De là vient encore que je réussis mieux aux ouvrages qui demandent du travail qu'à ceux qui veulent être faits avec une certaine légèreté, comme les lettres, genre dont je n'ai jamais pu prendre le ton, et dont l'occupation me met au supplice.... Oeuvres complètes - Page 79by Jean-Jacques Rousseau - 1865Full view - About this book
| V. Karenin - 2000 - 728 pages
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| Criticism - 2000 - 812 pages
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| Criticism - 2000 - 364 pages
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| Johann Gottlieb Fichte - France - 2002 - 316 pages
...; genre dont je n'ai jamais pu prendre le ton, et dont l'occupation me met au supplice. Je n'écris point de lettres sur les moindres sujets qui ne me...confus verbiage ; à peine m'entend-on quand on la lit » (OC, tlp ll4). 2. Allusion à Mme de Warens. 3. Cette personne n'a pu être clairement identifiée.... | |
| Estelle Doudet - 2004 - 286 pages
...lettres, genre dont je n'ai jamais pu prendre le ton, et dont l'occupation me met au supplice. Je n'écris point de lettres sur les moindres sujets qui ne me...confus verbiage ; à peine m'entend-on quand on la lit. Non seulement les idées me coûtent à rendre, elles me coûtent même à recevoir. J'ai étudié... | |
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