... c'est vous qui me rendez le séjour de mon pays insupportable ; c'est vous qui me ferez mourir en terre étrangère, privé de toutes les consolations des mourants, et jeté pour tout honneur dans une voirie, tandis que tous les honneurs qu'un homme... Jean-Jacques Rousseau: sa vie et ses ouvrages - Page 167by Saint-Marc Girardin, Ernest Bersot - 1875 - 411 pagesFull view - About this book
| Jean-Jacques Rousseau - 1926 - 418 pages
...qui me ferez mourir en terre étrangére, privé de toutes les consolations des mourans, et jetté pour tout honneur dans une voirie, tandis que tous les honneurs qu'un homme peut attendre vous accompagneront dans mon pays. Je vous hais, enfin, puisque vous l'avez voulu ; mais je vous hais en... | |
| Faculté des lettres et sciences humaines d'Aix (France) - 1914 - 810 pages
...des applaudissements que je vous ai prodigués parmi eux ; c'est vous qui me rendez le séjour de mon pays insupportable ; c'est vous qui me ferez mourir...que tous les honneurs qu'un homme peut attendre vous accompagneront dans mon pays. Je vous hais enfin, puisque vous l'avez voulu ; mais je vous hais en... | |
| Henri Gouhier - Authors, French - 1983 - 484 pages
...séjour de mon pays insupportable », reproche qu'illustre un petit tableau à la manière de Greuze : « c'est vous qui me ferez mourir en terre étrangère,...jeté pour tout honneur dans une voirie, tandis que - et voici l'autre volet - tous les honneurs qu'un homme peut attendre vous accompagneront dans mon... | |
| Pierre Laffitte - Positivism - 1878 - 760 pages
...applaudis« sements que je vous ai prodigués parmi eux. C'est vous « qui me rendez le séjour de mon pays insupportable; c'est « vous qui me ferez mourir...tous les honneurs « qu'un homme peut attendre vous accompagneront dans « mon pays. Je vous hais enfin, puisque vous l'avez voulu » (2). Après la lecture... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1798 - 486 pages
...applaudissemens que « je vous ai prodigués parmi eux : c'est « vous qui me rendez le séjour de mon « pays insupportable : c'est vous qui « me ferez mourir...étrangère, « privé de toutes les consolations des « mourans, et jeté pour tout honneur « dans une voirie; taudis que tous les « honneursqu'unhommepeutattendre... | |
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