Page images
PDF
EPUB

geux, employé avec le plus grand succès les moyens de la raison et de la confiance; il est aisé au département de nous dire de prendre des mesures quand il est embarrassé lui-même, et il est plus aisé encore, quand les événements sont passés, de critiquer les mesures prises. C'est surtout sur le maire qu'on rejette ordinairement la responsabilité des événements; mais je saurai supporter le poids de celle que la loi m'impose, et je puis assurer qu'on n'indiquera pas à la municipalité une bonne mesure qu'elle ne la prenne à l'instant. (Une grande partie de l'Assemblée applaudit.) On annonce quelques lettres particulières relatives aux événements de la journée d'hier.

L'Assemblée les renvoie à la commission extraordinaire. La séance est levée à sept heures.

LIVRES NOUVEAUX.

Antiquités nationales, ou Recueil de Monuments pour servir à l'histoire générale et particulière de l'Empire français, tels que les tombeaux, inscriptions, statues, vitraux, fresques, etc. tirés des abbayes, monastères, chateaux, et autres lieux devenus domaines nationaux; présenté à l'Assemblée nationale, et favorablement accueilli par elle. Par M. Aubin-Louis Millin; deuxième et troisième volumes. A Paris, chez M. Drouhin, éditeur et propriétaire de cet ouvrage, rue Christine, no 2; chez MM. Desenne, au Palais-Royal; Blanchon, rue SaintAndré-des- Arcs, no 110; Garnery, rue Serpente, n° 17; et chez tous les principaux libraires de l'Europe. Il nous est impossible d'annoncer séparément les livraisons de cet ouvrage, qui se succèdent rapidement, et dont chacune mériterait cependant un article à part. Il n'en est point, où les recherches savantes sur des monuments plus ou moins célébres, ou dignes de l'être, les traits piquants, variés et peu connus, l'amour de la liberté, la haine des préjugés gothiques qui nous ont si long-temps avilis, le ridicule très-légitime dont l'auteur ne manque jamais de les couvrir, ne répandent un agrément qui passerait facilement dans nos extraits; mais la multitude et l'importance des objets qui absorbent toute l'attention publique, remplissent aussi tellement notre feuille, que nous ne pouvons, en réunissant l'annonce de ces deux volumes composés chacun de six livraisons, qu'indiquer rapidement les sujets qui y sont traités. C'est une galerie de tableaux curieux dont nous ne donnons que le catalogue; mais il doit suffire aux connaisseurs pour leur en faire sentir le prix.

Le second volume commence par le Petit Châtelet qui n'est plus. Il est suivi du monument élevé à Orléans par Charles VII à cette fille courageuse qui fut brûlée comme sorcière, pour lui avoir conservé sa couronne. L'article de Vincennes, qui vient après, a toute l'étendue que méritait ce donjon, célèbre dans les annales du despotisme, et qui aurait dû, comme la Bastille, s'écrouler avec lui.

L'abbaye de Royaumont, fondée par Louis IX, entre Luzarches et Beaumont-sur-Oise, paraît ensuite. Ce saint roi ne songeait guère, en la fondant, à en faire un lieu de bonne chère, de luxe et de plaisirs. Il ne prévoyait pas qu'elle aurait pour dernier abbé ce pauvre Ballivière, si cher aux Polignac par son gros jeu et par ses naïvetés ridicules.

A l'histoire des Minimes ou Bons-Hommes, de Chaillot, est jointe celle du bonhomme François de Paule, qui, en Italie, où il était né, traversait fort bien la mer sur son manteau, et tenait, sans se brûler, des charbons ardents dans sa main: mais qui ne put, en France, guérir le sanguinaire Louis XI, qui l'avait fait venir de si loin exprès pour ce miracle.

