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préposes à leur garde et autres responsables, se- pronunciada contra los encargados de su custodia ra diminuée de moitié.-Cette diminution n'aura y demas responsables, se disminuirá en la mitad. point lieu pour le cas de connivence. -Esta diminucion no tendrá lugar en el caso de connivencia.

(153) DECR. 20 niv. an II [9 janv. 1794], contenant | (153) DECR. 20 nivoso año II [9 de Enero de 1794], des dispositions contre le bris des scellés. que contiene disposiciones contra la rotura de sellos.

ART. 1er Lorsque des scellés apposés par autorité publique se trouveront brisés, les personnes à qui la garde en était confiée, et tous ceux qui seront prévenus d'avoir coopéré à leur rupture, seront sur-le-champ mis en état d'arrestation.

ART. 1: Cuando se encontraren rotos los sellos puestos por la autoridad pública, se pondrá inmediatamente en estado de arresto, á las personas à quienes se hubiere confiado su custodia, y á todos aquellos que se presumiere haber cooperado á su ruptura.

6. Tout gardien de scellés qui ne sera pas cen6. Todo custodio de sellos que no fuere convenvaincu d'être auteur ou complice de leur rupture, cido de ser autor ó cómplice de su ruptura, pero mais qui ne prouvera pas qu'elle est l'effet d'une que no pruebe que ha sido efecto de una fuerza force majeure, sera déclaré incapable d'exercer mayor, será declarado inhabil para ejercer ninguna aucune fonction ou agence publique, et condam-funcion ó agencia pública, y sentenciado por forné, par forme de police correctionnelle, à deux ma de policía correccional, á dos años de prision. annés d'emprisonnement.

(154) DECR. 20 niv. an II [9 janv. 1794], contenant (154) DECR. 20 nivoso año II [9 de Enero de 1794], des dispositions contre les bris de scellés. que contiene disposiciones contra la ruptura de sellos.

ART. 5. Tout gardien de scellés, et tout indivi- ART. 5. Todo custodio de sellos, y todo individu qui sera convaincu d'avoir méchamment et à duo que sea convencido de haber roto sellos indessein brisé des scellés, sera, ainsi que ses com- tencional y maliciosamente, será castigado, así coplices, puni-De mort, en cas de bris de scellés mo sus cómplices, de la manera que sigue:-Con apposés sur les papiers et effets de personnes pré-pena de la vida, en caso de ruptura de sellos puesvenues de crimes contre-revolutionnaires;-De tos en los papeles y créditos de personas acusadas vingt-quatre années de fers, en cas de bris de de crímenes contra-revolucionarios;-Con veinte scellés apposés sur des effets ou papiers appartenant à la République;-De douze années de fers, en cas de bris de scellés apposés sur des effets ou papiers appartenant à des particuliers.

(155) DECR. 13-17 avril 1793.

y cuatro años de grillete, en caso de ruptura de sellos puestos en créditos ó papeles pertenecientes á la República;-Con doce años de grillete en caso de ruptura de sellos puestos en créditos ó papeles que pertenezcan á particulares.

(155) DECR. 13-17 de Abril de 1793. La Convention nationale, sur la proposition d'un La convencion nacional, en virtud de la propomembre, inspecteur de la salle, qui annonce que sicion de un miembro inspector de la sala, anundes malveillans ont mutilé quelques statues aux ciando que algunos malévolos, han mutilado vaTuileries, dêcrète que ceux qui seront convaincus rias estátuas en las Tullerías, decreta que los d'avoir mutilé ou cassé les chefs-d'œuvre de sculp-que sean convencidos de haber mutilado ó roture dans le jardin des Tuileries et autres lieux to las obras maestras de escultura en el jardin de publics appartenant à la République, seront punislas Tullerías y demás lugares públicos pertenede deux ans de détention. cientes á la República, sean castigados con dos años de detencion.

DECR. 6-16 juin 1793.

La Convention nationale, ouï le rapport de son comité d'instruction publique, décrète la peine de deux ans de fers contre quiconque dégradera les

DECR. de 6-16 de Junio de 1793. La Convencion nacional, oido el informe de su comision de instruccion pública, decreta la pena de dos años de grillete contra cualquiera que de

monumens des arts dépendant des propriétés na- teriore los monumentos de las artes pertenecientionales. tes á propiedad nacional.

