qu'en un clin d'œil tout fut » dispersé (c'est M. de Chabrol lui-même qui » l'atteste) ; dans moins de vingt-quatre heures » tout était rentré dans l'ordre, sans que la force » armée eût été obligée de tirer un seul coup de La Minerve française - Page 2641818Full view - About this book
| Benjamin Constant - France - 1837 - 592 pages
...lui-même qui l'atteste)^ dans moins de vingt-quatre heures tout était n rentré dans l'ordre , snns que la force armée eût été obligée de tirer un :> seul coup de fusil (p. 83). » Ainsi l'insurrection était apaisée , la sûreté publique à l'abri de tout danger. •... | |
| Achille Tenaille de Vaulabelle - France - 1847 - 590 pages
...fut ainsi dispersé en -un clin d'œil, disait à quelque temps de là le préfet Chabrol ; en moins de vingt-quatre heures, tout était rentré dans l'ordre...eût été obligée de tirer un seul coup de fusil '. » Faut-il ajouter, pour achever de caractériser l'événement, que le général Canuel et le comte... | |
| Achille de Vaulabelle - 1855 - 544 pages
...fut ainsi dispersé en un clin d'œil, disait, a quelque temps de la, le préfet Chabrol; en moins de vingt-quatre heures, tout était rentré dans l'ordre...armée eût été obligée de tirer un seul coup de fusil1. » Faut-il ajouter, pour achever de caractériser l'événement, que le général Canuel et... | |
| Henri-Léonard Bordier, Édouard Charton - Art - 1860 - 620 pages
...général de, police, M. de Sainneville, amenèrent, le 8 juin 1817, l'insurrection de onze villages. En vingt-quatre heures tout était rentré dans l'ordre, sans que la force armée eût tiré un coup de fusil. Le 1er septembre, la Cour prcvôlalc avait déjà jugé cent cinquante-cinq... | |
| Henri Léonard Bordier, Édouard Charton - France - 1862 - 624 pages
...général de police M. de Sainneville, amenèrent, le 8 juin 1817, l'insurrection de onze villages. En vingt-quatre heures tout était rentré dans l'ordre, sans que la force armée eût tiré un coup de fusil. Le \ct septembre, la Cour prévôlale avait déjà jugé cent cinquante-cinq... | |
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