Revue des deux mondesAu Bureau de la Revue des deux mondes, 1910 - France |
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aimait âme amie Anglais assez aurait avaient beau Bismarck Boubie c'était Cauchon cause Chambre Charles VII charme chère Chinois chose cœur Compiègne Concile Concile de Bâle Congo Congo belge Conseil d'autres devant Dieu dire dit-elle donner Duc de Bourgogne Edmée Église enfans esprit évêque Falk femme Fénelon fille force forêts frère gens Georges gouvernement hommes j'ai jamais Jean Jean de Luxembourg Jeanne d'Arc jeune joie Joubert jour juges Katmandou l'Église l'État l'évêque laisser lettre longtemps LVIII mains ment mètres Mme de Beaumont monde morale mort n'avait n'était Népal Newars Nietzsche Pape parler passé passion pauvre pays pensée petite peut-être Pierre Cauchon politique porte premier presque procès Pucelle puissances qu'une question raison regard religieux reste rien Rouen Russie s'est saint sais Selma Lagerlöf semble sentimens sentiment serait Serdis seulement siècle sorte sourire sous-marin souvent surtout tante Anna terre tête Théophile tion trouve Voilà voix vrai Windthorst yeux Yvonne
Popular passages
Page 449 - Il n'aimait pas moins le vin, la bonne chère, la chasse avec fureur, la musique avec une sorte de ravissement, et le jeu encore, où il ne pouvait supporter d'être vaincu, et où le danger avec lui était extrême.
Page 101 - ... s'engagent à prendre ou à proposer à leurs législatures respectives, les mesures nécessaires pour que ces infractions soient punies suivant leur gravité.
Page 852 - Je veux faire des vers qui ne soient pas contraints, Promener mon esprit par de petits desseins, Chercher des lieux secrets où rien ne me déplaise, Méditer à loisir, rêver tout à mon aise...
Page 119 - Je ne saurais vous dire ce que je sentis en voyant cette grande ville, et son fracas, et son peuple, et ses rues. C'était pour moi l'empire de la lune : je n'étais plus à moi, je ne me ressouvenais plus de rien; j'allais, j'ouvrais les yeux, j'étais étonnée, et voilà tout.
Page 860 - Ce ruisseau remonte en sa source ; Un bœuf gravit sur un clocher ; Le sang coule de ce rocher ; Un aspic s'accouple d'une ourse ; Sur le haut d'une vieille tour Un serpent déchire un vautour ; Le feu brûle dedans la glace ; Le soleil est devenu noir ; Je vois la lune qui va choir ; Cet arbre est sorti de sa place.
Page 611 - Vient-elle avec Séraphita ? Est-ce la Madone des neiges, Un sphinx blanc que l'hiver sculpta, Sphinx enterré par l'avalanche, Gardien des glaciers étoiles, Et qui, sous sa poitrine blanche, Cache de blancs secrets gelés ? Sous la glace où calme il repose, Oh ! qui pourra fondre ce cœur ! Oh ! qui pourra mettre un ton rosé Dans cette implacable blancheur...
Page 127 - ... on accuse quelquefois les gens d'esprit de vouloir briller ; oh ! il n'était pas question de cela ici ; et comme je l'ai déjà dit, si je n'avais pas eu un peu de goût naturel, un peu de sentiment, j'aurais pu m'y méprendre et je ne me serais aperçue de rien. Mais, à la fin, ce ton de conversation si excellent ('), si exquis, quoique si simple me frappa.
Page 859 - Le couple des bœufs qui l'entraîne. Alix apprête son fuseau; Sa mère, qui lui fait la tâche, Presse le chanvre qu'elle attache A sa quenouille de roseau. Une confuse violence Trouble le calme de la nuit, Et la lumière avec le bruit Dissipent l'ombre et le silence.
Page 811 - Je crois avoir raison en pensant que le Gouvernement Impérial le comprend comme une garantie aux commerçants de tous pays qu'aucun droit d'entrée et aucun droit de transit ne sera levé et que leurs marchandises subiront seulement des impôts modérés, destinés uniquement à pourvoir aux nécessités administratives.
Page 861 - J'ai lu Malherbe et Théophile. Ils ont tous deux connu la nature, avec cette différence que le premier, d'un style plein et uniforme, montre tout à la fois ce qu'elle a de plus beau et de plus noble, de plus naïf et de plus simple ; il en fait la peinture ou l'histoire. L'autre, sans choix, sans exactitude, d'une plume libre et inégale, tantôt charge ses descriptions, s'appesantit sur les détails ; il fait une anatomie ; tantôt il feint, il exagère, il passe le vrai dans la nature ; il en...