D. DE LAVEIRON Mevrueis S. Ambrei Sallan arjac Cle Pou S Elpri ara que Cornillon Sun Navacelles-Bagnels Lussan Andre Valborone Jean de Dardennengi Alais Savillarguess Fuzet Conpaus S. Quentin la salle Mano ble Sauve Caseville SHipolite. Chapter Klanac heutige Roucoiran Fere du Card Villeneuve: Orange Sommieres Calvissen hithand Rhon ᎠᎬ L 'HÉRAUL Dymarduc Arles MONTPELLIER Rhone D DES BOUCH. na AT ON urance R. DÉP Longitude Orientale de Paris, Salence un pu Le 7 Juillet 1792 sur la motion perfide de M. Lamourette Evêque de Lion qui proposa d'oublier toute haine d'opinion; aussitôt une grande partie des membres embrassent 41. DE L'ASSEMBLÉE NATIONALE LÉGISLATIVE; RÉVOLUTIONS DE PARIS, DÉDIÉES A LA NATION ET AU DISTRICT DES PETITS-AUGUSTINS, Avec gravures et cartes des départemens de France. QUATRIÈME ANNEE DE LA LIBERTÉ FRANÇAISE. TREIZIÈME TRIMESTRE. Les grands ne nous paroiffent grands que parce que nous fommes à genoux. Levons-nous.. ARIS-SEUL PRUDHOMME E DU 7 A U 14 JUILLET 1792: La réconciliation normande: N ce temps-là, Arimane ou le génie du mal s'ap » percevant que les hommes excédés défertoient fes au »tels, alla vite trouver Oromafe ou le génie du bien, » & lui dit: Frère! affez long-temps nous fommes dé » funis. Réconcilions-nous, & n'ayions plus qu'une feule » chapelle à nous deux. Jamais ! lui répondit Oro N°. 157. Tome 13. A mafe bien avifé. Que deviendroient les pauvres ku» mains, s'ils ne pouvoient plus diftinguer le bien d'avec » le mal » ? Comment ne s'eft-il pas trouvé dans tout le corps légiflatif un bon efprit pour répondre par cet apologue de Saadi (1) à la motion de l'évêque Lamourette du 7 de ce mois? Cette fable orientale eût peut-être fuffi pour fauver à l'affemblée nationale la honte & les inconvéniens d'une fauffe mefure, dont perfonne n'eft la dupe. Car d'abord, pour peu qu'on connoifle le motionnaire, quel cas peût-on faire de la motion? Avant qu'il fût nommé tife métropolitain de Lyon fur la présentation de Mirabeau dont il dégroffiffoit les rapports, les électeurs de Paris n'avoient pas cru digne de la cure de Saint- A uguftin l'auteur des Prônes civiques, 'atteint & convaincu d'en avoir vendu deux fois le manufcrit. pon Cette peccadille facerdotalle, qui n'empêcha pas l'évêque Lamourette d'être député, fut fans doute l'un des titres qui lui méritèrent l'honneur de fervir d'inftrument à la cour dans la pofition embarraflante où elle fe trouvoit : le bruit fourd d'une fubite émigration royale, le choix miférable des nouveaux miniftres, l'annonce d'un projet de réduction de la lifte civile, la fufpenfion de deux magiftrats eftimés du peuple, la clameur de baro pouffée par les bons citoyens & les journalistes patriotes fur le château des Tuileries, le côté du roi de la falle du manége, & fur Lafayette; l'arrivée des députés à la fédération, & l'approche du 14 juillet: toutes ces circonftances réunies néceffitoient un coup de théâtre inattendu, une espèce de reconnoiffance pathétique pour amufer les fpectateurs jufqu'au dénoûment du drame contre-révolu tionnaire. Qui choisir pour porter la parole, & attacher le grelot? L'évêque Lamourette, créature d'un homme à talent dont la cour eut quelquefois à fe louer, parut être l'agent propre à cela. Depuis fix mois, l'auteur des Prones civiques n'a paru à la tribune; il n'en fera que mieux écouté; fon caractère d'ailleurs en impofera encore (1) Sage Perfan qui ne parloit que par paraboles dans un pays & fous un règne où la vérité n'étoit admife qu'avec le voile de la fiction, |