cœur. En cela l'on avoit raison, et il est certain que j'écrivis ce roman dans les plus brûlantes extases ; mais on se trompoit en pensant qu'il avoit...imaginaires. Sans quelques réminiscences de jeunesse et Mme d'Houdetot, les amours que j'ai sentis et décrits n'auroient été qu'avec des sylphides. Je ne... | |
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