 | Isaac-Étienne Larue (chevalier de) - France - 1821 - 546 pages
...malheurs dn i0 août me soient attribués. J'avoue » que les gages multipliés que j'avois donnés dans tous » les temps de mon amour pour le peuple , et la ma» nïère dont je m'étois toujours conduit , me parois» soient devoir prouver que je craignois... | |
 | Charles Lacretelle, Jean Charles D. de Lacretelle - France - 1824 - 526 pages
...est déchiré de trouver dans l'acte d'accusa« tion l'imputation d'avoir voulu faire répan« dre le sang du peuple, et surtout que les « malheurs...mon « amour pour le peuple , et la manière dont H. 14 « je m'étais toujours conduit, me paraissaient « devoir prouver que je craignais peu de m'exii... | |
 | Charles Lacretelle - France - 1824 - 526 pages
...est déchiré de trouver dans l'acte d'accusa« tion l'imputation d'avoir voulu faire répan« dre le sang du peuple , et surtout que les « malheurs...mon « amour pour le peuple , et la manière dont X. 14 « je m'étais toujours conduit, me paraissaient « devoir prouver que je craignais peu de m'ex»... | |
 | Charles Lacretelle - France - 1824 - 526 pages
...est déchiré de trouver dans l'acte d'accusa« tion l'imputation d'avoir voulu faire répan« dre le sang du peuple, et surtout que les « malheurs...attribués. « J'avoue que les preuves multipliées que K j'avais données dans tous les temps de mon « amour pour le peuple, et la manière dont H. i4 1792.... | |
 | Adolphe Thiers - France - 1824 - 448 pages
...» examinée publiquement ; mais mon cœur » est déchiré de trouver dans l'acte d'accusa» tion l'imputation d'avoir voulu faire répandre » le sang du peuple, et surtout que les mal» heurs du i0 août me soient attribués ! » J'avoue que les preuves multipliées que » j'avais... | |
 | Félix Jean Louis Éléonor vicomte de Conny de la Fay - France - 1824 - 534 pages
...attribués. » J'avoue que les preuves multipliées que » j'avois données, dans tous les temps, de mou » amour pour le peuple, et la manière dont- je » m'étais toujours conduit me paroissoient de». voir prouver que je craignois peu de m'ex» poser pour épargner son sang f et éloigner... | |
 | 1825 - 358 pages
...malheurs du io août « me soient attribués. J'avoue que 'les gages multipliés que » j'avais donnés, dans tous les temps, de mon amour pour le » peuple...craignais peu de » m'exposer pour épargner son sang , et devoir éloigner à » jamais une pareille imputation (i). » (J), page i24. Extrait du Journal de... | |
 | Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1825 - 372 pages
...malheurs du io août » me soient attribués. J'avoue que les gages multipliés que » j'avais donnés, dans tous les temps, de mon amour pour le » peuple...craignais peu de » m'exposer pour épargner son sang , et devoir éloigner à » jamais une pareille imputation (i). » (J),page i24. Extrait du Journal de M.... | |
 | Cléry (M.) - France - 1825 - 362 pages
...» vérité. » Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée pu» bliquement; mais mon cœur est déchiré de trouver dans » l'acte d'accusation...10 août » me soient attribués. J'avoue que les gages multipliés que » j'avais donnés, dans tous les temps, de mon amour pour le » peuple, et la... | |
 | Cléry (M.) - France - 1825 - 360 pages
...vérité. • » Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinee pu» bliquement ; mais mon cœur est déchiré de trouver dans » l'acte d'accusation...le sang du peuple, et surtout que les malheurs du i0 août » me soient attribués. J'avoue que les gages multipliés que » j'avais donnés, dans tous... | |
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En vous parlant peut-être pour la dernière fois, je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien , et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité. Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement; mais mon cœur est déchiré... 
