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" L'automne souriait ; les coteaux vers la plaine Penchaient leurs bois charmants qui jaunissaient à peine, Le ciel était doré... "
Les rayons et les ombres - Page 141
by Victor Hugo - 1840 - 205 pages
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Une nouvelle France

Philibert Ragey - Canada - 1902 - 294 pages
...mélancoliques beautés si bien peintes par l'auteur des Rayons et des ombres dans La Tristesse d'Olympia : L'automne souriait; les coteaux vers la plaine Penchaient leurs bois charmants qui jaunissaient à Le ciel était doré : [peine, Et les oiseaux tournés vers Celui que tout nomme Disant peut-être...
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Poems of Victor Hugo

Victor Hugo - French language materials - 1906 - 426 pages
...était plein d'encens et les prés de verdures Quand il revit ces lieux où par tant de blessures' Son cœur s'est répandu. L'automne souriait; les...doré; ' ' Et les oiseaux, tournés vers celui que tout nomme Disant peut-être à Dieu quelque chose de l'homme Chantaient leur chant sacré. " Il voulut...
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Les cent meilleurs poèmes (lyriques) de la langue française

Auguste Dorchain - French poetry - 1907 - 190 pages
...L'air était plein d'encens et les prés de verdures Quand il revit ces lieux où par tant de blessures Son cœur s'est répandu. L'automne souriait ; les...doré ; Et les oiseaux, tournés vers celui que tout nomme, Disant peut-être à Dieu quelque chose de l'homme, Chantaient leur chant sacré. Il voulut...
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The Oxford Book of French Verse: XIIIth--XIXth Century

St. John Lucas - French periodicals - 1908 - 542 pages
...L'air était plein d'encens et les prés de verdures Quand il revit ces lieux où par tant de blessures Son cœur s'est répandu. L'automne souriait; les...doré; Et les oiseaux, tournés vers celui que tout nomme, Disant peut-être à Dieu quelque chose de l'homme, Chantaient leur chant sacré. II voulut...
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Selected Poems

Victor Hugo - French poetry - 1908 - 298 pages
...était plein d'encens et les prés de verdures Quand il revit ces lieux où par tant de blessures s L'automne souriait; les coteaux vers la plaine Penchaient...doré; Et les oiseaux, tournés vers celui que tout nomme, " Disant peut-être à Dieu quelque chose de l'homme, Chantaient leur chant sacré. Il voulut...
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Selected Poems

Victor Hugo - French poetry - 1908 - 290 pages
...était plein d'encens et les prés de verdures Quand il revit ces lieux où par tant de blessures S L'automne souriait; les coteaux vers la plaine Penchaient...doré; Et les oiseaux, tournés vers celui que tout nomme, 10 Disant peut-être à Dieu quelque chose de l'homme, Chantaient leur chant sacré. Il voulut...
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Poesie

Victor Hugo - 1909 - 748 pages
...prés de verdures Quand il revit ces lieux où par tant de blessures Son cœur s'est répandu! Automne souriait; les coteaux vers la plaine Penchaient leurs...doré; Et les oiseaux, tournés vers celui que tout nomme, Disant peut-être à Dieu quelque chose de l'homme, Chantaient leur chant sacré! Il voulut...
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Les cent meilleurs poèmes (lyriques) de la langue française

French poetry - 1910 - 188 pages
...plein d'encens et les prés de verdures Quand il revit ces lieux où par tant de blessures Son coeur s'est répandu. L'automne souriait ; les coteaux vers...doré ; Et les oiseaux, tournés vers celui que tout nomme, Disant peut-être à Dieu quelque chose de l'homme, Chantaient leur chant sacré. Il voulut...
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Anthology of French prose and poetry

Régis Michuad - French language - 1910 - 456 pages
...souriait ; les coteaux vers la plaine A, Penchaient leurs bois charmants qui jaunissaient à peine ; Jf Le ciel était doré ; Et les oiseaux, tournés vers celui que tout nomme, 10 Disant peut-être à Dieu quelque chose de l'homme, Chantaient leur chant sacré. Il voulu*,...
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... Pour qu'on voyage: essai sur l'art de bien voyager

Albert Dauzat - Travel - 1911 - 426 pages
...France, le promeneur, par les beaux jours d'automne, a passé, indifférent, sans remarquer comment Les coteaux vers la plaine Penchaient leurs bois charmants qui jaunissaient à peine. II n'a point prêté attention au « vieux frêne plié », au « lac, divin miroir », aux « grands...
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