L'abbaye de Barbeau, fondée par Louis VII, sur la Seine, près Fontainebleau; l'Oratoire de la rue Saint-Honoré, et l'histoire de cette congrégation célèbre; l'ancien château de Corbeil, et dans le même district, le beau et singulier pont de Juvisy, avec ses deux belles fontaines, ouvrage plus utile que des abbayes et des couvents, puisqu'il rend facile et commode un chemin jusques-là presque impraticable; tous ces objets sont traités avec l'étendue et les développements convenables.

Le nom romanesque du prieuré des Deux Amants, dans

le département de l'Eure, district du Pont de l'Ar si l'on en croit quelques traditions, une origine qu pas moins; mais elles sont démenties par quelques ennemis des illusions douces, et qui ne voient dans qu'une désignation de la position montueuse où le prieuré, et une corruption de langage qui, de Monts, a fait les Deux Amants.

La porte Saint-Bernard et ses beaux bas-reliefs son de la Tournelle; l'église de Notre-Dame de dont la description donne lieu à une excellente his l'architecture gothique; le vieux Palais, à Rouen ment du pouvoir usurpé en France par les rois terre; le Pont-Rouge de Paris; les Cordeliers de département de l'Eure; et l'église de Saint-Spire, beil, où se trouve le tombeau du fameux comte que ses quatre fils ont rendu si fameux dans no chevaleresques, remplissent la dernière partie de cond volume.

Les monuments dont le troisième volume con description, sont les Cordeliers de la ville de Mant dés par Louis IX; les Grands Augustins de Paris où se trouve l'histoire de l'évêque d'Hyppone, et son ordre; la ville de Vernon et ses monuments, partement de l'Eure; l'église collégiale du Sépulc Saint-Martin, à Paris; celle d'Ecouis, district d'A département de l'Eure, dont le monument le plus quable est celui du célèbre et malheureux Enguerr Marigny.

L'église de Saint-Benoît à Paris, section des T de Julien. Une figure singulière de la Trinité; pr par son exécution, y donne lieu à l'exposé histori ce dogme; et la description du fameux tombeau de Montpont, est suivie d'une dissertation pleine sur les représentations emblématiques de la mort o anciens.

La grosse horloge de Rouen, et à ce propos l'hist l'horlogerie et des différentes manières de mesurer le chez les peuples de l'antiquité, chez les nations mo et particulièrement en France.

Le Palais de la justice de la même ville, l'histo parlement de Normandie qui y siégeait; celle de l' mie de l'immaculée Conception, et à propos de la che de la grande chambre du Palais de justice, une di tion sur les cheminées et sur ce qui en tenait lieu ch anciens qui ne connaissaient pas cette manière de se fer et d'entretenir le feu.

L'église des Mathurins de Paris, et l'histoire de gieux trinitaires; la commanderie de Saint-Jean en département de Seine-et-Oise, et l'histoire très-al d'un autre ordre plus important, celui des chevali Malte, avec un détail fort circonstancié de leurs diff costumes.

Le pilori de la section des Halles, et l'église de Côme, à Paris; enfin la tour et la fontaine de la Puc Rouen, tels sont les divers objets, traités dans ce troi volume, qui est le premier de la seconde année.

Le prix de la souscription, pour l'année entière, posée d'environ quatre-vingt-seize feuilles in-4°, bel pographie, et de cent vingt estampes, est de 84 livres Paris, et 92 livres, franc de port, jusqu'aux frontièr

ARTS. GRAVURES.

Portrait de Gabriel-Honoré Mirabeau; gravé au lav couleur, par M. P. Alix; faisant pendant à ceu Voltaire, J. J. Rousseau, Mably, Montaigne et Lin de neuf pouces, sur sept trois-quarts, et de forme o Tous ces portraits sont d'un fini précieux et de la parfaite ressemblance. Les épreuves sont tirées sur pa vélin superfin. Ils se vendent 6 livres chacun; à Paris, M. F. Drouhin, éditeur et propriétaire des Antiquités tionales, rue Christine, n° 2.

On peut se les procurer séparément si l'on veut.

