Mémoires de G.-J. Ouvrard, sur sa vie et ses diverses opérations fìnancières, Volume 1 |
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affaires approvisionnemens armées avaient avez Balmaseda banque Barbé-Marbois Baring et Hope Bayonne Bernadotte besoins Bonaparte caisse d'amortissement capitaux cent mille cents millions chargé Charles IV choses cinq cent cinquante millions commerce commission confiance conseil contributions créanciers crédit public débiteur décret demande Desprez dette publique devait Directoire duc de Richelieu duc de Wellington embarras engagemens Espagne étrangers événemens finances fonds fortune fournitures général gouver gouvernement espagnol guerre intérêts j'ai j'avais j'étais jours l'Angleterre l'armée l'empereur l'Espagne l'état Labouchère lettre Lowemberg m'avait madame Tallien Madrid maison Hope marquis d'Osmond ment mesure millions de rentes ministre monsieur moyens munitionnaire n'avait Napoléon nécessaire négociation opérations Ouvrard paiement paix pays piastres politique position pouvait premier consul prendre présent prince projet proposition publique puissances alliées Raincy régence d'Espagne remboursement ressources reste Seguin serait service sieur Ouvrard somme subsistances succès système Talleyrand Tallien tion traité trésor public troupes trouvai Vanlerberghe
Popular passages
Page 18 - L'administrateur de police sort d'ici, il est venu m'annoncer que demain je monterai au tribunal, c'est-à-dire à l'échafaud. Cela ressemble bien peu au rêve que j'ai fait cette nuit: Robespierre n'existait plus, et les prisons étaient ouvertes... Mais, grâce à votre insigne lâcheté, il ne se trouvera bientôt plus personne en France capable de le réaliser!
Page 330 - Exc. ait une idée claire et précise de l'ensemble des arrangemens qui ont été arrêtés à Paris pour la sûreté de l'Europe. Pour que la plus parfaite union continue à...
Page 19 - Le parti thermidorien luttait contre les derniers efforts du parti montagnard ; toutes ses combinaisons tendaient à conserver un pouvoir qu'il avait acquis au prix de tant de dangers : les passions , les caractères , les ambitions , les intérêts se montraient à découvert dans ces entretiens où l'on ne se croyait point obligé à la réserve qu'exigent les assemblées publiques. Le général Barras dominait cette société ; placé très-haut dans l'opinion par la part qu'il avait prise au...
Page 322 - SM le roi de France, de l'autre côté , on est convenu aujourd'hui que les rapports entre la France et les puissances armées pour rétablir et maintenir la paix générale, seront définitivement réglés sur les bases suivantes : 1 ". Les limites de la France telles qu'elles étaient en...
Page 333 - France, mais aussi le point de vue sous lequel ces événemens sont envisagés par les agens diplomatiques des souverains respectifs à la cour de France , ces ministres recevront l'ordre exprès de joindre à chaque réquisition relative à des secours à prêter, que le gouvernement français adressera à V.
Page 323 - Versoix avec le territoire nécessaire pour mettre le Canton de Genève en communication directe avec la Suisse, sera cédé à la Confédération Helvétique et la ligne des douanes sera placée de la manière la plus convenable au système d'administration des deux Pays.
Page 324 - ... le Roi de France, mûrement examiné la situation et les intérêts réciproques et les progrès que le rétablissement de l'ordre et de la tranquillité aura faits en France, s'accordent à reconnaître que les motifs qui les portaient à cette mesure, ont cessé d'exister.
Page vii - ... dois dire quelles furent mes relations dans la longue carrière que j'ai parcourue , et le public jugera si l'homme , qui durant trente années fut en rapport constant avec tous les pouvoirs qui ont dominé la France et avec toutes les notabilités européennes qui ont influé sur ses destinées , doit être traité avec ce superbe dédain , et s'il est aujourd'hui des alliances que son nom puisse compromettre. Chose étrange ! il n'est pas un gouvernement qui ne m'ait appelé aux jours du péril...
Page 311 - J'avais réuni les autorités, des ecclésiastiques, des notables , des marchands , tous ceux qu'on m'avait indiqués comme ayant un crédit, t une existence. «Messieurs, leur avais^-je dit, l'armée ne » veut pas vivre à vos dépens ; vous concevez ce» pendant qu'elle doit être nourrie ; aidez-moi » donc à lui procurer des denrées, pour que demain » le soldat ne vous arrache pas les vôtres; il nous faut » du pain, des légumes, de la viande, des avoines, des » fourrages, des chevaux...
Page 324 - Une commission particulière réglera tout ce qui regarde cet entretien de la manière la plus convenable aux besoins de l'armée d'occupation, et en même temps la moins onéreuse pour le pays. Le maximum du terme de cette occupation militaire sera fixé à cinq ans ; cependant au bout de trois ans les souverains alliés, de concert avec SM le roi de France , après avoir mûrement examiné la situation et les intérêts réciproques, et les progrès que le rétablissement de l'ordre et de la tranquillité...