Histoire des constituants, Volume 4V. Lecou, 1855 - France |
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14 juillet accusé amis applaudissements aristocrates armée assemblée assez aurait avaient Barnave Boinville Camille Desmoulins Cazalès champ de Mars Charles de Lameth chef choses citoyens civile du clergé club club des Jacobins coalition cœur comité comte confiance conscience conseils constitution civile constitutionnel cour crime Danton décrets démagogues demande députés devant dit-il duc d'Orléans émigrés ennemis factieux factions fédération fidèle force garde nationale gouvernement guerre homme j'ai Jacobins jamais jour l'armée l'Assem l'Assemblée constituante l'Assemblée nationale l'Église l'homme l'orateur Lafayette laisser Lameth législateurs liberté Louis XVI lui-même main Marck Marie-Antoinette marquis de Bouillé ment ministre Mirabeau monarchie Montmorin moyens murmures n'avait n'était nation Necker orateurs palais paroles patrie patriotisme pensée peuple philosophie plan politique populaires pouvait prêtres prince principes provinces publique qu'un raison reine religion reste Révolution révolutionnaire royalistes royaume salut sang secret semblée Sémonville sent serait serment seul Talon tion toyens tribune trône voix voulait
Popular passages
Page 5 - Messieurs, de nous unir à cet acte religieux, de participer à cet hommage rendu, à la face de l'univers, et aux...
Page 454 - Mon ami, je mourrai aujourd'hui. Quand on en est là, il ne reste plus qu'une chose à faire, c'est de se parfumer, de se couronner de fleurs et de s'environner de musique, afin d'entrer agréablement dans ce sommeil dont on ne se réveille plus.
Page 209 - L'homme ne tient pas par des racines à la terre : ainsi, il n'appartient pas au sol; l'homme n'est pas un champ, un pré, un bétail : ainsi, il ne saurait être une propriété ; l'homme a le sentiment intérieur de ces vérités simples : ainsi, l'on ne saurait lui persuader que ses chefs aient le droit de l'enchaîner à la glèbe. Tous les pouvoirs se réuniraient en vain pour lui inculquer cette infâme doctrine.
Page 226 - En général , la religion n'est pas, elle ne peut être un rapport social; elle est un rapport de l'homme privé avec l'être infini. Comprendriez-vous ce que l'on voudrait vous dire, si l'on vous parlait d'une conscience nationale? Eh bien ! la religion n'est pas plus nationale que...
Page 156 - ... de donner une nouvelle dictature : l'homme qui, dans ce moment, disposait, au sein de la liberté, d'une police plus active que celle de l'ancien régime; l'homme qui, par cette police, venait de recueillir un corps d'accusation sans accuser; l'homme qui, en imposant à M.
Page 224 - Je jure de veiller avec soin aux fidèles dont la direction m'est confiée. Je jure d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi. Je jure de maintenir de tout mon pouvoir la constitution française décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi , et notamment les décrets relatifs à la constitution civile du clergé.
Page 261 - Oui , sans doute, je dois être rappelé à l'ordre, si l'assemblée veut déclarer qu'un de ses membres est coupable d'employer le mot mépris envers l'homme qui n'a pas craint de professer ouvertement à cette tribune son mépris pour les ordres de la majorité, et d'y déclarer qu'il ne lui obéirait que mort.
Page 236 - Il ne pourra donc plus souffrir que le prix de sa sueur et de son sang soit appliqué aux dépenses d'un culte qu'il rejette, et qu'une portion immense de la ressource publique soit attribuée à un sacerdoce conspirateur. Et voilà comment cette religion , qui a résisté à toutes les controverses...
Page 218 - écrit -il au roi et à la reine dans cette note, « une occasion plus favorable de coaliser un grand nombre de mécontents, de mécontents d'une plus dangereuse espèce , et d'augmenter la popularité du roi aux dépens de celle de l'Assemblée nationale.
Page 263 - Savez-vous que ce peuple , dans son ressentiment contre l'homme qu'il regarde comme l'ennemi d'un de ses plus utiles amis, savez-vous qu'au milieu de la destruction, nul n'osera dire la dilapidation, des effets de cette maison proscrite, le peuple s'est religieusement arrêté devant l'image du monarque; que le portrait du chef de la nation, de l'exécuteur suprême de la loi, a été, dans ces momens d'une fureur généreuse, l'objet de sa vénération et de ses soins persévérans?