 | Marie Joseph P.Y.R. Gilbert du Motier Lafayette (marq. de.) - 1837 - 544 pages
...ma conscience, à mes sermens : je le devais ù la patrie, à vous, an roi, et surtout à moi-mème, à qui les chances de la guerre ne permettent pas d'ajourner les observations que je crois utiles, et qui aime à penser que l'assemblée nationale j trouvera un nouvel... | |
 | comte Mathieu Dumas - France - 1839 - 568 pages
...à ma conscience, à mes « serments; je le devais à ma patrie, à vous, au « roi, et surtout à moi-même, à qui les chances « de la guerre ne permettent pas d'ajourner les « observations que je crois utiles , et qui aime à « penser que l'assemblée nationale y trouvera... | |
 | Auguste Amic, Étienne Mouttet - France - 1841 - 668 pages
...obéi à ma conscience , à mes sermens; je le devais à ma patrie, à vous, au roi , et surtout à moi-même , à qui les chances de la guerre ne permettent pas d'ajourner les observations que je crois utiles , et qui aime à penser que l'assemblée nationale y trouvera un nouvel... | |
 | comte Pierre Louis Roederer - 1854 - 630 pages
...obéi à ma conscience, à mes serments ; je le devais à la patrie, à vous, au roi, et surtout à moi-même, à qui les chances de la guerre ne permettent pas d'ajourner' les observations que je crois utiles, et qui aime à penser que l'assemblée nationale y trouvera un nouvel... | |
 | France - 1875 - 634 pages
...j'ai obéi à ma conscience, à mes serments ; je le devais à la patrie, à vous, au roi, et surtout a moi-même, à qui les chances de la guerre ne permettent pas d'ajourner les observations que je crois utiles, et qui aime à penser que l'assemblée nationale y trouvera un nouvel... | |
 | Mathurin Lescure - France - 1875 - 486 pages
...obéi à ma conscience, à mes serments ; je le devais à la patrie, à vous, au roi, et surtout à moi-même, à qui les chances ^ de la guerre ne permettent pas d'ajourner les observations que je crois utiles, et qui aime à penser que l'assemblée nationale y trouvera un nouvel... | |
 | France - 1895 - 842 pages
...obéi à ma conscience, à nos serments ; je le devais à la patrie, à vous, au roi, et surtout à moi-même, à qui les chances de la guerre ne permettent pas d'ajourner les observations que je crois utiles, et qui aime à penser que l'Assemblée nationale y trouvera un nouvel... | |
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