(156) ANCIEN ART. 259. Toute personne qui aura publiquement porté un costume, un uniforme ou une décoration qui ne lui appartenait pas, ou qui se sera attribué des titres royaux qui ne lui auraient pas été légalement conférés,, sera punie d'un emprisonnement des six mois à deux ans.Abrogé, L. 28 avril 1832, art. 12.

DECR. 15-16 sept. 1792.

ART. 1er. Il est expressément défendu à tout citoyen de se revetir d'une décoration décrétée pour les juges, les administrateurs, les magistrats du peuple et tous autres officiers publics, à moins qu'il n'ait le caractère requis par la loi pour pouvoir la porter.

2. Tout citoyen qui sera trouvé revêtu d'une décoration qu'il ne sera point autorisé par la loi à porter, sera puni de deux années de fers.

3. Si le citoyen trouvé revêtu d'une décoration qu'il n'a pas le droit de porter, est convaincu d'avoir fait des actes d'autorité que l'officier public a seul le droit de faire, il sera puni de mort.

(157) DECR. 7 vend. an IV [29 sept. 1795], sur l'exer

cice et la police extérieure des cultes.

(156) ANTIGUO ART. 259. Toda persona que haya usado públicamente un trage ó uniforme, ó una condecoracion que no le pertenezca, ó que se hubiere atribuido títulos reales que no se le hayan conferido legalmente, será castigada con una prision de seis meses á dos años.-Derogado, L. de 28 de Abril de 1832, art. 12.

DECR. de 15-16 de Setiembre de 1792.

ART. 1. Se prohibe espresamente á todo ciudadano, usar alguna condecoracion decretada para los jueces, los administradores, magistrados del pueblo y cualesquiera otros empleados públicos, á menos que tenga el carácter requerido por la ley para poder usarla.

2. Todo ciudadano que se encuentre con una condecoracion, para cuyo uso no esté autorizado por la ley, será castigado con dos años de grillete. 3. Si el ciudadano que se encuentre con una condecoracion que no tiene derecho de usar, fuere convencido de haber ejecutado actos de autoridad, que solo el empleado público tiene el derecho de hacer, se castigará con pena de la vida.

(157) DECR. 7 vendimiario año IV [29 de Setiembre de 1795] sobre el ejercicio y la policía esterior de los cultos.

ART. 3. Il est défendu, sous les peines portées ART. 3. Se prohibe bajo las penas señaladas en en l'article précédent (P. 261 note), à tous juges el artículo anterior (P. 261 nota), á todos los jueet administrateurs d'interposer leur autorité, et à ces y administradores, que interpongan su autori tous individus d'employer les voies de fait, les in- dad, y á toda clase de individuos emplear las vías jures ou les menaces, pour contraindre un ou plu- de hecho, las injurias ó las amenazas, para oblisieurs individus à célébrer certaines fêtes religieu-gar á uno ó varios individuos á celebrar ciertas ses, à observer tel ou tel jour de repos, ou pour fiestas religiosas, á observar tal ó cual dia de desempêcher lesdits individus de les célébrer ou de canso; ó para impedir á dichos individuos el celeles observer, soit en forçant à ouvrir ou fermer brarlos ú observarlos, ya forzando á abrir ó cerrar les ateliers, boutiques, magasins, soit en empê-los talleres, tiendas, almacenes, ó ya impidiendo chant les travaux agricoles, ou de quelque autre los trabajos agrícolas ó de cualquiera otra clase manière que ce soit.

(158) DÉCR. 7 vend. an IV [29 sept. 1795], sur l'exercice et la police extérieure des cultes.

que sean.

(158) DECR. 7 vendimiario año IV [29 de Setiembre de 1795], sobre el ejercicio y la policía esterior de los cultos.

ART. 2. Ceux qui outrageront les objets d'un ART. 2. Los que ultrajaren los objetos de un culte quelconque dans les lieux destinés à son culto cualquiera en los lugares destinados á su exercice, ou ses ministres en fonctions, ou inter- ejercicio, ó á sus ministros en el acto de sus funrompront par un discours public les cérémonies re- ciones, ó interrumpieren con un discurso público ligieuses de quelque autre culte que ce soit, se- las ceremonias religiosas de cualquier otro culto ront condamnés à une amende qui ne pourra ex-que sea, serán condenados á una multa que no pocéder cinq cents livres, ni être moindre de cin-[drá exceder de quinientas libras, ni ser menos de

quante livres par individu, et à un emprisonne- cincuenta libras por cada individuo, y á una priment qui ne pourra excéder deux ans, ni être moindre d'un mois; sans préjudice des peines portées par le Code pénal, si la nature du fait peut y donner lieu.

