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affaires Athènes aurait avaient Baluze barbares Beaumanoir c'était capitulaire Carthage César chap CHAPITRE Charlemagne Charles-le-Chauve choses chrétienne Cicéron citoyens climat Clotaire code commerce coutume crime Denys d'Halicarnasse despotique dire doit donner empereurs enfans esclaves établi état eût femmes fiefs firent force fût gens gouvernement Grecs Grégoire de Tours guerre HELVÉTIUS Ibid Indes j'ai juger justice Justinien l'an l'argent l'auteur l'empire l'Esprit des Lois l'état laisse législateur lettres liberté livre loi salique lois civiles Lombards magistrats manière ment mille mœurs monarchie monde Montesquieu n'avait n'était nation nature naturelle parle particuliers payer pays peine père Perse peuple Plutarque politique Polybe pouvait premier presque prince principe puissance punir qu'un raison règle religion rent république rien rois Romains Rome s'il seigneur sénat sent serait servitude seul sorte Strabon sujet Sylla Tacite terre teur tion Tite-Live toyens tributs trouve usage USBEK vertu Voyez
Popular passages
Page 371 - que la félicité de l'autre vie, fait encore » notre bonheur dans celle-ci. * Au chapitre quatrième du même livre : « Sur le caractère de la religion chrétienne » et celui de la mahométane, on doit, sans « autre examen, embrasser l'une et rejeter » l'autre.
Page 9 - Le droit des gens est naturellement fondé sur ce principe, que les diverses nations doivent se faire dans la paix le plus de bien, et dans la guerre le moins de mal qu'il est possible, sans nuire à leurs véritables intérêts.
Page 6 - y eût des êtres intelligens, ils étaient possibles : ils avaient donc des rapports possibles, et par conséquent des lois possibles. Avant qu'il y eût des lois faites, il y avait des rapports de justice possibles. Dire qu'il n'ya rien de juste ni d'injuste que ce qu'ordonnent ou défendent les lois positives, c'est dire qu'avant qu'on eût tracé de cercle, tous les
Page 238 - moins cruels. Le prince compte sur ses sujets, et les sujets sur le prince. Chose admirable ! la religion chrétienne, qui ne semble avoir d'objet que la félicité de l'autre vie, fait encore notre bonheur dans celle-ci 1 . 1
Page 7 - lois qui, par leur nature, sont invariables, il ne les suit pas constamment, comme le monde physique suit les siennes. La raison en est que les êtres particuliers intelligens sont bornés par leur nature, et par conséquent sujets à l'erreur; et d'un autre côté, il est de leur nature qu'ils agissent par eux-mêmes. Ils
Page 372 - qui laisse derrière elle la justice humaine, . et commence une autre justice; qui est . faite pour mener sans cesse du repentir » à l'amour et de l'amour au repentir; qui » met entre le juge et le criminel un grand . médiateur, entre le juste et le médiateur . un grand juge : une telle religion ne
Page 168 - PLUSIEURS choses gouvernent les hommes ; le climat, la religion, les lois, les maximes du gouvernement, les exemples des choses passées , les moeurs, les manières ; d'où il se forme un esprit général qui en résulte. A mesure que dans chaque nation
Page 9 - nation peuvent convenir à une autre. Il faut qu'elles se rapportent à la nature et au principe du gouvernement qui est établi, ou qu'on veut établir : soit qu'elles le forment , comme font les lois politiques; soit qu'elles le maintiennent, comme font les lois civiles.
Page 416 - murailles, les mêmes dieux, les mêmes temples, les mêmes sépultures , on ne vit plus Rome des mêmes yeux, on n'eut plus le même amour pour la patrie, et les sentimens romains ne furent plus. Les ambitieux firent venir à Rome des villes et des nations entières, pour troubler les suffrages, ou se les faire donner
Page 372 - Dans le chapitre dix-neuvième, à la fin, l'auteur, après avoir fait sentir les abus des diverses religions païennes, sur l'état des âmes dans l'autre vie, dit : « Ce n'est » pas assez pour une religion d'établir un • dogme, il faut encore qu'elle le dirige : . c'est ce qu'a fait admirablement bien la » religion chrétienne, à l'égard des