Je m'en formais une société charmante dont je ne me sentais pas indigne, je me faisais un siècle d'or à ma fantaisie ; et, remplissant ces beaux jours de toutes les scènes de ma vie qui m'avaient laissé de doux souvenirs, et de toutes celles que... Jean-Jacques Rousseau: sa vie et ses ouvrages - Page 349by Saint-Marc Girardin - 1875Full view - About this book
| Frederika Macdonald - 1906 - 468 pages
...laissé de doux souvenirs, et de toutes celles que mon cœur pouvoit désirer encore, je m'attendrissois jusqu'aux larmes sur les vrais plaisirs de l'humanité,...sont désormais si loin des hommes. Oh ! si dans ces momens, quelque idée de Paris, de mon siècle, et de ma petite gloriole d'auteur, venoit troubler... | |
| Frederika Macdonald - 1906 - 440 pages
...formois une société charmante dont je ne me sentois pas indigne, je me faisois un siècle d'or à ma fantaisie, et remplissant ces beaux jours de toutes les scènes de ma vie qui m'avoient laissé de doux souvenirs, et de toutes celles que mon cœur pouvoit désirer encore, je... | |
| Ernest Seillière - Civilization - 1907 - 354 pages
...formais une société charmante, dont je ne me sentais pas indigne; je me faisais un siècle d'or à ma fantaisie, et remplissant ces beaux jours de toutes...si purs et qui sont désormais si loin des hommes! s On pressent déjà de quelle espèce sera la vérité qui sortira de semblables exercices spirituels... | |
| Ernest Seillière - Imperialism - 1907 - 454 pages
...formais une société charmante, dont je ne me sentais pas indigne; je me faisais un siècle d'or à ma fantaisie, et remplissant ces beaux jours de toutes...si purs et qui sont désormais si loin des hommes! » On pressent déjà de quelle espèce sera la vérité qui sortira de semblables exercices spirituels... | |
| Daniel Mornet - French literature - 1907 - 1200 pages
...sentais pas indigne, je me faisais un siècle d'or à ma fantaisie, — et je remplissais ces beaux lieux de toutes les scènes de ma vie qui m'avaient laissé...et de toutes celles que mon cœur pouvait désirer encore1. » C'est ainsi que les peintures l'attachent peu parce qu'elles sont trop précises, mais... | |
| Daniel Mornet - French literature - 1907 - 590 pages
...un siècle d'or à ma fantaisie, — et je remplissais ces beaux lieux de toutes les scènes de rna vie qui m'avaient laissé de doux souvenirs, et de toutes celles que mon cœur pouvait désirer encore1. » C'est ainsi que les peintures l'attachent peu parce qu'elles sont trop précises, mais... | |
| Georges Athénas, Marius-Ary Leblond - French literature - 1909 - 352 pages
...dignes de les habiter. Je m'en formais une société charmante..., je m'en faisais un siècle d'or... je m'attendrissais jusqu'aux larmes sur les vrais...si purs, et qui sont désormais si loin des hommes. » Et il parle de Paris. Ses premières lectures dégagèrent et fortifièrent ses vœux inconscients... | |
| Education - 1909 - 876 pages
...formais une société charmante, dont je ne me « sentais pas indigne ; je me faisais un siècle d'or à ma fantaisie, « et, remplissant ces beaux jours de toutes les scènes de ma vie i qui m'avaient laissé de doux souvenirs, et de toutes celles que < mon cœur pouvait désirer, je... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1911 - 826 pages
...laissé de doux souvenirs, et de toutes celles que mon cœur pouvoit désirer encore, je m'attendrissois jusqu'aux larmes sur les vrais plaisirs de l'humanité...sont désormais si loin des hommes. Oh ! si dans ces momens , quelque idée de Paris , de mon siècle , et de ma petite gloriole d'auteur, venoit troubler... | |
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