 | Giosuè Carducci - Italian literature - 1920 - 504 pages
...où sa route est bornée, Son pied sonor et vigilant, Le sommeil du tombeau pressera ma paupière. Avant que de ses deux moitiés Ce vers que je commence...atteint la dernière, Peut-être en ces murs effrayés Le messager de mort, noir recruteur des ombres, Escorté d' infâmes soldats, Remplira de mon nom ces... | |
 | Jacques Bainville - 1923 - 802 pages
...cueillant autour de lui de quoi traduire l'impression de la vie précaire aux heures toujours menacées : Avant que, de ses deux moitiés, Ce vers que je commence ait atteint la dernière, Peut-être en ces vers effrayés Le messager de mort, noir recruteur des ombres, Escorté d'infâmes soldats, Ébranlant... | |
 | Edward Hinman Sirich, Francis Brown Barton - French literature - 1923 - 494 pages
...bornée, Son pied sonore et vigilant, ao Le sommeil du tombeau pressera ma paupière. Avant que de ces deux moitiés Ce vers que je commence ait atteint la dernière, Peut-être en ces murs effrayés Le messager de mort, noir recruteur des ombres, 25 Escorté d'infâmes soldats, Ébranlant de mon nom... | |
 | Georg Morris Cohen Brandes - Lake poets - 1923 - 422 pages
...oil sa route est bornée, Son pied sonore et vigilant, Le sommeil du tombeau pressera ma paupiere. Avant que de ses deux moitiés Ce vers que je commence ait atteint la derniere, Peut-etre en ces murs effrayés Le messager de mon, noir recruteur des ombres Escortu d'infames... | |
 | Henri Bornecque - French literature - 1924 - 252 pages
...sa route est bornée, Son pied sonore et vigilant, Le sommeil du tombeau pressera s ma paupière ! Avant que de ses deux moitiés Ce vers que je commence...atteint la dernière, Peut-être en ces murs effrayés Le messager de mort 4, noir recruteur des ombres, Escorté d'infâmes soldats, Remplissant de mon nom... | |
 | Maurice Tourneux - French literature - 1925 - 686 pages
...160. 3. Stella, éd. Delagrave, p. 182. ^. Hermé», éd. P. Dimoff, t. II, p. 29. 5. Stella, p. 185.' Avant que de ses deux moitiés Ce vers que je commence...atteint la dernière, Peut-être en ces murs effrayés Le messager de mort, noir recruteur des ombres, Escorté d'infâmes soldats, Ébrantant de mon nom... | |
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Au pied de l'échafaud j'essaye encor ma lyre. Peut-être est-ce bientôt mon tour. Peut-être avant que l'heure en cercle promenée Ait posé sur l'émail brillant, Dans les soixante pas où sa route est bornée, Son pied sonore et vigilant, Le sommeil... 
