| Louis Ducros - 1888 - 252 pages
...commencait à végéter; on voyait des violettes et des primevères ; les bourgeons des arbres commençaient à poindre, et la nuit même de mon arrivée fut marquée...entendre presque à ma fenêtre, dans un bois qui touchait la maison. Après un léger sommeil, oubliant ù mon réveil ma transplantation, je me croyais... | |
| Hippolyte Buffenoir - 1891 - 78 pages
...Montmorency, il dit : « On voyait des violettes et des primevères, les bourgeons des arbres commençaient à poindre, et la nuit même de mon arrivée fut marquée...entendre presque à ma fenêtre, dans un bois qui touchait la maison. . . Mon premier soin fut de me livrer à la délicieuse impression des objets champêtres... | |
| Hippolyte Buffenoir - 1891 - 84 pages
...Montmorency, il dit : « On voyait dès violettes et des primevères, les bourgeons des arbres commençaient à poindre, et la nuit .même de mon arrivée fut...entendre presque à ma fenêtre, dans un bois qui touchait la maison . . . Mon premier soin fut de me livrer à la délicieuse impression des objets... | |
| Louis Ducros - 1894 - 252 pages
...le premier chant du rossignol, qui se fit entendre presque à ma fenêtre, dans un bois qui touchait la maison. Après un léger sommeil, oubliant à mon réveil ma transplantation, je me croyais encore dans la rue Gre« nelle, quand tout à coup ce ramage me fit tressaillir, et je m'écriai... | |
| Paul Jacquinet - Authors, French - 1893 - 704 pages
...commencement d'avril); on voyait dos violettes et des primevères; les bourgeons des arbres commençaient à poindre, et la nuit même de mon arrivée fut marquée...premier chant du rossignol, qui se fit entendre presque a ma fenêtre dans un bois qui touchait la maison. Après un léger sommeil, oubliant à mon réveil... | |
| Gustave Lanson - French language - 1896 - 232 pages
...commençait à végéter; on voyait des violettes et des primevères, les bourgeons des arbres commençaient à poindre, et la nuit même de mon arrivée fut marquée...entendre presque à ma fenêtre, dans un bois qui touchait la maison. Après un léger sommeil, oubliant à mon réveil ma transplantation, je me croyais... | |
| vicomte Hervé de Broc - French literature - 1898 - 316 pages
...commençait à végéter; on voyait des violettes et des primevères, les bourgeons des arbres commençaient à poindre, et la nuit même de mon arrivée fut marquée...entendre presque à ma fenêtre, dans un bois qui touchait à la maison. Après un léger sommeil, oubliant à mon réveil ma transplantation, je me... | |
| Education - 1901 - 808 pages
...à végéter ; on voyait des violettes et fies primevères ; les bourgeons des arbres commençaient à poindre, et la nuit même de mon arrivée fut marquée...entendre presque à ma fenêtre, dans un bois qui touchait la maison. Après un léger sommeil, oubliant à mon réveil ma transplantag tion, je me croyais... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1905 - 444 pages
...commençait à végéter; on voyait des violettes et des primevères ; les bourgeons des arbres commençaient à poindre, et la nuit même de mon arrivée fut marquée...entendre presque à ma fenêtre, dans un bois qui touchait la. maison. Après un léger sommeil, oubliant à mon réveil ma transplantation, je me croyais... | |
| Faculté des lettres d'Aix (France). - 1907 - 1056 pages
...commençait à végéter; on voyait des violettes et des primevères, les bourgeons des arbres commençaient à poindre et la nuit même de mon arrivée fut marquée...le premier chant du rossignol, qui se fit entendre presqu'à ma fenêtre dans un bois qui touchait la maison. Après un léger sommeil , oubliant à mon... | |
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