Histoire de Pologne, depuis son origine jusqu'en 1795: époque du partage définitif de ce royaume entre la Russie, la Pruse et l'Autriche ...Fain, 1807 - Poland |
From inside the book
Results 6-10 of 21
Page 207
... sort , et de me » pardonner , comme je pardonne à ceux qui ont >> pu m'offenser . Je vous dis adieu à tous , en » vous portant tous dans mon coeur . La distance >> des lieux pourra me séparer de la république ; >> mais mon cœur sera ...
... sort , et de me » pardonner , comme je pardonne à ceux qui ont >> pu m'offenser . Je vous dis adieu à tous , en » vous portant tous dans mon coeur . La distance >> des lieux pourra me séparer de la république ; >> mais mon cœur sera ...
Page 214
... sort ; qu'il était d'un » naturel hautain et violent ; que , dans des temps » de trouble , il avait traité indignement le sé- » nat français , et qu'il avait payé des incendiai >> res pour brûler le palais où il s'assemble » . Sa ...
... sort ; qu'il était d'un » naturel hautain et violent ; que , dans des temps » de trouble , il avait traité indignement le sé- » nat français , et qu'il avait payé des incendiai >> res pour brûler le palais où il s'assemble » . Sa ...
Page 218
... sort d'une nation mo- » deste , et il l'est lui - même ; fier seulement à la » tête d'une armée . Les Lorrains , en petit nom- » bre , s'il en amène , se croiront trop heureux de marcher nos égaux . Sans brigue , sans re- >> muer l ...
... sort d'une nation mo- » deste , et il l'est lui - même ; fier seulement à la » tête d'une armée . Les Lorrains , en petit nom- » bre , s'il en amène , se croiront trop heureux de marcher nos égaux . Sans brigue , sans re- >> muer l ...
Page 274
... sort de l'empire des Grecs , si la capitale de la monarchie autrichienne fût tombée au pouvoir des Ottomans . En effet les princes chrétiens étaient divisés entre eux , chacun eût vu avec joie les états de son rival devenir la proie des ...
... sort de l'empire des Grecs , si la capitale de la monarchie autrichienne fût tombée au pouvoir des Ottomans . En effet les princes chrétiens étaient divisés entre eux , chacun eût vu avec joie les états de son rival devenir la proie des ...
Page 279
... sort de l'empire se décida le 12 septem- bre 1683. La bataille était sur le point de com- mencer , que Mustapha ignorait encore qu'il avait en tête Sobieski . Il ne craignait rien tant qu'un pareil adversaire , dont il avait déjà éprou ...
... sort de l'empire se décida le 12 septem- bre 1683. La bataille était sur le point de com- mencer , que Mustapha ignorait encore qu'il avait en tête Sobieski . Il ne craignait rien tant qu'un pareil adversaire , dont il avait déjà éprou ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
ambassadeur armée armes assemblée Auguste avaient bataille bientôt Boleslas camp Casimir cent mille Charles XII chevaux conseil Cosaques courage couronne Cracovie Dantzick déclara devait diète donner élection élu ennemis fils firent force frère général Gnesne gouvernement grand-général guerre habitans Hongrie Jagellon Jean Jean Sobieski Jean-Casimir Kmielniski l'armée l'électeur l'élection l'empereur l'Ukraine Ladislas laisser Léopold Leszko Lithuanie Lithuaniens Livonie logne lois long-temps maison malheurs mée ment Mer Baltique Miécislaw mille hommes Moldavie monarque mort Moscovites mourut n'avait n'était nation nobles noblesse nombre nonces pacta conventa paix palatin palatinat parvint patrie paysans père peuple Piast Podolie Polo polonaise porter pouvait primat prince prit priviléges provinces Prusse puissance règne reine rent république rois de Pologne royaume Russie s'était Sarmates Saxe Saxons seigneurs sénat sénateurs seul Sigismond Sobieski sort souverain Stanislas Steinflicht succès Suède Suédois suffrages Tatars tête tion traité traité d'Oliva trône troupes Turcs tzar Varsovie Vistule Zurawno
Popular passages
Page 385 - Ils trouvoient dangereux de demander le chemin à des payfans, de qui naturellement nous n'avions rien à craindre ; & , un peu auparavant , ils ne voyoient aucun rifque à fe préfenter aux portes d'une Ville dont nos ennemis avoient fait une des...
Page 299 - Enfin chacun des dieux, discourant à sa gloire, Le plaçait par avance au temple de mémoire : Mais Vénus ni Bacchus n'en dirent pas un mot.
Page 388 - ... propofoit. Mais il n'ya pas un feul bateau , repritelle : comment ferez-vous ? Tout ce que vous voudrez , lui dis-je d'un air ouvert & plein de confiance ; j'aime mieux recevoir ce fervice de vous que de tout autre , & je fens que je ne puis vous déplaire par la préférence que je vous donne à cet égard ; car enfin , ajoutai-je , je connois le pays; il n'eft pas...
Page 57 - Comment l'habitant des provinces qu'éclaire un ciel plus doux penserait-il à les quitter, si une administration tyrannique ne lui rendait pas inutiles ou odieux les bienfaits de la nature ! Une loi d'affranchissement, loin de disperser les hommes, les retiendra dans ce qu'ils appelleront alors leur bonne patrie, et qu'ils préféreront aux pays les plus fertiles ; car l'homme endure tout de la part de la Providence ; il n'endure rien d'injuste de son semblable; et s'il se soumet, ce n'est qu'avec...
Page 57 - L'homme ne tient pas par des racines à la terre; ainsi il n'appartient pas au sol. L'homme n'est pas un champ, un pré, un bétail; ainsi il ne saurait être une propriété. L'homme a le sentiment intérieur de ces vérités simples; ainsi l'on ne saurait lui persuader que ses chefs aient le droit de l'enchaîner à la glèbe. Tous les pouvoirs se réuniraient en vain pour lui inculquer cette infâme doctrine.
Page 58 - L'homme a le sentiment intérieur de ces vérités simples; ainsi l'on ne saurait lui persuader que ses chefs aient le droit de l'enchaîner à la glèbe. Tous les pouvoirs se réuniraient en vain pour lui inculquer cette infâme doctrine. Le temps n'est plus où les maîtres de la terre pouvaient parler au nom de Dieu, si même ce temps a jamais existé. Le langage de la justice et de la raison est le seul qui puisse avoir un succès durable aujourd'hui...
Page 358 - ... le fentiment de mes peines, » Je me levai , & , mettant la tête à la lucarne de ce grenier , je vis un Officier Ruffe qui fe promenoit gravement dans la prairie , & deux Soldats qui y faifoient paître des chevaux.
Page 340 - ... d'un côté jufqu'à trois lieues de pays , qu'à caufe des lignes de circonvallation qui bouchoient tous les autres paflages, & qu'il eût été impoflïble de franchir à cheval.
Page 355 - Vers le minuit, nous arrivâmes à la chaussée d'une rivière que je crus être la Vistule. Nos conducteurs se mirent aussitôt à tenir conseil entre eux. Le général ni moi nous n'y fûmes point appelés.
Page 360 - Dantzic ne fut point oublié, non plus que la plupart de leurs exploits en Pologne , qui me firent autant d'horreur que de pitié. Dès qu'ils furent partis, l'nôtefle revint me retrouver.