L'été, lorsque le jour a fui, de fleurs couverte, La plaine verse au loin un parfum enivrant; Les yeux fermés, l'oreille aux rumeurs entr'ouverte, On ne dort qu'à demi d'un sommeil transparent. Les astres sont plus purs, l'ombre paraît... Les rayons et les ombres - Page 165by Victor Hugo - 1840 - 278 pagesFull view - About this book
| Victor Hugo - Literary Criticism - 2004 - 668 pages
...fait ces voix désespérées Que vous avez le soir quand vous venez vers nous! XLIII. Nuits de juin L'été, lorsque le jour a fui, de fleurs couverte,...enivrant; Les yeux fermés, l'oreille aux rumeurs entr' ouverte, On ne dort qu'à demi d'un sommeil transparent. Les astres sont plus purs, l'ombre paraît... | |
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