| Jean Marie Roland de la Platière - 1864 - 480 pages
...mélange d'amollissement naturel et de force, la rendoit plus intéressante. La femme qui la servoit me dit un jour : « Devant vous, elle rassemble toutes...elle reste quelquefois trois heures, appuyée sur sa r. fenêtre, à pleurer. » Le jour où elle monta à l'interrogatoire, nous la vîmes passer avec... | |
| Madame Roland - France - 1864 - 470 pages
...Qu'on se rappelle re que disait à Riouffe la femme qui servit madame Roland à la Conciergerie : « Devant vous, elle rassemble toutes ses forces ; mais...elle reste quelquefois trois heures, appuyée sur la fenêtre, à pleurer. » mon retour je trouvai qu'on avoit violé mon asile : mon père prétendoit... | |
| Madame Roland, Prosper Faugère - France - 1864 - 484 pages
...mélange d'amollissement naturel et de « force la rendait plus intéressante. La femme qui la « servait me dit un jour : Devant vous , elle rassemble « toutes ses forces ; mais dans la clwmbre , elle reste « quelquefois trois heures appuyée sur sa fenêtre à « pleurer. * Le jour... | |
| Émile Campardon - France - 1866 - 584 pages
...femme qui la servait disait un jour à un prisonnier : « Elle rassemble devant vous toutes ses forees, mais « dans la chambre elle reste quelquefois trois...» sur sa fenêtre à pleurer. » Le jour où elle monta au tribunal, on la vit passer avec son assurance ordinaire. Elle s'était habillée en blanc... | |
| Emile Campardon - France - 1866 - 580 pages
...intéressante. La femme qui la servait disait un jour à un prisonnier : « Elle rassemble devant vons toutes ses forces, mais » dans la chambre elle reste...heures appuyée » sur sa fenêtre à pleurer. » Le jot:r où elle monta au tribunal, on la vit passer avec son assurance ordtnatre. Elle s'était habillée... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - Authors, French - 1867 - 522 pages
...le corps et pour l'âme. La femme qui la servait à la Conciergerie disait un jour à Riouffe : « Devant vous elle rassemble toutes ses forces, mais...trois heures appuyée sur sa fenêtre à pleurer. » N'oublions pas, quand il s'agit d'elle, cet arrière-fond du tableau. On n'a, à vrai dire, que... | |
| Charles-Aimé Dauban, François de Jourgniac Saint-Méard - Correctional institutions - 1870 - 542 pages
...rendait plus intéressante. La **•• ___ __ __ _ _ ____ t ._. f ______ femme qui la servait me^IFt un jour : « Devant vous elle rassemble toutes ses...appuyée sur sa fenêtre à pleurer. » Le jour où elle monta à l'interrogatoire, nous la vîmes passer avec son assurance ordinaire ; quand elle revint,... | |
| Eugène Moret - France - 1872 - 444 pages
...mélange d'amollissement naturel et de force la rendait plus intéressante. La femme qui la servait me dit un jour : « Devant vous, elle rassemble toutes...trois heures appuyée sur sa' fenêtre à pleurer. » Pour être forte et vaillante, elle n'en était pas moins femme. Après la philosophe, l'épouse... | |
| France - 1878 - 542 pages
...mélange d'amollissement natu• rel et de force la rendait plus intéressante. La femme qui « la servait me dit un jour : Devant vous elle rassemble « toutes ses forces; mais dans la chambre elle reste quel• quefois trois heures appuyée sur la fenêtre , à pleurer. « Le jour où elle monta à l'interrogatoire,... | |
| François Paul Emile Boisnormand de Bonnechose - 1878 - 200 pages
...femme qui la servait me dit un jour : Devant vous elle 15 rassemble toutes ses forces ; mais, dans sa chambre, elle reste quelquefois trois heures appuyée sur sa fenêtre à pleurer. (Mémoires de Jfiovffa.} t Un patriote, l'illustre Daunou, prisonnier lui-même à cette époque, a... | |
| |