| St. John Lucas, St. John Welles Lucas Lucas - French poetry - 1911 - 298 pages
...pères m'ont connu ! Ils croissaient comme vous, mes yeux s'ouvraient encore Au soleil, au printemps, aux roses de l'aurore ; J'étais jeune et vaillant....Soleil qui vois, entends, connais tout, et toi, mer, Fleuves, terre, et noirs dieux des vengeances trop lentes, Salut ! Venez à moi, de l'Olympe habitantes,... | |
| Georges Pellissier - French poetry - 1922 - 584 pages
...j'ai para des premiers. J'ai -va Corinthe, Argos, et Crète et les cent villes, Et du fleuve Egyptus les rivages fertiles; Mais la terre et la mer, et...Soleil qui vois, entends, connais tout; et toi, mer, « Fleuves, terre, et noirs dieux des vengeances trop lentes, c Salut! Venez à moi de l'Olympe habitantes,... | |
| Société de linguistique de Paris - Language and languages - 1923 - 526 pages
...(MUssET, Songe d'Auguste). Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant (Io., Naît de mai). .... Ainsi la cigale innocente, Sur un arbuste assise, et se console et chante (CiiÉNiBR, L'aveagle). Dans les buissons sèchés la bise va sifflant (SAINTE-BEUVE).Un bruissement... | |
| Albert Schinz - French language - 1923 - 658 pages
...j'ai paru des premiers. J'ai vu Corinthe, Argos, et Crète et les cent villes.1 Et du fleuve Egyptus les rivages fertiles; Mais la terre et la mer, et...Soleil qui vois, entends, connais tout; et toi, mer; Fleuves, terre, et noirs dieux de vengeances trop lentes, Salut ! Venez à moi de l'Olympe habitantes,... | |
| Meleager - 1926 - 308 pages
...posthumes d'André Chénier, édition critique par L. Becq de Fouquières, Paris, 1872, in-12, p. 14) : Ainsi la cigale innocente Sur un arbuste assise, et se console et chante... cl (ibidem, p. 148) : Et comme la cigale, amante des buissons, De rameaux en rameaux tour à tour reposée,... | |
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