Histoire maccaronique de Merlin Coccaie: prototype de Rabelais ou est traicté les ruses de Cingar, les tours de Boccal, les adventures de Léonard, les forces de Fracasse, les enchantemens de Gelfore et Pandrague et les rencontres heureuses de Balde |
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Common terms and phrases
accous advis asne asseuré aussi-tost avoit ayant Balde baston belle Berthe beste Boccal bruit c'estoit çà cecy Centaure ceste chant chascun cheval Chiarine cholere chose ciel Cingar Cipade coing compagnons costé coups cousteau coustume d'icelle derriere desjà diables escampe eschine escoute espaules espée estant esté estoient estoit estonné estre eust faict faisoit Falcquet feit femme Folengo Fracasse frere fust Gaioffe Gelfore GRANDVILLE homme icelle iceluy iceux incontinent j'ay jette jusques larron lasche Leonard loing luy donne luy respond Lyron macaronique main maistre Margut meschant mesme mille miserable monstre mort Moscquin n'avoit neantmoins nuict pagnons Pandrague parolles pense peur pieds pierres plustost Podestat poëme poëte pourquoy pouvoit premiere present queuë rondache s'en sainct saut sçavoir sembloit Seraphe seul sorte soubs soudain soy-mesme tantost terre teste tire Tognazze tousjours toutesfois vache ventre veoir villain Voicy void vouloit vray Zambelle
Popular passages
Page 376 - De la Longévité humaine et de la quantité de vie sur le globe. 1 vol. De l'Instinct et de l'intelligence des animaux, 4
Page 1 - ... nous font foy (et peu de personnes l'ignorent) que ce grand personnage, dont il est traicté, est descendu de Guy, et du Paladin Renaud, jadis tant renommé. Que si on ne veut prendre pied à la suitte, j'advertis les Lecteurs d'en...
Page 172 - J'ay bonne envie de leur rendre autant de bastonnades que nous en avons receu d'eux. Nous en avons maintenant le moyen : il faut, dis-je, leur rendre le change, que ces larrons s'en aillent hors d'icy à leur faciende ; il ya des forests , et des cavernes , en icelles font mieux leur demeure tels voleurs, que de se venir mettre dedans des navires , et de se mesler ici parmi des gens de bien ; s'ils ne s'en vont, nous les jetterons en l'eau par force.
Page viii - Il me dit que j'arrivais fort à propos pour assister au pique-nique que les académiciens macaroniques faisaient le lendemain après une séance de l'académie où chaque membre récitait un morceau de sa façon. Il m'engagea à être de la partie et à honorer l'assemblée en lui faisant part d'une de mes productions. J'acceptai et, ayant lu dix stances que j'avais faites pour l'occasion, je fus reçu membre par acclamation. Je figurai encore mieux à table qu'à la séance, car je mangeai tant...
Page 308 - D'ici à deux cent trois ans, dix mois, sept jours, dix-neuf heures, quarante minutes et trois secondes justement. » Reboul, à qui l'on doit le Nouveau Panurge, écrivait de son côté : « Ce bon vieillard disoit avoir neuf cent nonante-neuf ans. onze mois, vingt-neuf jours et vingt-trois heures et demie.
Page 5 - Garde, no fait tant de bruit quand les vents s'esclatent contre les maisons de Catulle. On void encore en ce lieu des cousteaux fraiz, esquels se voient cent chaudrons fumans jusques aux nues, pleins de caillntins, pastez et jonchées. Ces Nymphes demeurent à la pointe de la montaigne, et grattent le fromage avec des rappes percées : les une...
Page 75 - Pantagruel ouyt nouvelles que son père Gargantua avoit esté translaté au pays des Phées par Morgue *, comme feut jadis Ogier et Artus...
Page 172 - Alors Cingar, le marché arresté, et prenant son mouton, luy compte de sa bourse huict carlins de cuivre, lesquels il avoit nagueres forgez. Les marchans estoient là presens; et toute la compagnie, riches et pauvres, Lays, Moines et Prebstres, s'attendoient de manger chacun un bon morceau de ce mouton; mais, Balde considerant la mocquerie, desjà se prepare fort bien, et chuchette en l'oreille de Leonard. « II sortira, dit-il, tantost une helle farce : tais toy, je te prie, et t'appreste à rire.
Page 375 - LES MILLE ET UNE NUITS Contes arabes traduits par GALLAND, édition illustrée par les meilleurs artistes français et étrangers, revue et corrigée sur l'édition princeps de 1704; augmentée d'une Dissertation sur les Mille et une Nuits, par M. le baron SILVESTRE DE SACY.