Histoire de France: pendant le dix-huitième siècleDelaunay, 1821 - France |
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... public , l'apos- tropha vivement . On prétend qu'il se trou- bla dans sa réponse . Sortez , lui cria - t - on , » M. de Flesselles , vous êtes un traître . » — « Je sors , dit - il , mais je prie que deux de ces » messieurs viennent ...
... public , l'apos- tropha vivement . On prétend qu'il se trou- bla dans sa réponse . Sortez , lui cria - t - on , » M. de Flesselles , vous êtes un traître . » — « Je sors , dit - il , mais je prie que deux de ces » messieurs viennent ...
Page 127
... public par les lois , par la séparation des pouvoirs et la subor- dination des autorités secondaires . » L'as- semblée , toujours fière quand elle n'avait pas à contrarier la multitude , se rendit à l'avis de Mirabeau , et cassa l ...
... public par les lois , par la séparation des pouvoirs et la subor- dination des autorités secondaires . » L'as- semblée , toujours fière quand elle n'avait pas à contrarier la multitude , se rendit à l'avis de Mirabeau , et cassa l ...
Page 171
... faute , de rétablir l'intérêt à cinq pour cent , et de porter l'emprunt à quatre - vingts mil- lions ; mais la faute n'était déjà plus ré- 1789 . 1789. parable . Le crédit public était trop for- tement ASSEMBLÉE CONSTITUANTE . 171.
... faute , de rétablir l'intérêt à cinq pour cent , et de porter l'emprunt à quatre - vingts mil- lions ; mais la faute n'était déjà plus ré- 1789 . 1789. parable . Le crédit public était trop for- tement ASSEMBLÉE CONSTITUANTE . 171.
Page 172
pendant le dix-huitième siècle Charles Lacretelle. 1789. parable . Le crédit public était trop for- tement ébranlé par une révolution qu'en vain on disait terminée . Le nouvel em + prunt n'eut pas plus de succès que le premier . On tenta ...
pendant le dix-huitième siècle Charles Lacretelle. 1789. parable . Le crédit public était trop for- tement ébranlé par une révolution qu'en vain on disait terminée . Le nouvel em + prunt n'eut pas plus de succès que le premier . On tenta ...
Page 266
... public . Vous dominez par la terreur . Des es- >> prits faibles sont subjugués ; les gens vertueux crai- ›› gnent eux - mêmes de vous irriter ; et se méfiant de >> leurs forces ou se croyant sans espérance , ils sup- » portent ce que ...
... public . Vous dominez par la terreur . Des es- >> prits faibles sont subjugués ; les gens vertueux crai- ›› gnent eux - mêmes de vous irriter ; et se méfiant de >> leurs forces ou se croyant sans espérance , ils sup- » portent ce que ...
Common terms and phrases
accusé actes alarmes assemblée attentats avaient Bailly Barnave baron de Besenval Bastille Besenval bientôt brigands c'était cent Champ-de-Mars Charles de Lameth château citoyens clergé cœur comte d'Estaing corps législatif coups cour courage crimes cris déclaration décret délibération départemens députés despotisme devant discours duc d'Orléans esprit états-généraux eût factieux faction d'Orléans femmes fidèle force fureur garde nationale gardes-du-corps gardes-françaises hommes jour juges l'abbé Sièyes l'assem l'assemblée constituante l'assemblée nationale Lafayette Lally Lameth législature liberté lois Louis XVI majesté Malouet marquis de Favras massacres membres menaces ment mille ministres Mounier multitude municipalité n'avait n'était nale nation Necker nobles noblesse nommé ordres paraissait périls peuple politique populaires porte pouvait pouvoir exécutif pouvoir législatif pré présenter président prince publique qu'un régiment de Flandre reine représentans reste révolution royaume s'était sanction sanction royale séance semblait sentimens sera serment seront seul soldats tiers-état tion tribunal tribune trône troupes venait Versailles véto
Popular passages
Page 386 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Page 385 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 393 - Tous les citoyens ont le droit de constater par eux-mêmes ou par leurs représentants la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.
Page 389 - La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.
Page 396 - La Constitution garantit l'inviolabilité des propriétés, ou la juste et préalable indemnité de celles dont la nécessité publique, légalement constatée, exigerait le sacrifice. Les biens destinés aux dépenses du culte et à tous services d'utilité publique, appartiennent à la Nation, et sont dans tous les temps à sa disposition.
Page 382 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 178 - Et certes, il n'y avait autour de nous ni Catilina, ni périls, ni factions, ni Rome. Mais aujourd'hui la banqueroute, la hideuse banqueroute est là ; elle menace de consumer, vous, vos propriétés, votre honneur... et vous délibérez ! (MIRABEAU, Discours sur la Contribution du quart.) 14° Exercice.
Page 380 - Nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'Homme...
Page 394 - Il n'ya plus ni noblesse, ni pairie, ni distinctions héréditaires, ni distinctions d'ordres, ni régime féodal, ni justices patrimoniales, ni aucun des titres, dénominations et prérogatives qui en dérivaient, ni aucun ordre de chevalerie, ni aucune des corporations ou décorations, pour lesquelles on exigeait des preuves de noblesse, ou qui supposaient "des distinctions de naissance, ni aucune autre supériorité, que celle des fonctionnaires publics dans l'exercice de leurs fonctions.
Page 439 - La nation française renonce à entreprendre aucune guerre dans la vue de faire des conquêtes , et n'emploiera jamais ses forces contre la liberté d'aucun peuple.