Louis XVI, Marie-Antoinette et Madame Elisabeth: lettres et documents inédits, Volume 4Félix Feuillet de Conches H. Plon, 1866 |
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... raison de me préoccuper de cette remarque , alors que je relevais les lettres de cette princesse aux archives de Vienne ; mais le fait de la variété de fabrication du papier employé par elle et par Louis XVI , à la XXXII.
... raison de me préoccuper de cette remarque , alors que je relevais les lettres de cette princesse aux archives de Vienne ; mais le fait de la variété de fabrication du papier employé par elle et par Louis XVI , à la XXXII.
Page xxxiii
... raison pour qu'elles ne fussent point authentiques ; on en verra plus bas le motif . pas Dans tous les cas , animé du désir de pousser à ce sujet l'enquête aussi loin que possible , j'ai voulu m'éclairer des lumières des hommes du ...
... raison pour qu'elles ne fussent point authentiques ; on en verra plus bas le motif . pas Dans tous les cas , animé du désir de pousser à ce sujet l'enquête aussi loin que possible , j'ai voulu m'éclairer des lumières des hommes du ...
Page xlix
... raison suprême , de ce sens droit et ferme qui avaient donné le vol à sa politique , avaient fait d'elle la mère de la patrie , et lui avaient valu d'être proclamée un des grands hommes de son siècle . Aussi lit - on généralement ses ...
... raison suprême , de ce sens droit et ferme qui avaient donné le vol à sa politique , avaient fait d'elle la mère de la patrie , et lui avaient valu d'être proclamée un des grands hommes de son siècle . Aussi lit - on généralement ses ...
Page xlix
... raison ferme qui avaient donné le t d'elle la mère de la patrie , mée un des grands hommes éralement ses lettres avec respect . Au début , elle ates charmantes ( 1 ) . Puis s . Mais par - dessus tout s , les gronderies inces- éissante ...
... raison ferme qui avaient donné le t d'elle la mère de la patrie , mée un des grands hommes éralement ses lettres avec respect . Au début , elle ates charmantes ( 1 ) . Puis s . Mais par - dessus tout s , les gronderies inces- éissante ...
Page lii
... raison de le dire naguère , Marie - Antoinette accepta d'abord avec le plus filial respect , comme à Schoenbrunn , les gronderies mater- nelles ; elle s'inclinait avec soumission et humilité sous l'autorité de la grande Impératrice ...
... raison de le dire naguère , Marie - Antoinette accepta d'abord avec le plus filial respect , comme à Schoenbrunn , les gronderies mater- nelles ; elle s'inclinait avec soumission et humilité sous l'autorité de la grande Impératrice ...
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Common terms and phrases
affaires ambassadeur Archives impériales ARNETH auroit Autographe avoient avoit baron de Breteuil Calonne Catherine choses Coblentz cœur Comte d'Artois comte de Cobenzl comte de Fersen Comte de Haga comte de Mercy COMTE DE PROVENCE comte Valentin comtesse confiance congrès armé connoissance Constitution copie Cour crois d'Autriche Dauphine décembre déclaration décret demande démarches donner duc d'Aiguillon duchesse écrit ÉLISABETH A MADAME émigrés Eszterházy États généraux étoient étoit eût factieux famille François Frère et Cousin guerre Gustave GUSTAVE III homme j'ai j'avois jour l'Assemblée l'Empereur l'honneur l'Impératrice Léopold Louis XVI MADAME CLOTILDE MADAME DE RAIGECOURT madame Du Barry MADAME ÉLISABETH Majesté Impériale malheurs mande maréchal Marie-Antoinette Marie-Thérèse marquis de Bouillé marquise ment ministre Monsieur n'avoit n'étoit Noblesse note parler passer peuple Pilnitz pourroit premier Princes Princesse Prusse Puissances Reine reste révolution rien royale Russie sentiments septembre 1791 sera seroient seroit sœur Soran Souverains Stedingk Suède tion troupes trouve Vergennes Versailles Vienne
Popular passages
Page 234 - Paris, le 11 novembre 1591 .«Vous avez sûrement connaissance du décret que l'assemblée nationale a rendu relativement aux Français éloignés de leur patrie; je ne crois pas devoir y donner mon consentement, aimant à me persuader que les moyens de douceur rempliront plus efficacement le but qu'on se propose, et que réclame l'intérêt de l'état. Les diverses démarches que j'ai faites auprès de vous ne peuvent vous laisser aucun doute sur mes intentions ni sur mes voeux.