ZETTE NATIONALE OF LE MONITEUR UNIVERSEL.

OU

Dimanche 12 AOUT 1792. 4 Année de la Liberté.

POLITIQUE.

RUSSIE.

ourg, le 17 juillet. Le morceau suivant, noire sur la révolution de Pologne, donnera a logique et de la bonne foi des écrivains, au Majesté: « Les conspirateurs de Varsovie, ersuadés d'avance que leurs efforts étaient à u'en se donnant des peines pour assurer la issaient sur le sable; sans doute, étrangers à de vertu, à tout sentiment de patriotisme et toire, mais dévorés par l'animosité et l'ambiru pouvoir profiter du moment pour assouvir , et en échouant après, s'appeler hautement è la liberté, et obtenir un tribut d'admiration, séduit n'a pas su refuser quelquefois, même scélérats. Mais l'Europe éclairée, à qui tous tte trame odieuse sont aujourd'hui dévoilés, mbien les motifs qui ont dirigé les intrigants étaient bas et immoraux, leurs moyens vils ur but enfin criminel et nul à la fois, n'accoroute à leurs revers que le sourire du mépris. malédictions de leur patrie, destinés à servir effrayant à la postérité, ils auront de leur temps d'expier leurs crinies dans l'obscurité iliation; trop heureux si les factieux qui détre contrée de l'Europe, et dont ils ont été leur offrent un asile pour les associer à préTorfaits, et bientôt aux justes peines que la de la Providence ne tardera pas de faire tomtêtes, et qu'elle réserve toujours à ceux qui malheur du genre humain.

2.

[ocr errors]

POLOGNE.

ie, le 24 juillet. - L'armée russe s'est divilonnes, le prince Poniatowski a de même dien trois colonnes, sous le commandement Kosciusko et Wielokurski. - Les rapports u général Zabiello aunoncent qu'il a fait abatet-chaussées sur le Bog et sur la Nerva, pour opre la colonne des Russes, et qu'il les attend On apprend de Kamienick que les Contrent dans les environs de cette forteresse, et rie nationale est obligée de convoyer tous les Le maréchal Malakowsky, ce généreux cine connaît point de sacrifices trop pénibles, présent à la république de plusieurs bateaux lé et de légumes pour la subsistance des trourebelles polonais ne trouvant personne pour ouvelles places de la confédération, out nommé nêtes citoyens qui, surpris de trouver leurs s listes d'infamie, se sont empressés de pro

arriver un courrier du quartier-général du owski à Dubienka. Il nous apporte la nouclion très-considérable, qui a eu lieu en Volu courant, entre une partie de nos troupes et , au passage de la rivière du Bug. Les Russes dus sur les bords de cette rivière, depuis Du'à Opalin, dans une longueur de trois ou quadans cette positton, ils firent une attaque gétous nos postes placés en deçà du Bug; mais e attaque fut dirigée contre le général Kosé près de Dubienka. Le feu des deux côtés fut ier. Notre général Kosciusko soutint le choc avec beaucoup de bravoure et de fermeté ; fut contraint, par la supériorité trop disproes Russes, à prendre le parti de la retraite. Il

meilleur ordre possible insan'à Chelm cani

[ocr errors]

à la suite de cette action; mais ce passage lui a coûté cher, puisqu'elle y a perdu quatre mille hommes, tandis que la perte des nôtres n'est évaluée qu'à trois cents.

FRANCE.

Paris, le 11 août. On lit dans plusieurs gazettes, et entre autres dans celle d'Amsterdam du 7 août, cette étrange nouvelle datée de Varsovie, le 25 juillet. On y dit que le roi, après une conférence avec les députés des provinces respectives, et sur les dispositions d'une lettre de l'impératrice de Russie, s'est déterminé à renoncer à la nouvelle constitution établie sur les ruines de l'ancien gouvernement.

