La Liberté de penser: revue dʹemocratique, Volume 7Joubert, 1854 |
Contents
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Common terms and phrases
agens AMÉDÉE JACQUES Arabes argentine Besate besoin bouddhisme Brésil Brossard Buenos-Ayres c'était cardinal carrière cause chose chrétiens christianisme citoyens cœur commerce conseil Conseil des Soixante culte d'autres démocratie Dieu dire doctrine donner doute enfans enfin esprit EUGÈNE DESPOIS femme force général gens gouvernement Guadeloupe guerre Guizot Henri IV hommes humaine idées intérêts j'ai jamais Jean-Louis jésuites jour justice l'église l'esprit l'état l'histoire l'homme l'humanité l'Uruguay laisser liberté livre lois Louis Louis XIV Louis-Philippe lui-même maître ment millions ministre misère Molière monarchie monde Montévidéo morale mort nation nationale nature Oribe Paraguay parler passé pays pensée peuple philosophie Pierre Leroux Plata poète politique population pouvoir première principe publique puissance qu'un question raison religieux religion républicaine République reste révolution rien Rimini Rosas saint Saint-Marin San-Marinois science semble sentiment serait seul siècle social société sorte surtout système terre théâtre tion Tirso de Molina Titan travail trouve vérité Voilà vrai
Popular passages
Page 656 - Je ne vous ai point appelés, comme faisaient mes prédécesseurs, pour vous faire approuver leurs volontés. Je vous ai fait assembler pour recevoir vos conseils, pour les croire, pour les suivre, bref, pour me mettre en tutelle entre vos mains; envie qui ne prend guère aux rois, aux barbes grises et aux victorieux.
Page 441 - C'est pourquoi Dieu l'a élevé , et lui a donné un nom qui est au-dessus de tout nom , afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse dans le ciel, sur la terre et dans les enfers, et que (t) Joan., VII, 1J.
Page 235 - Le mensonge n'est un vice que quand il fait du mal ; c'est une très grande vertu quand il fait du bien. Soyez donc plus vertueux que jamais. Il faut mentir comme un diable , non pas timidement , non pas pour un temps , mais hardiment et toujours.
Page 637 - ... je suis fort proche des ennemis, et n'ai quasi pas un cheval sur lequel je puisse combattre, ni un harnais complet que je puisse endosser. Mes chemises sont toutes déchirées, mes pourpoints troués au coude, ma marmite est souvent renversée, et depuis deux jours je dîne et soupe chez les uns et les autres, mes pourvoyeurs disant n'avoir plus moyen de rien fournir pour ma table, d'autant qu'il ya plus de six mois qu'ils n'ont reçu d'argent.
Page 721 - Connut après , dès qu'il osa ne se plus contraindre , à quel point il étoit intéressé, débauché, inconséquent, ignorant en toute affaire , passionné toujours , emporté , blasphémateur et fou , et jusqu'à quel point il méprisa publiquement son maître et l'État , le monde sans exception et les affaires , pour les sacrifier à soi tous et toutes , à son crédit , à sa puissance , à son autorité absolue , à sa grandeur , à son avarice , à ses frayeurs , à ses vengeances.
Page 439 - C'est à moi que la vengeance est réservée , et c'est moi qui la ferai, dit le Seigneur. Au contraire, si votre ennemi a faim, donnez-lui à manger ; s'il a soif, donnez-lui à boire; car, agissant de la sorte, vous amasserez des charbons de feu sur sa tête.
Page 463 - ... cette proposition les enveloppe. J'en appelle à votre expérience : parcourez les maisons et les familles distinguées par les richesses et par l'abondance des biens, je dis celles qui se piquent le plus d'être honorablement établies celles où il paraît...
Page 430 - In peuple épargna Agag. Il réserva ce qu'il y avait de meilleur dans les troupeaux de brebis et de bœufs, dans les béliers, dans les meubles et les habits, et généralement tout ce qui était de plus beau ; et ils ne voulurent point le perdre : mais ils tuèrent, ou ils détruisirent tout ce qui se trouva de vil et de méprisable.
Page 441 - Si votre frère, le fils de votre mère, ou votre fils ou votre fille, ou votre femme qui vous est si chère, ou votre ami que vous aimez comme votre vie, veut vous persuader, et vient vous dire en secret : Allons, et servons les dieux étrangers; ne vous laissez point aller à ses discours, et n'y prêtez point l'oreille, et que la compassion ne vous porte point à l'épargner ou à lui donner retraite; mais tuez-le aussitôt. Que votre main lui donne le premier coup, et que tout le peuple le frappe...
Page 718 - J'eus honte de ma réflexion; j'embrassai le crime qui me parut consacré par de grands exemples, justifié et honoré par le grand péril.