(159) ANCIEN ART. 263. Quiconque aura frappé le ministre d'un culte dans ses fonctions, sera puni du carcan.-Abrogé, L. 28 avril 1832, art. 12.

sion que no exceda de dos años ni sea menor de un mes, sin perjuicio de las penas espresadas en el Código penal, si la naturaleza del hecho puede dar lugar á ello.

(159) ANTIGUO ART. 263. Cualquiera que haya golpeado al ministro de un culto, hallándose en el desempeño de sus funciones, será castigado con la pena de argolla.-Derogado, L. de 28 de Abril de 1832, art. 12.

(160) DECR. 10 vend. an IV [2 oct. 1795], sur la (160) DECR. 10 vendimiario año IV [2 de Octubre police intérieure des communes, tit. III. de 1795], sobre la policía interior de las municipalidades, tit. III.

ART. 6. Tout individu voyageant, et trouvé hors de son canton sans passe-port, sera mis sur le-champ en état d'arrestation et détenu jusqu'à ce qu'il ait justifié être inscrit sur le tableau de la commune de son domicile.

7. A défaut de justifier, dans deux décades, son inscription sur le tableau d'une commune, il sera réputé vagabond et sans aveu, et traduit comme tel devant les tribunaux compétens.

(161) ANCIEN ART. 271. Les vagabonds ou gens sans aveu qui auront été légalement déclarés tels seront, pour ce seul fait, punis de trois â six mois d'emprisonnement, et demeureront, après avoir subi leur peine, à la disposition du gouvernement pendant le temps qu'il déterminera, eu égard à leur conduite.-Abrogé, L. 28 avril 1832, art. 12.

DECR. 24 vend. an II [15 oct. 1793], contenant des mesures pour l'extinction de la mendicité, tit. III.

ART. 6. Todo individuo que estuviere viajando y se encuentre fuera de su comarca sin pasaporte, será puesto en el acto en arresto y quedará.detenido hasta que haya justificado estar inscrito en el registro de la municipalidad de su domicilio.

7. No pudiendo justificar dentro del término de veinte dias su inscripcion en el registro de una municipalidad, será reputado como vagamundo y sin hogar, y conducido como tal, ante los tribunales competentes.

(161) ANTIGUO ART. 271. Los vagamundos ó gente sin hogar, que hayan sido legalmente declarados tales, serán por este solo hecho, castigados con tres á seis meses de prision y permanecerán, despues de haber sufrido su pena, á disposicion del gobierno durante el tiempo que determine conforme á su conducta.-Derogado, L. de 28 de Abril de 1832, art. 12.

DECR. 24 vendimiario año II [15 de Octubre de 1793], que contiene medidas para la estincion de la mendicidad, tit. III.

ART. 4. Les mendians qui ne pourront justifier ART. 4. Los mendigos que no puedan justificar d'aucun domicile; ceux qui seront en troupes, por- tener algun domicilio; los que estén en grupos y teurs d'armes offensives, munis de faux certificats sean portadores de armas ofensivas, provistos de ou de faux congés, à l'aide desquels ils désigne-falsos certificados ó de licencias falsas, por cuyo raient leur nom, le lieu de leur naissance ou domi- medio designaren su nombre, el lugar de su nacicile, qui contreferont des infirmités, qui seront miento ó domicilio, que finjan enfermedades, que flétris, demanderont avec menaces ou insolence, seront arrêtés et condamnés à une detention d'un La peine sera double en cas de récidive.

an.

TIT. IV, art. 2. Tout mendiant domicilié, repris en troisième récidive, sera condamné à la transportation.

se presenten macilentos y que pidan con amenazas ó insolencia, serán aprehendidos y sentenciados á detencion de un año. La pena será doble en caso de reincidencia.

Tír IV, art. 2. Todo mendigo domiciliado cogido en tercera reincidencia, será condenado á la trasportacion.

3. Tout mendiant ou vagabond, arrêté une pre- 3. Todo mendigo ó vagamundo aprehendido mière fois, et mis dans la maison de répression por primera vez y puesto en la casa de represion

pour causes aggravantes, s'il est repris une seconde fois, subira la peine de la transportation.