On ajoute que le 24 au soir la plupart des grands qui se trouvaient dans la capitale s'en sont éloignés, et plus de quatre mille nobles de différentes provinces sont allés chez les principaux auteurs et soutiens de la révolution, pour leur témoigner leurs derniers sentiments de respect et de reconnaissance.

Nous attendons, pour ajouter foi à cette triste nouvelle, qu'elle soit confirmée par nos lettres de Varsovie.

CAISSE DE L'EXTRAORDINAIRE.

Samedi 11 août 1792, à dix heures du matin, il a été brûlé, à l'hôtel de la caisse de l'extraordinaire, rue Vivienne, la somme de 6 millions en assignats, laquelle, jointe aux 593 millions déjà brûlés, formera celle de 599 millions.

DÉPARTEMENT DU NORD.

Lille, le 7 août Enfin le général Duchâtelet est tout-à-fait hors de danger; il paraît même entièrement quitte de la fièvre humorale, rémittente, dont sa blessure était compliquée. Les redoublements avec frisson, les mouvements convulsifs et semi-tétaniques, l'irritation irrégulière de la plaie et de tout le système nerveux, ont enfin cédé aux soins les plus assidus et les plus attentifs. La patrie ne pleurera pas cet excellent citoyen, et nos armées conserveront une des meilleurs têtes militaires de l'Europe. Son entière guérison exige encore cinq ou six mois; mais il se servira de sa jambe, il marchera, il montera à cheval. Ce n'est pas seulement ses amis qui, dans la crainte de le perdre, ont versé des larmes, c'est tout ce qu'il y a d'hommes sincèrement dévoués à la cause de la liberté. Cet intérêt, dont l'expression est venu le consoler tant de fois au milieu de ses douleurs, s'est marqué dans les petites choses. Quand les dames patriotes de Lille apprirent qu'on cherchait pour lui une garde, elles demandèrent à le garder à tour de rôle; elles voulaient même se faire inscrire pour cela chez le commandant. Ce sentiment d'enthousiasme et de tendre respect sont le seul salaire digne de payer le dévouement à la patrie. On espère que le général sera, sous peu de jours, en état d'être transporté sur un brancard hors de cette ville, dont l'air insalubre pourrait contrarier encore sa guérison, et d'aller chercher un séjour plus agréable et plus sain.

Du 9. Le général Dillon, autorisé par la loi à requérir les gardes nationales, a demandé la levée de dix mille hommes armés. On espère que ce corps

[ocr errors]

-

gnies. - Un adjoint, à l'état-major, envoyé pour prendre connaissance de la situation des places de Mézières, Rocroy et Philippeville, a rendu de sa mission le compte le plus rassurant. Le camp de Berlaimont et celui de Maulde prennent tous les jours un aspect plus imposant. Un aide-de-camp du général Dillon envoyé pour visiter les frontières du Nord a rapporté que partout on travaille avec une ardeur infatigable, que partout les gardes nationales sont prêtes à marcher au premier signal, qu'enfin il a vù avec la plus vive satisfaction de belles et nombreuses compagnies se former à Dunkerque Dans une pesous le nom de légions étrangères. tite affaire, à la ferme de Morlec, deux vivandières se sont trouvées parmi les prisonniers. Ces malheureuses, d'après ce que l'on dit des Français dans les camps autrichiens, s'attendaient au moins à être écharpées. Elles furent très-étonnées d'entendre les généraux recommander qu'on ne les laissât manquer de rien. On leur servit un repas. M. Dumouriez leur donna 12 francs, et on les relâcha. Ces femmes qui ne s'attendaient pas à un pareil traitement, s'écrièrent en s'en allant avec leur butin : Quoi! on nous France disait qu'on pendait et qu'on massacrait en les prisonniers, même les déserteurs, et on nous comble de bienfaits! oh, nous dirons bien que ce sont des mensonges.