Page cxiv - Tout est perdu; le Roi et la Reine y périront, et vous le verrez : la populace battra leurs cadavres.
Page 253 - Sire, mon frère et seigneur, Le comte de Vergennes m'a remis, de la part de votre majesté, une lettre dont l'adresse, malgré mes noms de baptême qui s'y trouvent, est si peu la mienne, que j'ai pensé la lui rendre sans l'ouvrir. Cependant, sur son assertion positive qu'elle était pour moi, je l'ai ouverte, et le nom de frère que j'y ai trouvé ne m'ayant plus laissé de doute, je l'ai lue avec le respect que je dois à l'écriture et au seing de votre majesté. L'ordre qu'elle...
Page 262 - J'espère que Votre Majesté approuvera mes idées, et qu'elle me gardera le secret le plus absolu sur la démarche que je fais auprès d'elle, elle sentira aisément que les circonstances où je me trouve, m'obligent à la plus grande circonspection : c'est ce qui fait qu'il n'ya que le baron de Breteuil qui soit instruit de mon secret, et Votre Majesté peut lui faire passer ce qu'elle voudra.
Page 260 - Gens de l'Assemblée française se disant nationale; La saine raison vous requiert, en vertu du titre I", chapitre 1", section ir° des lois imprescriptibles du sens commun, de rentrer en vous-mêmes dans le délai de deux mois, à compter de ce jour, faute de quoi...
Page 262 - Je viens de m'adresser à l'Empereur, à l'Impératrice de Russie, aux Rois d'Espagne et de Suède, et je leur présente l'idée d'un congrès des principales Puissances de l'Europe, appuyé d'une force armée, comme la meilleure manière pour arrêter ici les factieux, donner les moyens d'établir un ordre de choses plus désirable, et empêcher que le mal qui nous travaille puisse gagner les autres États de l'Europe.
Page 234 - ... de l'état. Les diverses démarches que j'ai faites auprès de vous ne peuvent vous laisser aucun doute sur mes intentions ni sur mes vœux. La tranquillité publique et mon repos personnel sont intéressés à votre retour. Vous ne pourriez prolonger une conduite qui inquiète la France et qui m'afflige, sans manquer à vos devoirs les plus essentiels.
Page lxxii - J'avoue à ma chère maman que je crains de m'y trop attacher, sentant pour son bonheur et par l'exemple de mes tantes combien il est essentiel de ne pas rester vieille fille dans ce pays-ci. L'ambassadeur d'Espagne m'a...
Page cii - Je ne le trahis pas, en mettant ses propres paroles, que je ne pourrais jamais rendre si bien: ^J'ai quitté Versailles avec peine, attaché vraiment à ma soeur,- j'ai trouvé une espèce de douceur de vie, à laquelle j 'avais renoncé, mais dont je vois que le goût ne m'avait pas quitté. Elle est aimable et charmante; j'ai passé des heures et des heures avec elle, sans m'apercevoir comment elles s'écoulaient. Sa sensibilité au départ était grande, sa contenance bonne; il m'a fallu toute...
Page lxiv - Vous aurez peut-être appris l'audience que j'ai donnée au duc de Choiseul à Reims. On en a tant parlé que je ne répondrais pas que le vieux Maurepas n'ait eu peur d'aller se reposer chez lui. Vous croirez aisément que je ne l'ai...