(162) DECR. 24 vend. an II [15 oct. 1793], contenant de mesures pour l'extinction de la mendicité, tit. II.

ART. 6. Tout mendiant, reconnu étranger, sera conduit sur la frontière de la République, aux frais de la nation; il lui sera passé trois sous par lieue, jusqu'au premier village du territoire étranger.

(163) DÉCR. 24 vend. an II [15 oct. 1793], contenant des mesures pour l'extinction de la mendicité, tit. II.

ART. 4. Si le mendiant n'est point domicilié dans le ressort du district dans lequel il a été arrêté, et que néanmoins 'il accuse un domicile, il sera conduit provisoirement dans la maison d'arrêt. Le juge de paix écrira à la municipalité dont il se fera réclamer; et si celle-ci reconnaît que le détenu est son domicilié et non repris de justice, il sera renvoyé chez lui avec un passe-port et aux frais de la nation, s'il n'a devers lui des moyens pour s'y rendre.

5. A défaut de réponse de la municipalité dans un délai convenable, le mendiant sera conduit dans la maison de répression, d'où il pourra sortir toutes les fois qu'il sera réclamé par sa municipalité, et que sa détention ne sera pas liée à des causes aggravantes.

Tr. III, art. 3. Tout citoyen qui consignera, entre les mains du receveur du district, une somme de cent livres, pour répondre de la conduite ultérieure d'un mendiant détenu sans causes aggravantes, pourra obtenir son élargissement, en s'adressant au tribunal compétent, sur le rapport favorable des administrateurs de la maison de répression. Cette somme sera versée dans la caisse de l'administration, sur la preuve que l'homme cautionné est arrêté pour récidive.

(164) Décr. 19–22 juil. 1791, relatif à l'organisation d'une police municipale et correctionnelle, titre II.

ART. 22. Les mendians valides pourront être salsis et conduits devant le juge de paix, pour être statué à leur égard, conformément aux lois sur la répression de la mendicité.

por causas agravantes, si fuere aprehendido segunda vez, sufrirá la pena de la trasportacion. (162) DECR. 24 vendimiario año II [15 de Octubre de 1793], que contiene medidas para la estincion de la mendicidad, tít. II.

ART. 6. Todo mendigo reconocido estranjero, será conducido á la frontera de la República, á costa de la nacion; se le pasarán tres sueldos por legua, hasta la primera poblacion del territorio estranjero.

(163) DÉCR. 24 vendimiario año II [15 de Octubre de 1793], que contiene medidas para la estincion de la mendicidad, tít. II.

ART. 4. Si el mendigo no estuviere domiciliado en la jurisdiccion del distrito en que haya sido aprehendido y que sin embargo, declarare tener domicilio, será conducido provisionalmente á la cárcel de detencion. El juez de paz escribirá á la municipalidad de quien se lo hará reclamar; y si esta reconociese que el detenido es su domiciliado y no apercibido por la justicia, será mandado á su casa con un pasaporte y á costa de la nacion, si por sí mismo no tiene los medios necesarios para trasladarse á ella.

5. Por falta de respuesta de la municipalidad en un término conveniente, el mendigo será conducido á la casa de represion, de donde podrá salir siempre que sea reclamado por su municipalidad, y que su detencion no esté ligada á causas agravantes.

Tír. III, art. 3. Todo ciudadano que consigne en poder del recaudador del distrito la cantidad de cien libras, para responder de la conducta ulterior de un mendigo detenido sin causas agravantes, podrá obtener la soltura de éste dirigiéndose al tribunal competente, en virtud de informe favorable de los administradores de la casa de represion. Dicha suma ingresará en la caja de la administracion, cuando se pruebe que el hombre caucionado ha sido reaprehendido por reincidente. (164) DECR. 19–22 de Julio de 1791, relativo á la organizacion de una policía municipal y correccional, tit. II.

ART. 22. Los mendigos sanos podrán ser aprehendidos y conducidos ante el juez de paz, para que se resuelva acerca de ellos, conforme á las leyes sobre la represion de la mendicidad.

