Histoire de la Révolution de France, Volume 5Méquignon, 1838 - France |
From inside the book
Results 6-10 of 61
Page 33
... les troupes qui défendaient Nantes con- ( 1 ) Nous ne devons qu'indiquer ici ces grands événe- mens , ils recevront des développemens dans le cours du récit . TOME V. 3 tre les Vendéens ; une partie des habitans de la LIVRE QUATORZIÈME .
... les troupes qui défendaient Nantes con- ( 1 ) Nous ne devons qu'indiquer ici ces grands événe- mens , ils recevront des développemens dans le cours du récit . TOME V. 3 tre les Vendéens ; une partie des habitans de la LIVRE QUATORZIÈME .
Page 34
Félix Conny de la Fay. tre les Vendéens ; une partie des habitans de la ville secondèrent les efforts du général Can- claux pour repousser les Vendéens . Nantes vit bientôt Carrier arriver dans ses murs . Tout ce que Paris renfermait de ...
Félix Conny de la Fay. tre les Vendéens ; une partie des habitans de la ville secondèrent les efforts du général Can- claux pour repousser les Vendéens . Nantes vit bientôt Carrier arriver dans ses murs . Tout ce que Paris renfermait de ...
Page 41
... hiver , la moitié des habitans de Paris faillit périr de froid . L'accaparement fut décrété un crime capital emportant la peine de mort et la confiscation ; Nous vendrons vos châteaux jolis ; Vous irez bâtir , LIVRE QUATORZIÈME . 41.
... hiver , la moitié des habitans de Paris faillit périr de froid . L'accaparement fut décrété un crime capital emportant la peine de mort et la confiscation ; Nous vendrons vos châteaux jolis ; Vous irez bâtir , LIVRE QUATORZIÈME . 41.
Page 94
... habitans des campagnes apportaient - ils quel- ques fruits dans cette immense cité ; ces mal- heureux étaient escortés par des détachemens de l'armée révolutionnaire qui les frappaient avec leurs armes ; le silence de la stupeur régnait ...
... habitans des campagnes apportaient - ils quel- ques fruits dans cette immense cité ; ces mal- heureux étaient escortés par des détachemens de l'armée révolutionnaire qui les frappaient avec leurs armes ; le silence de la stupeur régnait ...
Page 95
Félix Conny de la Fay. Les habitans , glacés par la terreur , mar- chaient dans les rues en frémissant de se ren- contrer et de se reconnaître ; la lâcheté crai- gnait que des proscrits ne vînssent lui deman- der un asile ; on ne se ...
Félix Conny de la Fay. Les habitans , glacés par la terreur , mar- chaient dans les rues en frémissant de se ren- contrer et de se reconnaître ; la lâcheté crai- gnait que des proscrits ne vînssent lui deman- der un asile ; on ne se ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
10 août 14 Quartidi 15 Quintidi 16 Sextidi 21 Primedi 22 Duodi 23 Tridi 28 Octidi 29 Nonidi 7 Septidi 9 thermidor armées armes arrêté avaient bandes Barrère bientôt Billaud-Varennes bourreaux Carrier Chalier Charette chute de Robespierre citoyens Collot-d'Herbois combat comité de salut commissaires complices condamnés Convention Convention nationale conventionnels courage Couthon crimes cris Danton Décadi déclara décret départemens députés dictateur échafauds émigrés enfans ennemis entendre envoyés femmes férocité forfaits Fouquier-Thinville fureurs Gironde guillotine habitans hommes immolées instans j'ai jeune jour justice l'armée l'assemblée régicide l'échafaud lâches liberté lith long-temps Louis Capet Louis XVI Lyon madame Marat massacres membres mille mission Moniteur monstre mort nationale ordonne périr peuple porté prêtres prisons proconsuls Reine représentans républicains République française révolution Robespierre royalistes salut public sang sanglantes sections sera soldats Sombreuil Stofflet supplice Tallien Temple terreur tête tion Toulon tour du Temple tribunal révolutionnaire tribune tyrans Vendéens vention victimes vieillards
Popular passages
Page 441 - C'est à vous, ma sœur, que j'écris pour la dernière fois. Je viens d'être condamnée, non pas à une mort honteuse, elle ne l'est que pour les criminels, mais à aller rejoindre votre frère; comme lui innocente, j'espère montrer la même fermeté que lui dans ses derniers moments.
Page 444 - J'avais des amis; l'idée d'en être séparée pour jamais et leurs peines sont un des plus grands regrets que j'emporte en mourant; qu'ils sachent du moins que, jusqu'à mon dernier moment, j'ai pensé à eux. Adieu, ma bonne et tendre sœur!
Page 141 - La peine portée contre tous les délits dont la connaissance appartient au tribunal révolutionnaire, est la mort.
Page 442 - J'ai un profond regret d'abandonner mes pauvres enfants ; vous savez que je n'existais que pour eux et vous, ma bonne et tendre sœur, vous qui avez, par votre amitié, tout sacrifié pour être avec nous.
Page 76 - La théorie du gouvernement révolutionnaire est aussi neuve que la révolution qui l'a amené. Il ne faut pas la chercher dans les livres des écrivains politiques, qui n'ont point prévu cette révolution...
Page 141 - Sont réputés ennemis du peuple ceux qui auront provoqué le rétablissement de la royauté ou cherché à avilir ou à dissoudre la Convention nationale et le gouvernement révolutionnaire...
Page 443 - ... apostolique et romaine, dans celle de mes pères, dans celle où j'ai été élevée, et que j'ai toujours professée.
Page 443 - J'ai à vous parler d'une chose bien pénible à mon cœur. Je sais combien cet enfant doit vous avoir fait de la peine, pardonnez-lui, ma chère sœur, pensez à l'âge qu'il a et combien il est facile de faire dire à un enfant ce qu'on veut, et même ce qu'il ne comprend pas.
Page 442 - J'espère qu'un jour, lorsqu'ils seront plus grands, ils pourront se réunir avec vous et jouir en entier de vos tendres soins. Qu'ils pensent tous deux à ce que je n'ai cessé de leur inspirer : que les principes et l'exécution exacte de ses devoirs sont la première base de la vie; que leur amitié et leur confiance mutuelle en feront le bonheur.
Page 12 - Citoyen , j'arrive de Caen. Votre amour pour la patrie me fait présumer que vous connaîtrez avec plaisir les malheureux événements de cette partie de la République. Je me présenterai chez vous vers une heure. Ayez la bonté de me recevoir et de m'accorder un moment d'entretien ; je vous mettrai à même de rendre un grand service à la France.