... la postérité. Un mousquetaire nommé Girardeau, blessé dangereusement, avait été porté près de sa tente. On manquait de chirurgiens assez occupés ailleurs; on allait panser le prince à qui une balle avait percé les chairs de la jambe : «... Histoire de l'administration de la guerre - Page 232by François-Xavier Audouin - 1811Full view - About this book
| Horticulture - 1853 - 796 pages
...On allait panser le prince, à qui une balle avait percé la jambe : « Commencez , dit le prince , par soulager cet officier français; il est plus blessé que moi ; il manquerait de secours , et je n'en manquerais pas. « (Précis du siècle de Louis A77 , par Voltaire.) Les soins de ce généreux... | |
| Adolphe Laurent Joanne - 1854 - 848 pages
...allait panser le prince a 2uiune balle avait percé les chairs e la jambe. «Commencez, dit le prince, par soulager cet officier français ; il est plus blessé que moi, il manquerait de secours et je n'en manquerai pas. » La perte avait été & peu près égale des deux côtés, liais cette... | |
| Voltaire - 1860 - 548 pages
...panser le prince à qui une balle avait percé les chairs de la jambe. « Commencez, dit le prince, par soulager cet officier français; il est plus blessé que moi; il manquerait de secours, et je n'en manquerai pas. » Au reste , la perte fut à peu près égale dans les deux armées. Il... | |
| Jean François L. d'. Hozier - 1875 - 776 pages
...le duc de Cumberland, les chirurdisposoient à panser le prince de préférence :« Comdit le duc, par soulager cet officier français ; il est plus blessé que moi, il manquerait de secours el je n'manquerai pas. » Girard, nom porté par plusieurs familles, parmi lesquelles, outre les Girard... | |
| Jean François Louis d' Hozier - France - 1875 - 730 pages
...Cumberland, les chirurgiens se disposoient à panser le prince de préférence :« Commencez, dit le duc, par soulager cet officier français ; il est plus blessé que moi, il manqueroit de secours et je nV manquerai pas. * Girard, nom porlé par plusieurs familles, parmi lesquelles",... | |
| Voltaire - 1877 - 864 pages
...panser Je prince à qui une balle avait percé les chairs de la jambe. « Commencez, dit le prince , « par soulager cet officier français ; il est plus « blessé que moi ; il manquerait de secours . et « je n'en manquerai pas. » Au reste , la perle fut à peu près égale dans les deux armées.... | |
| Voltaire - Europe - 1878 - 600 pages
...panser le prince, à qui une balle avait percé les chairs de la jambe. « Commencez, dit le prince, par soulager cet officier français ; il est plus blessé que moi ; il manquerait de secours, et je n'en manquerai pas. » Au reste, la perte fut à peu près égale dans les deux armées. Il y... | |
| François Marie Arouet de Voltaire - 1878 - 604 pages
...panser le prince, a qui une balle avait percé les chairs de la jambe. « Commencez, dit le prince, par soulager cet officier français; il est plus blessé que moi; il manquerait de secours, et je n'en manquerai pas. » Au reste, la perte fut à peu près égale dans les deux armées. Il y... | |
| Voltaire - 1878 - 614 pages
...panser le prince, à qui une balle avait percé les chairs de la jambe. « Commencez, dit le prince, par soulager cet officier français ; il est plus blessé que moi ; il manquerait de secours, et je n'en manquerai pas. » Au reste, la perte fut à peu près égale dans les deux armées. Il y... | |
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