23. Les circonstances aggravantes seront:-1: 23. Las circunstancias agravantes serán:-1: De mendier avec menaces et violences;-2: De Mendigar con amenazas y violencias;-2° Mendimendier avec armes;-3: De s'introduire dans l'in-gar con armas;-3: Introducirse en el interior de

têrieur des maisons, ou de mendier la nuit;-4: las casas ó mendigar de noche;-4: Mendigar dos De mendier deux ou plusieurs ensemble;-5: De ó varios reunidos;-5: Mendigar con certificados ó mendier avec faux certificats ou congés, infirmi- licencias falsas, enfermedades supuestas ó con distés supposées ou déguisement;-6: De mendier fraz;-6° Mendigar despues de haber sido aperciaprès avoir été repris de justice;—7: Et deux mois bidos por la justicia;-7o Y dos meses despues de après la publication du présent décret, de men- la publicacion del presente decreto, mendigar dier hors du canton de son domicile. fuera de la comarca de su domicilio.

24. Les mendians contre lesquels il se réunira une ou plusieurs de ces circonstances aggravantes, pourront être condamnés à un emprisonnement qui n'excédera pas une année.-La peine sera double en cas de récidive.

(165) ANCIEN ART. 280. Tout vagabond ou mendiant qui aura commis un crime emportant la peine des travaux forcés à temps sera en outre marqué.

(166) ANCIEN ART. 282. Les vagabonds ou mendians qui auront subi les peines portées par les articles précédens demeureront, à la fin de ces peines, à la disposition du gouvernement.

(167) L. 28 germ. an IV [17 avril 1796], contenant des mesures répressives des délits qui peuvent être commis par la voie de la presse.

ART. 1er. Il ne doit être imprimé aucuns journaux, gazettes, ou autre feuilles périodiques que ce soit, distribué aucun avis dans le public, imprimé ou placardé aucune affiche, qu'ils ne portent le nom de l'auteur ou des auteurs, le nom et l'indication de la demeure de l'impriméur.

2. La contravention à cette disposition, soit par le défaut de mention du nom de l'auteur ou du nom et de la demeure de l'imprimeur, soit par l'expression d'un faux nom ou d'une fausse demeure, sera poursuivie par les officiers de police, et punie, indépendamment de ce qui pourrait donner lieu aux poursuites dont il sera parlé ci-après, d'un emprisonnement, par forme de police correctionnelle, du temps de six mois pour la première fois, et en cas de récidive, du temps de deux années.

3. S'il est inséré dans les écrits mentionnés cidessus quelque article non signé, ou extrait ou supposé extrait de papiers étrangers, celui qui fait publier le journal ou autre écrit sous son nom, en sera responsable.

4. Les mêmes peines seront appliquées aux distributeurs, vendeurs, colporteurs et afficheurs d'écrits imprimés en contravention à l'article précédent.

24. Los mendigos contra quienes obraren una ó varias de estas circunstancias agravantes, podrán ser sentenciados á una prision que no exceda de un año.-La pena será doble en caso de reincidencia.

(165) ANTIGUO ART. 280. Todo vagamundo ó mendigo que haya cometido un crímen que merezca la pena de trabajos forzados por tiempo, será marcado tambien.

(166) ANTIGUO ART. 282. Los vagamundos ó mendigos que hayan sufrido las penas señaladas en los artículos anteriores, quedarán á disposicion del gobierno al concluir dichas penas.

(167) L. 28 germinal año IV [17 de Abril de 1796], que contiene medidas represivas contra los delitos que pueden cometerse por medio de la prensa. ART. 1: No deberán imprimirse ningunos diarios, gacetas ú otros papeles periódicos, cualesquiera que sean, distribuirse ningun aviso en el público, ni imprimirse 6 fijarse ningun cartel, sin que lleven el nombre del autor ó autores, el nombre y la indicacion del domicilio del impresor.

2. La contravencion á esta disposicion, ya por no mencionarse el nombre del autor ó del impresor y su domicilio, ó ya por la manifestacion de un nombre ó domicilio falsos, será perseguida por los empleados de policía y castigada además de lo que pudiere dar lugar á las persecuciones de que se hablará despues, con una prision, por vía de policía correccional, por espacio de seis meses por la primera vez, y en caso de reincidencia por el de dos años.

3. Si se hubiere insertado en los escritos arriba mencionados, algun artículo que no esté firmado ó estractado, ó supuesto estractado de papeles estranjeros; el que haya hecho publicar el diario ú otro escrito bajo su nombre, será responsable de ello.

4. Las mismas penas se aplicarán á los distribuidores, vendedores, buhoneros y fijadores de escritos impresos, que contravinieren al artículo anterior.

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