| 1865 - 420 pages
...Volkomen teruggetrokken op Trianon, zonder gezelschap , zonder feesten en pracht , bad ze Madame Elisabeth tot haar te komen en schreef ze: «Nous pleurerons...Calonne door den koning ontslagen en Necker op nieuw in 'i mininisterie geroepen. De rampzalige toestand van 's lands middelen noodzaakte thands tot eene buitengewone... | |
| Edmond de Goncourt - France - 1859 - 486 pages
...changé! Appelant ceux qui l'aimaient auprès d'elle, la Reine écrivait à Madame Élisabeth : « Nous pleurerons sur la mort de ma pauvre petite ange J'ai besoin de tout votre cœur pour con~ soler le mien... (4). » Tout le courage de Marie-Antoinette, toutson amour de la vie,... | |
| Books - 1865 - 848 pages
...Volkomen teruggetrokken op Trianon, zonder gezelschap , zonder feesten en pracht , bad ze Madame Elisabeth tot haar te komen en schreef ze: «Nous pleurerons...ange J'ai besoin de tout votre coeur pour consoler Ie mien!" Intusschen was de Calonne door den koning ontslagen en Necker op nieuw in 't mininisterie... | |
| Mathurin Lescure - 1879 - 604 pages
...t. I, p. 107, 198 C'est l'époque, en effet, où Marie-Antoinette écrivait à Madame Elisabeth : « Nous pleurerons sur la mort de ma pauvre petite ange... J'ai besoin de tout votre cœur pour consoler le mien... » Jamais, en effet, la reine n'eut plus besoin de consolations. Cette... | |
| Edmond Louis A. Huot de Goncourt - 1879 - 520 pages
...changé ! Appelant ceux qui l'aimaient auprès d'elle, la Reine écrivait à Madame Elisabeth : « Nous pleurerons sur la mort de ma pauvre petite ange... J'ai besoin de tout votre cœur pour consoler le mien (2)... » Tout le courage de Marie-Antoinette, tout son amour de la vie,... | |
| Mathurin Lescure - France - 1864 - 514 pages
...changé ! » Appelant ceux qui l'aimaient auprès d'elle , la Reine » écrivait à Madame Elisabeth : « Nous pleurerons » sur la mort de ma pauvre petite ange j'ai besoin » de tout votre cœur pour consoler le mien ' » . En janvier 1788, la princesse, qui était allée faire a son beau-frère,... | |
| Literature - 1916 - 1466 pages
...bientôt se succéderont sans trêve. « Venez, écrivait-elle à sa belle-sœur, Madame Elisabeth, venez, nous pleurerons sur la mort de ma pauvre petite ange.. J'ai besoin de tout votre cœur pour consoler le mien ! » Aux amis trop zélés, qui, pour adoucir sa douleur, représentaient... | |
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