Il y a eu hier une fusillade du côté de Leers. Un volontaire, blessé d'un coup de feu, est tombé dans un fossé; l'assassin avide de butin, accourt sur lui pour le dépouiller; voulant lui ôter ses culottes, le volontaire qu'il croyait mort, lui lâche un coup de pied dans l'estomac, en criant: Vive la nation. Le meurtrier prend son arme et lui tire son coup au milieu de la figure. On dit que le scélérat n'a pas porté loin la peine due à sa lâcheté.

[blocks in formation]

Des députations de différentes sections de Paris, se présentent à la barre; elles rendent compte des mouvements des faubourgs, et de la fermentation des esprits. Toutes déclarent que l'agitation du peuple provient de ce qu'il re

garde la cour comme en état de contre-révolution, e s'irrite lui-même de sa longue patience à supporter 1 hisons du pouvoir exécutif.

L'Assemblée s'occupe d'un rapport des comités rine, colonial et de commerce, ayant pour objet l'ab graduelle de la traite des nègres.

La séance est suspendue quelques instants; elle prise par l'arrivée du ministre de la justice, qui a que les mouvements de la capitale deviennent de p plus inquiétants pour le château des Tuileries, et o voit pas qu'il y ait d'autre moyen de garder le roi, décréter qu'une députation de l'Assemblée nation rendra auprès de sa personne; que le roi souhaite qu mesure soit prise pour sa sûreté et pour celle de sa f

Plusieurs membres font différentes propositions moyens de maintenir la sûreté du roi. — La discuss interrompue par l'arrivée de trois officiers municip Paris; ils annoncent que des commissaires nommés sections se sont réunis à l'Hôtel-de-Ville; qu'ils s constitués, en vertu des pouvoirs que leur a donné ple, en conseil-général de la commune ; qu'ils ont d un mandat d'arrêt contre le commandant généra garde nationale; que cette nouvelle municipalité p en ce moment à la réorganisation de l'état-major.

Ces détails sont renvoyés à la commission ext naire.

La discussion se reporte sur l'objet du ministre justice.

Un officier municipal annonce que le roi, la rei famille, les ministres et les administrateurs du départ demandent à se présenter à l'Assemblée nationale.

L'Assemblée nomme une députation pour aller vant du roi.

Les commissaires de la salle rendent compte du d que courent plusieurs personnes arrêtées pendant 1 dans l'enceinte extérieure des séances.

L'Assemblée les met sous la sauve-garde de la l destine à leur protection une partie de sa garde.

Le roi, la famille royale, accompagnés de deux tres, entrent dans la salle, et se placent aux siéges nés aux ministres.

Le roi. Je suis venu ici pour éviter un crime, et je pense que je ne saurais être plus e reté qu'au milieu de vous, Messieurs.

M. LE PRÉSIDENT, au roi : Vous pouvez, compter sur la fermeté de l'Assemblée natio ses membres ont juré de mourir en soutena droits du peuple et les autorités constituées. Le roi s'assied à côté du président.

On observe que la constitution interdit au corps l tif toute délibération en sa présence.

L'Assemblée décide que le roi et sa famille se pla dans une loge particulière située derrière le fauteuil sident.

(Le roi et sa famille sont restés dans cette tribur qu'au lendemain à deux heures et demie du matin, é de la suspension de la séance.)

Après quelques débats, l'Assemblée, pour ne po terrompre ses délibérations, les invite à se placer d loge du Logotachigraphe.

Des membres du conseil du département, le proc général, et deux officiers municipaux, sont introdui barre.

M. Rædere, procureur-général-syndic : venons vous rendre compte de ce qui ce passe ac lement dans Paris. A minuit, M. le maire, pre qu'il se formait des rassemblements dans plus sections, et qu'on y sonnait le tocsin, s'est rend château des Tuileries. Un devoir commun avec maire, m'appelait pareillement au château. M maire a rendu compte au roi de l'état des chose est descendu dans les cours. Je suis ensuite allé

[ocr errors][ocr errors]
[graphic][merged small][merged small][merged small]
« PreviousContinue »