La maison d'Orléans devant la légitimité et la démocratie depuis son origine jusqu'à nos jours: Avec un discours préliminaire et une conclusion. [Haus Orléans]Dentu, 1861 - 575 pages |
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 276 - Je suis trop bon Français pour sacrifier les intérêts de la France, parce que de nouveaux malheurs me forcent à la quitter. Je pars pour m'ensevelir dans la retraite et l'oubli. Le Roi n'étant plus en France, je ne puis plus...
Page 338 - Mon cousin, je suis trop profondément peiné des maux qui affligent ou qui pourraient menacer mes peuples, pour n'avoir pas cherché un moyen de les prévenir. J'ai donc pris la résolution d'abdiquer la couronne en faveur de mon petit-fils, le duc de Bordeaux. Le Dauphin, qui partage mes sentiments, renonce aussi à ses droits en faveur de son neveu.
Page 380 - Pressée par les circonstances et par les mesures ordonnées » par le gouvernement, quoique j'eusse les motifs les plus graves » pour tenir mon mariage secret, je crois devoir à moi-même, » ainsi qu'à mes enfants, de déclarer m'être mariée secrètement » pendant mon séjour en Italie. » De la citadelle de Blaye, ce 22 février 1833.
Page 33 - Roi vint donc chez madame de Montespan comme il avoit été décidé : mais insensiblement il la tira dans une fenêtre ; ils se parlèrent bas assez long-temps , pleurèrent et se dirent ce qu'on a accoutumé de dire en pareil cas; ils firent ensuite une profonde révérence à ces vénérables matrones, passèrent dans une autre chambre; et il en avint madame la duchesse d'Orléans et ensuite M.
Page 437 - J'ai donc accepté cette tâche noble et pénible, et j'ai écarté toutes les considérations personnelles qui se réunissaient pour me faire désirer d'en être dispensé, parce que j'ai senti que la moindre hésitation de ma part pourrait compromettre l'avenir de la France et le repos de tous nos voisins.
Page 375 - Quelles que soient les conséquences qui peuvent résulter pour moi de la « position dans laquelle je me suis mise en remplissant mes devoirs de mère, « je ne vous parlerai jamais de mon intérêt, madame. Mais des braves se sont « compromis pour la cause de mon fils, je ne saurais me refuser à tenter « pour les sauver ce qui peut honorablement se faire. (( Je prie donc ma tante, son bon cœur et sa religion me sont connus, « d'employer tout son crédit pour intéresser en leur faveur. Le...
Page 426 - ... elle nous brouillerait avec l'Europe. » Le duc d'Orléans est un prince dévoué à la cause de la Révolution. » Le duc d'Orléans ne s'est jamais battu contre nous. » Le duc d'Orléans était à Jemmapes. » Le duc d'Orléans est un roi citoyen.
Page 536 - Mais entendez bien mon sentiment; je suis du parti de la révolution, tant en France qu'en Europe; je souhaite que le gouvernement de la révolution reste dans les mains des hommes modérés...
Page 33 - Madame de Montespan ; mais pour ne pas donner à la médisance le moindre sujet de mordre, on convint que des dames...
Page 34 - Il rencontra par hasard, un jour, le saint-sacrement, que l'on portoit à Versailles à un de ses officiers. Il l'accompagna pour l'exemple jusque chez le mourant; et ce spectacle le toucha si fort, qu'à son retour il ne put s'empêcher de faire part à sa maîtresse du trouble de sa conscience. Elle dit qu'elle étoit aussi touchée de repentir, et ils résolurent de se séparer.