Journal historique et littéraire, Volume 2F. Cavelier, 1792 |
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... liberté , pour laquelle il n'est pas besoin d'une connaissance de son objet , mais seulement de sa pensée ; à savoir la liberté pratique : « étant donné que , pour la morale , j'ai seulement besoin que la liberté ne se contredise pas ...
... liberté , pour laquelle il n'est pas besoin d'une connaissance de son objet , mais seulement de sa pensée ; à savoir la liberté pratique : « étant donné que , pour la morale , j'ai seulement besoin que la liberté ne se contredise pas ...
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... liberté de conscience, liberté d'écrire, liberté de pensée.—Janet, Philosophie Contemporaine, 308. Si la force matérielle a toujours fini par céder à l'opinion, combien plus ne sera-t-elle pas contrainte de céder à la conscience? Car la ...
... liberté de conscience, liberté d'écrire, liberté de pensée.—Janet, Philosophie Contemporaine, 308. Si la force matérielle a toujours fini par céder à l'opinion, combien plus ne sera-t-elle pas contrainte de céder à la conscience? Car la ...
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... Liberté le Gouverne- ment qui étoit conforme à ses coutumes , ou à ses inclinations ; et on a confondu le pouvoir du Peuple avec la Liberté du Peuple , Livre xi . chap . ii . Diverses Significa- tions données au nom de Liberté . IL est ...
... Liberté le Gouverne- ment qui étoit conforme à ses coutumes , ou à ses inclinations ; et on a confondu le pouvoir du Peuple avec la Liberté du Peuple , Livre xi . chap . ii . Diverses Significa- tions données au nom de Liberté . IL est ...
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... liberté , les Romains se figuraient , avec les Grecs , un état où personne ne fût sujet que de la loi , et où la loi fût plus puissante que les hommes . Quand Servius Tullius conçut le dessein de réduire Rome en république , il augmenta ...
... liberté , les Romains se figuraient , avec les Grecs , un état où personne ne fût sujet que de la loi , et où la loi fût plus puissante que les hommes . Quand Servius Tullius conçut le dessein de réduire Rome en république , il augmenta ...
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... libertés civiles et de la liberté politique. Comme l'a dit Benjamin Constant, «ce n'est point à la liberté politique que je veux renoncer ; c'est la liberté civile que je réclame avec d'autres formes de liberté politique.» Selon lui, il ...
... libertés civiles et de la liberté politique. Comme l'a dit Benjamin Constant, «ce n'est point à la liberté politique que je veux renoncer ; c'est la liberté civile que je réclame avec d'autres formes de liberté politique.» Selon lui, il ...
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Common terms and phrases
affez affure afile ainfi auffi auroit avoient avoit c'eft c'eſt Carvalhi catholique caufe ceffe chofe chrétien circonftances Cléon comte confeil conféquence confidérable configné conftitution connoiffance cour décret derniere diete Dieu difpofitions eccléfiaftique efprit eſt étoient étoit évêques fages fainte falut fang fans doute Fayette fcience fe font fe trouve féance fecte feld-maréchal femble fent fentimens fera feront fervir feul fiecles fociété foit foldats fous fouvent fouverain François frontieres fuccès fuite fuivant fujet fur-tout général guerre hommes jour jufqu'à jufte l'affemblée l'armée l'efprit l'Eglife l'hiftoire l'impératrice laiffer Laudon lefquels lettre loix long-tems Luckner lumieres maniere ment miniftre mois Monarchiens n'eft nation occafion paffage paffé paroît particuliérement Pays-Bas perfonne peuple philofophie plufieurs poftes Pologne préfent premiere prêtres prince Pruffe Pruffiens puiffances puiffe raifon refpect refte Religion révolution Ruffie s'eft s'étoit tems tion Treves troupes دو دو دو دو دو دو رو رو وو
Popular passages
Page 65 - ... à une déclaration de guerre; 4° que, dès ce moment, il faut ordonner à M. de Noailles de revenir en France sans prendre congé, et cesser toute correspondance avec la cour de Vienne. « Après toutes les réflexions...
Page 613 - C'est par ces raisons que je requiers et exhorte tous les habitants du royaume, de la manière la plus forte et la plus instante, de ne pas s'opposer à la marche et aux opérations des troupes que je commande, mais de leur accorder plutôt partout une libre entrée et toute bonne volonté, aide et assistance que les circonstances pourront exiger. Donné au quartier général de Coblentz, le 25 juillet 1792. Signé: ClIARLKS-GiJILLAUME FERDINAND, dltcde Brunswick-Lvnebourg. ASSEMBLÉE NATIONALE LÉGISLATIVE....
Page 70 - ... et par conséquent aucun ne doit lui commander; la religion ne suffit pas pour imposer à tant de souverains, et Dieu a justement permis que le père commun des fidèles entretînt, par...
Page 453 - Français, disait la proclamation, n'auront pas appris sans douleur qu'une multitude égarée par quelques factieux est venue à main armée dans l'habitation du roi, a traîné du canon jusque dans la salle des Gardes, a enfoncé les portes de son appartement à coups de hache, et...
Page 316 - Charité , puis chirurgien major consultant des armées dans les guerres d'Allemagne, de retour à Paris, livré à la grande pratique de la chirurgie , par-tout il a opéré...
Page 612 - ... une vengeance exemplaire et à jamais mémorable, en livrant la ville de Paris à une exécution militaire et à une subversion totale, et les révoltés coupables d'attentats aux supplices qu'ils auront mérités.
Page 64 - Que le traité de 1756 est rompu par le fait de la maison d'Autriche ; , . « 2°. Que le concert entre les puissances, provoqué par l'empereur Léopold au mois de juillet 1791, confirmé par le roi de Hongrie et de Bohême d'après la note du prince de Kaunitz du 18 mars 1792 , qui est l'ultimatum des négociations , étant dirigé contre la France , est un acte d'hostilité formelle ;
Page 207 - Je saisis cette occasion pour vous exprimer combien je suis touché de toutes les marques publiques d'affection que vous m'avez données. Je vous remercie de ce qu'à l'époque du concert que quelques Puissances ont formé contre la France , vous ne vous êtes point lié avec elles. Je vois par là que vous avez mieux apprécié mes véritables intérêts et mieux jugé la position de la France. Des rapports nouveaux doivent s'établir entre nos deux pays.
Page 282 - ... ressentiments qu'elle doit éprouver à l'espoir, plus conforme à ses sentiments généreux et pacifiques, de voir "réparer tous ces griefs par l'assemblée d'une nouvelle Diète plus fidèle aux mandats de ses commettants et aux lois cardinales et immuables de l'État que n'a été celle d'à présent, qui, les ayant toutes violées de la manière la plus évidente, a marqué du sceau de sa propre illégalité toutes celles de ses opérations qu'elle a exécutées au mépris de ces lois. Mais...
Page 152 - A qui devrons-nous le plus ? C'est à notre maître, Qui, se croyant un abus, Ne voudra plus l'être. Ah qu'il faut aimer le bien Pour de roi n'être plus rien ! J'enverrais tout paître...