Où, dans le sable pur se dessinant si bien, Et de sa petitesse étalant l'ironie. Son pied charmant semblait rire à côté du mien ! « La borne du chemin qui vit des jours sans nombre. Où jadis pour m'attendre elle aimait à s'asseoir, S'est usée... Les rayons et les ombres - Page 134by Victor Hugo - 1840 - 278 pagesFull view - About this book
| Victor Hugo - 1842 - 944 pages
...nombre, Où jadis pour m'atlendre elle aimail à s'asseoir, S'esl usée en heurlanl, lorsque la roule esl sombre, Les grands chars gémissants qui reviennent...• La forêt ici manque et là s'est agrandie. De loul ce qui fui nous presque rien n'esl vivanl; El, comme un tas de cendre éteinle et refroidie, L'amas... | |
| Victor Hugo - French poetry - 1844 - 310 pages
...borne du chemin , qui vit des jours sans nombre , Où jadis pour m'attendre elle aimait à s'asseoir, S'est usée en heurtant , lorsque la route est sombre...nous presque rien n'est vivant ; Et, comme un tas de oendre éteinte et refroidie, L'amas des souvenirs se disperse à tout vent! » N'existons-nous donc... | |
| A. Roche - 1853 - 720 pages
...borne du chemin, qui vit des jours sans nombre, Où jadis pour m'attendre elle aimait à s'asseoir, S'est usée en heurtant, lorsque la route est sombre,...vent ! « N'existons-nous donc plus? Avons-nous eu noire heure? Rien ne la rendra-t-il à nos cris superflus? L'air joue avec la branche au moment où... | |
| Victor Hugo - 1855 - 612 pages
...Où jadis pour m'attendre elle aimait à s'asseoir, S'est usée en heurtant, lorsque la roule «si sombre, Les grands chars gémissants qui reviennent...presque rien n'est vivant ; Et, comme un tas de cendre élcinle et refroidie. L'amas des souvenirs se disperse à lout vent1 « N'existons-nous donc plus?... | |
| Victor Hugo - 1869 - 488 pages
...borne du chemin, qui vit des jours sans nombre, Où jadis pour m'attendre elle aimait à s'asseoir. S'est usée en heurtant, lorsque la route est sombre....n'est vivant; Et, comme un tas de cendre éteinte ct rel.roidie, L'amas des souvenirs se disperse à tout vent ! « N'cxistons-nous donc plus ..' Avons-nous... | |
| Victor Hugo - 1876 - 532 pages
...borne du chemin, qui vit des jours sans nombre, Où jadis pour m'atlendre elle aimait à s'asseoir, S'est usée en heurtant, lorsque la route est sombre,...refroidie, L'amas des souvenirs se disperse à tout vent! a N'existons-nous donc plus? Avons-nous eu notre heure? Rien ne la rendra-t-il à nos cris superflus... | |
| Victor Hugo - 1876 - 360 pages
...borne du chemin, qui vit des jours sans nombre, Où jadis pour m'attendre elle aimait à s'asseoir, S'est usée en heurtant, lorsque la route est sombre,...Les grands chars gémissants qui reviennent le soir. c La forêt ici manque et là s'est agrandie. De tout ce qui fut nous presque rien n'est vivant ; Et,... | |
| Ferdinand Brunetière - French literature - 1886 - 392 pages
...borne du chemin, qui vit des jours sans nombre, Où jadis pour m'attendre elle aimait à s'asseoir, S'est usée en heurtant, lorsque la route est sombre,...grands chars gémissants qui reviennent le soir... Longtemps après qu'on les a lus, de tels vers continuent de vibrer dans l'oreille, et l'écho s'en... | |
| France - 1886 - 976 pages
...La borne du chemin, qui vit des jours sans nombre Où jadis pour m'attendre elle aimait à s'asseoir S'est usée en heurtant, lorsque la route est sombre Les grands chars gémissans qui reviennent le soir... Longtemps après qu'on les a lus, de tels vers continuent de vibrer... | |
| Ernest Dupuy - 1890 - 408 pages
...borne du chemin qui vit des jours sans nombre, Où jadis pour m'attendre elle aimait à s'asseoir, S'est usée en heurtant, lorsque la route est sombre,...vent! N'existons-nous donc plus? Avons-nous eu notre Rien ne la rendra-t-il à nos cris superflus? [heure ? L'air joue avec la branche au moment où je... | |
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