 | Claude François Beaulieu - 1801
..., « voilà le vrai salut des Français. Lorsque « des troupes s'avancent de toutes parts; « qu« des camps se forment autour de nous> « que la capitale est investie ' nous nous de-* « mandonsavecétonnement : Leroi s'est-ilmé« fié de la fidélité de ses peuples ? s'il avait... | |
 | Antoine-François Bertrand-de-Molleville - France - 1801
...de votre cœur , sire , voilà le • » vrai salut des Français. » Lorsque des troupess'avancent de toutes parts, » que des camps se forment autour...» avec étonnement : le roi s'est-il méfié de la h'dé» lité de ses peuples ? s'il avoit pu en douter , n'au» roit-il pas versé dans notre cœur... | |
 | Jean François Marmontel - 1804
...(détestable hypocrite) ! » Les mouvemens de votre cœur , Sire, voilà le vrai salut des Français. Lorsque des troupes s'avancent de toutes parts, que...la capitale est investie, nous nous demandons avec étonnetnent , le roi s'est- il méfié de la fidélité de ses peuples ? S'il avoit pu en douter ,... | |
 | François-Xavier Audouin - France - 1811
...de toutes « parts , disoit dans cette adresse éloquente « l'orateur de l'assemblée nationale ; lorsque « des troupes s'avancent de toutes parts, que « des camps se forment autour de nous, quel» * capitale est investie, nous nous demandons « avec étonnement: le roi s'est-il méfié de... | |
 | Guillaume N. Lallement - Constitutional history - 1818
...luimême sans obstacle. » Les mouvemens de votre cœur, Sire, voilà le vrai salut des Français. Lorsque des troupes s'avancent de toutes parts, que...dire cet appareil menaçant? Où sont les ennemis de l'Etat et du roi qu'il faut subjuguer? Où sont les rebelles, les ligueurs qu'il faut réduire?...... | |
 | Guillaume N. Lallement - Constitutional history - 1818
...obstacle. , ; , il •. » Les mouvemens de votre cœur, Sire, voilà le. vrai salut des Francais. Lorsque des troupes s'avancent . de toutes parts, que des camps se forment autoup.de nous , que la capitale est investie-,, nous nous demandons avec étpnnement : le roi s'est-il... | |
 | Jean François Marmontel - 1819
..., voilà le vrai salut des français. Lorsque des troupes s'avancent de toutes parts , que des amps se forment autour de nous , que la capitale est investie , nous nous demandons avec étonncment : Le roi s'est-il méfié de I» fidélité de ses peuples? S'il avait pu en douter , n'aurait-il... | |
 | Honoré-Gabriel de Riquetti comte de Mirabeau - 1822
...marcher lui-même sans obstacle. Les mouvemens de votre cœur , Sire, voilà le vrai salut des Français. Lorsque des troupes s'avancent de toutes parts , que...la capitale est investie, nous nous demandons avec étonnelii' ut : Le roi s'est-il méfié de la fidélité de ses peuples? S'il avait pu en douter ,... | |
 | Jacques-Antoine Dulaure - France - 1823
...vancent de toutes parts , que des camps se for» ment autour de nous, que la capitale est investie, >i nous nous demandons avec étonnement : Le roi » s'est-il...dire cet appareil menaçant? Où sont les ennemis » du roi qu'il faut subjuguer? Où sont les rebelles, » les ligueurs qu'il faut réduire?.... Une... | |
 | Jacques Peuchet - France - 1824
...ob» staclé. » Les mouvements de votre cœur, sire , voilà »le vrai salut des FrancaisTXorsque des troupes » s'avancent de toutes parts , que des...capitale est in»vestie, nous nous demandons avec étonne» ment : Le roi s'est-il méfié de la fidélité de ses » peuples ? s'il avait pu en douter,... | |
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