 Qu'on se défasse surtout de ce préjugé que la « province n'est point en état de perfectionner les « sciences, et que ce n'est que dans les capitales « que les académies peuvent fleurir...  Résumé analytique des travaux - Page 179by Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen (France) - 1875Full view - About this book
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1822 - 580 pages
...peut-être que dans ces mers et dans ces climats il ya encore plus de richesses que nous n'en avons. Qu'on se défasse surtout de ce préjugé , que la...province n'est point en état de perfectionner les É sciences , et que ce n'est que dans les capitales que les académies peuvent fleurir. Ce n'est pas... | |
 | Académie nationale des sciences, belles-lettres et arts de Bordeaux - 1851 - 894 pages
...exhortations que faisait Montesquieu à vos devanciers : «Qu'on se défasse surtout, disait ce grand homme, de ce préjugé, que la province n'est point en état...les sciences, et que ce n'est que dans les capitales qu'elles peuvent fleurir<. » Quand Rousseau, vaste esprit, penseur téméraire, écrivain puissant,... | |
 | 1867 - 632 pages
...l'Académie de Bordeaux, il disait au nom des mêmes préoccupations : « Qu'on se défende contre ce préjugé que la province n'est point en état...perfectionner les sciences et que ce n'est que dans les capitules que les Académies peuvent fleurir. » La date est importante a fixer : aux débuts du XVIIIe... | |
 | Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1865 - 474 pages
...peut-être que dans ces mers et dans ces climats il ya encore plus de richesses que nous n'en avons. Qu'on se défasse surtout de ce préjugé, que la province n'est point en état de perfectionner les soiences, et que ce n'est que dans les capitales que les académies peuvent fleurir. Ce n'est pas du... | |
 | 1865 - 1036 pages
...et celui de l'inslruclion publique. C'est en 1717 que Montesquieu écrivait « Quand se défera-t-on de ce préjugé, que la province n'est point en état de perfectionner les sciences, el que ce n'est que dans les capitales que les Académies peuvent fleurir? » Le préjugé pourra bien... | |
 | Jules Gaspard Boucher de Guillerville d' Argis - 1876 - 488 pages
...n'acquérons par nos travaux que le droit de tra<t vailler davantage. Il n'ya que les dieux qui aient « le privilége de se reposer sur le Parnasse. » Vous...« Qu'on se défasse surtout de ce préjugé que la pro« vince n'est point en état de perfectionner les « sciences, et que ce n'est que dans les capitales... | |
 | Société de statistique de Marseille - 1879 - 574 pages
...a écrite dans le commencement du XVII* siècle; nous lui cédofas la parole : « Qu'on se défasse de ce préjugé que la province n'est « point en état de perfectionner la science et que ce n'est « que dans la capitale que les Académies peuvent fleu« rir. » La preuve... | |
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