 | Victor Hugo - 1855 - 612 pages
...prenant mes jeunes doigts, Les levaient, les baissaient, recommençaient viii;jt lois, Leur enseignant ainsi, quoique faibles encore, A fermer tour à tour...gracieuses? J'étais un faible enfant qu'elle était glande et belle. Klle me souriait et m'appelait près d'elle- ; Debout sur ses genoux, mon innocente... | |
 | Charles Augustin Sainte-Beuve - 1858 - 398 pages
...prenant mes jeunes doigts, Les levaient, les baissaient, recommençaient vingl fois, Leur enseignant ainsi, quoique faibles encore, A fermer tour à tour les trous du buis sonore. Voilà la seule réponse à faire à ce négateur du nombre poétique, un air de flûte pastorale,... | |
 | André Chénier - French poetry - 1862 - 606 pages
...Qu'un olivier voisin présente à son passage, Pend en grappe bruyante à son amer feuillage. 10 VIII J'étais un faible enfant qu'elle était grande et...belle; Elle me souriait et m'appelait près d'elle. VII. — V. 4. Virgile, Oéorg. IV, 04 : Tinnitus cic et Matris quate cymbala circuro. Ipue confident... | |
 | Jean-Jacques Weiss - French literature - 1865 - 416 pages
...avait pris pour lui jouer du clavecin, et qui s'était donné à elle sans réserve, à première vue. J'étais un faible enfant qu'elle était grande et...belle; Elle me souriait et m'appelait près d'elle.... • Qu'on ne dise pas avec dédain : « Passion d'enfant ! » Ces passions- là, toutes confuses qu'elles... | |
 | Jean-Jacques Weiss - French literature - 1865 - 416 pages
...pris pour lui jouer du clavecin, et qui s'étail donné à elle sans réserve, à première vue. i J'étais un faible enfant qu'elle était grande et...belle; Elle me souriait et m'appelait près d'elle.... Qu'on ne dise pas avec dédain : « Passion d'enfant ! » Ces passions-là, toutes confuses qu'elles... | |
 | André Chénier - 1870 - 376 pages
...prenaient mes jeunes doigts, Les levaient, les baissaient, recommençaient vingt fois, Leur enseignant ainsi, quoique faibles encore , A fermer tour à tour les trous du buis sonore. IV. IMITÉ DE PLATON. Là reposait l'Amour , et sur sa joue en fleur D'une pomme brillante éclatait... | |
 | André Chénier - 1872 - 658 pages
...prenaient mes jeunes doigts, Les levaient, les baissaient, recommençaient vingt lois, Leur enseignant ainsi, quoique faibles encore, A fermer tour à tour les trous du buis sonore. ic \i Je sais, quand le midi leur l'ait désirer l'ombre, Entrer à pas muets sous le roc frais et... | |
 | Elme Marie Caro - France - 1880 - 406 pages
...de leur vraie place et ils n'avaient plus leur véritable intérêt d'analogie et de comparaison : J'étais un faible enfant, qu'elle était grande et...et m'appelait près d'elle. Debout sur ses genoux, mou innocente main Parcourait ses cheveux, son visage, son sein, Et sa main quelquefois, aimable et... | |
 | André Chénier - 1883 - 424 pages
...prenaient mes jeunes doigts, Les levaient, les baissaient, recommençaient vingt fois Leur enseignant ainsi, quoique faibles encore, A fermer tour à tour les trous du buis sonore. XXV* TRADUCTION DE PLATON Là reposait l'Amour, et sur sa joue en fleur D'une pomme brillante éclatait... | |
 | André Chénier - French literature - 1883 - 500 pages
...prenaient mes jeunes doigts, Les levaient, les baissaient, recommençaient vingt fois, Leur enseignant ainsi , quoique faibles encore , A fermer tour à tour les trous du buis sonore. II. •oyrinx parle et respire aux lèvres du pasteur. III. Soit que son souffle anime un simple chalumeau... | |
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M'appelait son rival et déjà son vainqueur. Il façonnait ma lèvre inhabile et peu sûre A souffler une haleine harmonieuse et pure. Et ses savantes mains prenant mes jeunes doigts, Les levaient, les baissaient, recommençaient vingt fois, Leur enseignant... 
