Regis Magna Britan. Executeurs du Testa. niz Gloriofiffima Me- ment de Guillaume morie tradatur. IIL. ci-devant Roi de la Grande-Bretagne de glorieuse Memoi re. Quod reliquum eft Au surplus le SereSerenifimus Princeps niffime Prince de HelHafia fibi fervat fa fe se reserve la faculté cultatem in pofterum de- pour l'avenir de dé. clarandi fufiusque ex. Clarer, & d'expliquer ponendi, addendi plus amplement,' & omne id quod ad magis augmenter ce qu'il Aabiliendam obtinen- croira plus propre à damque tam omnium contribuer à la fatisfaFederatorum o Ami.lation de tous ses Alcorum quàm Serenissima liez & amis & à la fû. sua Domus securitatem, reté & satisfaction de o satisfačtionem face- la Maison, re fibi vifum fueris. A Utrecht le si Trajecti ad Rhenum die 5. Martii 1712. B. de DALWICH, B. de DALWICH. esi Mars 1712. PRO POUR LE Serenissime • PrinceDagta et Seigneur EVERHARD 1961,0.. LOUIS Teccensi, Comite Mom- Duc de wirtenberg et Daire de Heidenheim , etc. et Ejusque Serenisima pour Sa Maison Seres Domo defideratur. nissime on demande. la Con 1. I. UM ne julte fatisfa* : D que pa&tis conve- Aion, convenae Foerb niens pro impenfis ac ble aux Traitez, pour Mantel fumptibus in boc bello les fraix & les depenfaftis, damnisque per- ses faites en cette guere non perfis , quorum fpecia-re, & pour les Domelecom tior designatio , uri v mages soufferts, dont ki lewa! mediorum quibus resar- on se reserve de faire les quan siri quodam modo po- ci après une désigna- cincipata terune ulterius produ- tion plus particulieres 'tuaro ir cenda refervatur. aing que des moyens par lesquels, ils pour- I Diafius lub II. Con liéta fuit. ront être reparez. DI II.Confirmatio adep- II. La confirma 14 jam poffeffionis in tion de la pofleflion tilla Dinastia Wiesen- Jeja acquite de cette te feigensis, Ducatui Wir partie de la Seigneurie tembergico undique in- de Wiesenfteig, qui HJ clusa, parte, quam an- eft renfermée de tous Ul tea Domus Bavarid 16- côtez par le Duchê nuit , prout illa Sere- de Wirtemberg , & intet . nifsimo Domino Duci qui appartenu autre. baltenus inducta re-fois à la Maison de Baviere, en l'état qu'elle à été enfin cedée audit Seigneur Duc. III. Reflitutio Ple- III.La pleine & enNaria Principatus Mom- tiere restitution de la pelgardenfis pro Sere Principauté de Mont7 nissimo Duce Domino Beliard au Sereniffime Leopoldo Everhardo. Duc Leopold Ever: una cum spectantibus ad hard, avec tout ce qui eundem tam Comitarse en depend, à savoir los Horburgensi o Domi- le Comté de Hore & les DomaiGranges, Clewal, ones de Richenweyer, Pallewanı, qua non mi- Granges, Clewal & nus ac Principatus ipfe Pafsawant, qui com Sacro Rowano imperia me la Principauté mê. bisnis immediate sub erant, me, ont été fou nis au quam Dinaftiis liberis Sacıé EmpireRoinain; P2 alte 30 w aomni superioritate queles Seigneuries Liá independentia Heri- bres, & independantes court, Châtelot,Blamont, de Hericourt, Châte Clemont, in priftinum lot, Blamont, & Cleac modo di&tum Imme-mont, en leur premier dietatis ca superiorita- état d'independence, sis Atatum, tam in Ec- & de fuperiorité tant clefiafticis quam politi- dans les choses Ecclecis, in qua omnia fura fiaftiques que Politie Qimmanitates, præro: ques avec tous les garivas creditus nul- Droits, Immunitez, lousquam excepto, que Prerogatives , & 1Canichas co pertinucrunt, venus sans aucune exvel aliquali rations perception, qui leur ont tinere debuerunt, aboli. appartenu ci-devant, sis penitus iis, qua quo- ou dû leur appartenir, cumque titulo, tempore anéantissant Ac modo, in contrarium ment tout ce qui au«. fakta, vel pralensa fue- roit été fait, ou prerunt. Detur quoque an- tendu au contraire en te memorato Domino quelque temps, par Duci Fulta satisfactio quelque moyen, de Urbe û munimentos quelque Titre que.com Brisaci,& Hovi,qua in puisse être; Le Science Berritorio Horburgenfi exstruita sunt. aussi qu'il lui soit fait Ultraje&tidie 5. Mar- une jutte satisfaction, tii 1712 touchant la Ville, & A.G. V. HEESPEN. Forterelle de Brisac, NA absolu & à gneur Duc demande Nous Đ & de Hove, construits dans le territoire de A. G. V. HEESPEN. Reponce de France le 30 Mars 1712. • DE FRANCE, Omme l'on s'est donné de part & d'aute tre des propositions reciproques par écrit , nous croyons être presentement en état d'entrer en Négociation avec tous les Alliez suivant la forme usitée dans le Congrès precedent DES ALLI E Z. Ï . Nous nous sommes attendus qu'après vous avoir donné les Demandes Specifiques des Alliez , comme vous l'avez souhaité, vous nous donneriez aussi une réponce specifique par écrit , comme nous nous y attendons encore. Nous demeurerons dans cette attenter W Đ es F R A N C E. Certe attente seroit inutile, puisque nous del ne répondrons pas par écrit. |