 | Voltaire - Authors, French - 1900 - 266 pages
...encore après le mot prononcé, comme un clavecin qui résonne quand les doigts ne frappent plus les 15 touches. Avouez, monsieur, que la prodigieuse variété...cinq terminaisons faut-il retrancher la dernière, 20 car vous n'avez que sept ou huit mots qui se terminent en u ; restent donc quatre sons, a, e, i,... | |
 | Georges Berr, René Delbost - French language - 1903 - 342 pages
...un Italien : désinences laissent dans l'oreille un son qui subsiste encore après le mot terminé, comme un clavecin qui résonne quand les doigts ne frappent plus les touches. » Aujourd'hui, nous dirions que Ye muet fait l'office de pédale posée sur la syllabe qui le précède... | |
 | Léon Brémont - Elocution - 1903 - 362 pages
...désinences heureuses laissent dans l'oreille « un son qui subsiste encore après le mot com« mencé, comme un clavecin qui résonne quand « les doigts ne frappent plus les touches (3). » (i) Mercure de France, n° 6i, janvier i8çp. (2) Le choix des mots est typique : en dehors... | |
 | Jean Blaize - France Literature - 1908 - 452 pages
...ces désinences heureuses laissent dans l'oreille un son qui subsiste encore après le mot terminé, comme un clavecin qui résonne quand les doigts ne frappent plus les touches. » mouillé. Délicatement, dis-je, et non pas lourdement comme cela se fait parfois même à la Comédie-Française.... | |
 | Emile Stiévenard - French language - 1924 - 132 pages
...des mots: « Ces désinences laissent dans l'oreille un son qui subsiste encore après que le mot est prononcé, comme un clavecin qui résonne quand les doigts ne frappent plus les touches ». L. de Dangeau pense de même : « L'e muet contribue beaucoup à cette infinie variété de sons... | |
 | Léon Brémont - Elocution - 1924 - 280 pages
...ces désinences heureuses laissent dans l'oreille un son qui subsiste encore après le mot commencé, comme un clavecin qui résonne quand les doigts ne frappent plus les touches (1). y Nous remarquerons, en passant, que le choix des mots est typique ; en dehors de tendresse, pas... | |
 | Voltaire - 1959 - 396 pages
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 | 1953 - 316 pages
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Vous nous reprochez nos e muets comme un son triste et sourd qui expire dans notre bouche; mais c'est précisément dans ces e muets que consiste la grande harmonie de notre prose et de nos vers. Empire, couronne, diadème, flamme, tendresse, victoire;... 
